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Je me décide
enfin à prendre la plume pour vous raconter l'un de mes plus beaux après-midi et
la soirée qui l'a suivi.
Avant tout, il convient que je me présente. Je suis une jeune femme mariée de 24
ans, aux longs cheveux blonds dont la frange est coupée droite ; mes yeux sont
verts. 1,75m pour 60 KG : un vrai petit canon, comme me qualifie mon mari. J'ai
été éduquée dans un milieu aisé et j'ai fréquenté les instituts privés les mieux
cotés, jusqu'à obtenir un BTS d'assistante de direction.
Je suis très attentionnée à notre vie de couple, faisant de mon mieux pour
satisfaire le moindre des désirs de mon merveilleux mari. Lui a 30 ans, est
dirigeant de société, sportif et bien éduqué ; il sait parfaitement me
satisfaire en jouant au mieux de sa principale qualité pour moi : être à la fois
attentionné et directif.
Xavier (mon mari) apprécie que je sois désirable et désirée : c'est ainsi qu'en
4 années de mariage, il m'a fait découvrir les charmes de la lingerie sexy sous
des tenues très BCBG. Je suis ainsi devenue une adepte des fines dentelles sous
les tailleurs les plus chics. C'est à lui également que je dois ce goût prononcé
pour les talons hauts. Mon employeur actuel, un ami de mon père, ne tarit pas de
compliments à propos de mon look et de mes tenues. Je sais qu'il apprécie mes
petits tailleurs BCBG et ce que je porte avec.
Avec Xavier, j'ai découvert de multiples pratiques nouvelles qui agrémentent
notre vie sexuelle. Il m'a fait découvrir les joies de l'exhibition en
commençant par la fréquentation des plages naturistes. Voilà le tableau dressé :
une jeune femme modèle, un zeste de perversion, un autre de soumission, mais
cela ne semble pas suffire à Xavier, qui m'incite à franchir un nouveau palier
dans notre vie sexuelle. C'est ainsi qu'il souhaite que nous fréquentions les
clubs libertins de notre ville, d'abord pour y pratiquer l'exhibition, mais je
sais que son désir est plus hard car, plusieurs fois, il a évoqué son fantasme
de me voir dans les bras d'un autre, voire de plusieurs hommes.
Voilà plusieurs semaines que nos rapports se sont espacés, et qu'il fait preuve
d'une attention moindre envers ma personne. Lorsque j'évoque cette distance, il
me répond vaguement que ce n'est que passager ; mais je constate à regret que
cela persiste. C'est ainsi que j'ai décidé de mettre à profit une journée de
congé pour le surprendre. J'avais constaté que certaines actrices du porno
l'émoustillaient plus que d'autres, et principalement celles dont la nudité
était soulignée par une épilation totale, ainsi que celles s'exhibant dans des
tenues évoquant le monde du SM.
Je pris donc rendez-vous chez mon esthéticienne pour parfaire mon épilation. Je
dois reconnaître avoir été gênée pour lui demander de me faire le maillot, et
finis par lui avouer ce que je souhaitais. Allongée nue sur la table, un frisson
me parcourut lorsque la cire tiède fut appliquée sur mon pubis blond ; mais il
fallait en passer par là. Sophie, l'esthéticienne, me complimenta sur ma beauté
ainsi dévoilée, et me proposa de parfaire celle-ci en m'épilant le reste de la
raie. Il est vrai que sans être réellement poilue - elle était couverte d'un fin
duvet. Je faisais confiance à Sophie ; elle me demanda de me placer à 4 pattes
sur la table en écartant les jambes. Je me mis en position. Le contact de ses
mains gantées de latex sur mes fesses nues m'électrisa. Elle appliqua la cire
sur toute ma raie et me demanda de rester ainsi 3 minutes en essayant d'écarter
mes fesses. Je restai dans cette position indécente, puis elle revint et, d'un
coup sec et douloureux, retira la bande de cire ; j'étais enfin lisse.
Je dois reconnaître que de redécouvrir mon petit abricot totalement lisse me
faisait de l'effet et que je sentais à présent mon sexe s'humidifier alors que
je sortais de l'institut. La première étape était franchie.
Pour la seconde, je devais me rendre dans une boutique spécialisée ; c'est ainsi
que je me retrouvai devant la vitrine de Songes de Cuir, à Lyon. De magnifiques
ensembles plus torrides les uns que les autres étaient présentés ; parmi eux,
des tenues de vinyle noir et rouge... J'entrai dans la boutique, vide de tout
client ; seul, un monsieur d'une quarantaine d'années était derrière le
comptoir. J'aurais toutefois préféré une femme, et je rougis.
Je parcourus la
petite boutique et trouvai facilement le rayon des tenues SM. Le propriétaire de
la boutique m'avait rejoint. Il me proposa son aide. Son calme et sa
bienveillance apparente m'ont rassurée, et je lui fis part du plan que j'avais
élaboré. Il me complimenta pour cette démarche visant à satisfaire mon mari et,
pour être au calme, me proposa de passer dans une alcôve jouxtant la boutique.
Je m'y laissai guider ; cette petite pièce était décorée avec goût : il y a
avait là deux fauteuils de velours rouge, un canapé assorti, une table basse, un
paravent, ainsi qu'une petite estrade entourée de miroirs. Il me proposa de me
mettre à l'aise ; je m'installai sur le canapé. Au bout de quelques minutes, il
était de retour, porteur de nombreuses boîtes. Il me présenta différents
modèles, tous plus sexy les uns que les autres.
Mon attention fut attirée par une mini robe en vinyle rouge, brillante à
souhait. Comme mes yeux étincelaient d'envie, il me proposa de la passer. Je me
dirigeai derrière le paravent, et ôtai ma veste de tailleur bleu ciel sous
laquelle je portais un balconnet en dentelle blanche ; puis je fis glisser ma
jupe portefeuille, ne gardant que mon brésilien assorti au balconnet ainsi que
des bas auto-fixants blancs aux larges revers de dentelle. Je passai la mini
robe rouge ; le contact du vinyle froid sur ma peau m'électrisa. Elle était sans
manches, avec un col ras du cou et le dos nu ; de plus, elle était très courte,
dévoilant le revers de mes bas blancs. Je revins dans la boutique, où mon guide
me complimenta à nouveau, tout en me faisant remarquer que mes dessous étaient
trop visibles et que le noir aurait été préférable au blanc. Il me tendit des
bas noirs et me proposa de m'aider ; se plaçant derrière moi, il dégrafa la robe
qui glissa au sol.
- Vous êtes réellement ravissante, très bourgeoise, dit-il en souriant.
Je dégrafai mon balconnet, libérant mon 90b dont je suis si fière ; puis mon
brésilien et mes bas prirent le même chemin. J'étais totalement nue, seule
devant un inconnu. Il me fit asseoir et roula les bas noirs avec une infinie
délicatesse. Je lui tendis une jambe, et il déroula le premier bas, très fin,
sur toute sa longueur, puis le second. Dans cette position, il pouvait admirer à
loisir mon sexe fraîchement épilé. Mes escarpins blancs ne convenant pas, il me
laissa ainsi pour chercher d'autres chaussures. J'en profitai pour m'admirer
dans les grands miroirs, de plus en plus convaincue de la réussite de mon
entreprise de séduction envers Xavier.
Mon vendeur revint, m'apportant des cuissardes en vinyle noir, et s'accroupit
devant moi. Je glissai mes pieds dans les cuissardes dont les talons étaient
très hauts, au moins 10cm ; elles étaient très belles. Il en remonta les
fermetures en prenant garde de ne pas pincer les bas. J'étais hyper cambrée,
ainsi perchée : les bottes montaient à mi-cuisse, et seuls les revers de
dentelle des bas noirs dépassaient des cuissardes. Il me proposa de m'admirer
sur l'estrade, et m'aida à en gravir les marches. Je dois reconnaître que cela
prenait forme Il m'encouragea alors à passer la robe sans le moindre dessous.
- Pas mal du tout. Vous êtes divine, ainsi ! Un très beau début.
Je l'interrogeai :
- Que me conseillez-vous pour la suite ?
- Promettez-moi d'essayer, et je suis sûr que votre mari sera conquis.
Il s'absenta de nouveau ; j'étais intriguée, mais très excitée. Je pris
l'initiative d'enlever la robe, ne gardant que les cuissardes et les bas noirs.
Il réapparut avec une boîte qu'il ouvrit sur la table basse : c'était un
ensemble de lanières de cuir et de chaînes métalliques, qui m'intrigua.
- Qu'est-ce que c'est ?
- Je vais vous les passer ; il s'agit d'un porte-jarretelles et d'un balconnet.
Il plaça sur mes hanches une lanière de cuir noir qui prit la forme d'un
porte-jarretelles orné de chaînes métalliques, dévoilant plus ma nudité que la
masquant ; il fit de même avec le balconnet, dont les froides chaînes
métalliques excitaient mes tétons déjà dressés. Ses mains douces fixèrent les
jarretelles de cuir noir aux revers de dentelle de mes bas noirs. Debout devant
lui, je puis m'admirer dans les grands miroirs qui me renvoyaient une image que
je ne soupçonnais pas.
- Maintenant vous êtes divine, m'assura-t-il ; si j'osais, je vous proposerais
un accessoire...
- Lequel ? Vous m'avez déjà transformée en fantasme ; puis-je être encore plus
désirable ?
Il ouvrit une petite boîte rectangulaire, et en sortit des boules de geisha,
accessoire que je connaissais pour l'avoir vu dans certains films X.
- Avez-vous déjà essayé cela ?
- Non, je dois l'avouer.
Il m'installa dans l'un des fauteuils, plaçant l'une de mes jambes sur un
accoudoir ; puis il agit de même avec l'autre : j'étais follement offerte dans
cette position, avec cette tenue. Il s'agenouilla devant moi, tenant
l'accessoire par une boucle métallique au bout de laquelle pendaient deux boules
dorées de 4 cm de diamètre, retenues par une cordelette noire.
- Prenez-les dans votre bouche : l'introduction sera plus facile, bien que je
vous devine déjà trempée. Je me trompe ?
Rougissante (j'étais dans un tel état), je gobai l'une des boules et passai ma
langue dessus ; l'autre subit le même traitement, puis il les ressortit de ma
bouche. Le contact de la première contre mon sexe lisse provoqua une véritable
décharge dans mon ventre ; il poussa du bout de l'index, et elle s'engouffra
dans mon vagin. Puis il présenta la seconde ; j'en frémissais déjà : cette
sensation était divine Je fermai les yeux, me mordant les lèvres.
Au bout d'une minute de répit, il me fit mettre debout : immédiatement, le feu
reprit dans mon ventre. Me tenant par la main, il me promena dans la petite
pièce ; à chacun de mes pas, l'orgasme montait en moi. Je me retenais à son
bras. J'allais jouir debout à ses côtés. Ainsi offerte à mon plaisir je ne
m'étais pas rendu compte qu'il m'avait entraînée dans la boutique, où un jeune
homme flânait au rayon des cassettes. J'ouvris les yeux, sans pouvoir me cacher
ni dissimuler mon plaisir.
- Vous souhaitez voir l'effet que vous faites ainsi, non ?
Il s'adressa au jeune homme :
- Comment trouvez-vous Madame, n'est-elle pas aussi bandante que ces stars du X
?
- Elle est superbe, la salope !
Ces simples mots me firent jouir debout ; perdant l'équilibre, je m'abandonnai
dans les bras de mon guide. Il me porta jusqu'au petit salon, où il me déposa
sur le canapé pour me laisser souffler. Lorsqu'il eut fini avec le client, il
revint vers moi.
- Vous voilà convaincue, non ?
En effet : je venais de passer deux heures torrides dans cette boutique sans
avoir eu le moindre rapport.
Après cette après-midi de préparation, le retour à la maison a été rapide. Très
vite, je me suis fait couler un bain afin de retrouver ma fraîcheur. En me
déshabillant dans la chambre, je ne pus m'empêcher de m'admirer de nouveau dans
mes beaux dessous de dentelle blanche : j'étais pour quelques minutes encore une
jeune et belle bourgeoise sexy.
Je me glissai dans le bain tiède. L'immense salle de bain de notre maison était
l'un de mes lieux favoris ; baignée de lumière tamisée, c'était l'un de mes
refuges, et la grande baignoire posée au centre de la pièce sur une estrade, le
lieu de mes plaisirs les plus secrets. Je me laissai envahir par la chaleur du
bain ; j'étais si bien. Mes mains parcouraient mon corps, remontant le long de
mes longues jambes. Le bout de mes doigts redécouvrit la douceur de mon intimité
fraîchement épilée.
Humm j'étais lascive, prête à tous les excès ; les yeux fermés, j'imaginais déjà
la soirée qui allait me réconcilier avec Xavier, et mon index jouait lentement
avec mon petit clito dardé de plaisir... Après une trentaine de minutes de
douceur solitaire, je me décidai à sortir de l'eau. Je passai un kimono de satin
rouge, et j'entrepris de sécher mes longs cheveux blonds. Leur longueur demande
un entretien régulier, mais ils sont un réel plus dans mon look. Combien de fois
Xavier fut troublé de me découvrir en petite tenue, mes longs cheveux blonds
tombant librement sur la naissance de mes fesses ?
Une bonne heure a été nécessaire pour le coiffage et le maquillage, un peu plus
soutenu que d'habitude. Le miroir me renvoyait l'image d'une Chrystelle beaucoup
plus "sexe", et prête à tout. Enfin, ce fut le moment délicieux de l'habillage.
En ôtant le kimono de satin rouge, mon image de femme fatale m'excitait déjà. La
gorge nouée, je plaçai sur mes hanches le porte-jarretelles constitué de
lanières de cuir et de chaînes métalliques ; le contact froid du métal sur mon
pubis fraîchement épilé me fit fondre, et mon petit abricot s'humidifia
immédiatement.
Puis je passai le balconnet assorti, dont le jeu de lanières de cuir encerclait
mes seins aux tétons dardés sous les chaînettes métalliques. Je gainai mes
longues jambes des bas noirs aux larges revers de dentelle, auxquels je fixai
les jarretelles de cuir noir. J'ajustai le tout en me redressant devant le
miroir. Je m'assis de nouveau pour passer les cuissardes de vinyle noir aux
talons hauts ; en remontant le zip, je lissai mes bas afin que les revers
dépassent du haut de chacune des cuissardes.
Délicieuse attention de mon charmant vendeur de l'après-midi, il avait glissé
dans mes nouveaux trésors un collier en cuir noir clouté orné d'un anneau. Je
m'empressai de le passer à mon cou, positionnant l'anneau sous mon menton :
voilà qui me changeait des colliers de perles ! J'étais fin prête, et déjà au
comble de l'excitation. Toutefois, je passai par dessus un long chemisier en
voile noir très transparent que je laissai ouvert : tout en étant hyper sexy,
cette note me rendait un peu plus sophistiquée.
Le champagne était au frais et je pris un réel plaisir à déambuler ainsi "vêtue"
dans la maison, m'affairant à préparer une réception particulière pour mon cher
époux.
Il me restait environ 30 minutes à patienter ; aussi, je m'installai dans l'un
des fauteuils de cuir ivoire de notre salon. L'ambiance était électrique ; la
lumière tamisée, agrémentée de quelques bougies, donnait à notre salon des airs
de décors de cinéma, que j'espérais le plus "X" possible...
Enfin, le bruit caractéristique de la voiture sur le gravier de l'allée ; mon
coeur s'accéléra.
La porte s'ouvrit, mais je ne bougeai pas.
Il était dans l'entrée.
- Chrys ?
- Je suis au salon.
Ma voix tremblait d'excitation.
- Entre, je vais te présenter Chrystelle.
La peur me saisit : Xavier n'était pas seul ! Comment faire ? Je ne pouvais me
rendre dans ma chambre sans passer par le hall d'entrée...
Tétanisée sur mon fauteuil, je sentis mon sang se glacer. Je restais immobile,
essayant de fermer le long chemisier afin de cacher ma tenue ; mais sa
transparence dévoilait plus quelle ne cachait.
Xavier venait de faire entrer un jeune homme dans notre living...
- Chrystelle, je te présente Charles. Mais Chrys, que fais-tu dans cette tenue ?
Je rougis, la gorge nouée ; tout mon plan venait de s'effondrer en quelques
instants. Je ne pouvais rester inactive sans m'expliquer.
- Bonsoir Charles, dis-je en lui tendant la main.
- Bonsoir, Madame.
- Xavier, je voulais te faire une surprise, toi qui te plains toujours de mon
manque d'audace sexuelle. Je t'avais préparé une soirée de rêve en m'apprêtant à
l'identique de ces actrices du porno que tu admires tant ; mais cela ne fait
rien, je vais aller me changer.
Je me levai, prête à rejoindre ma chambre, lorsque Xavier me saisit et, me
plaquant contre lui, m'offrit ses lèvres dans un baiser torride.
- Oh, Chrys tu es divine ! Montre-moi Mais tu es superbe ! N'est-ce pas, Charles
?
Le jeune homme, qui devait avoir 20 ans à peine, était touchant tant il était
intimidé par la situation. Pourtant, c'était un bel homme ; 1m80 pour environ 80
kg, brun aux yeux bleus, bien musclé comme je les aime. Il portait un costume
gris très classe ; vraiment, il me plaisait.
L'excitation de cette folle journée et l'interdit de la situation me firent
perdre pied ; je me lovai contre Xavier, lui offrant mes lèvres, ma langue... Je
sentais sa virilité décupler contre mon ventre.
- Merci, Chrys chérie ; reste comme cela, tu es si belle !
- Mais Que va penser Charles ?
- …
- Je vais servir l'apéritif ; pour moi ce sera du champagne. Vous m'accompagnez
?
- Oui, bien sûr, dit Xavier.
Charles acquiesça sans rien dire ; ses yeux ne pouvaient se détacher de mes
jambes et de mon petit cul largement dévoilé.
Je revins au salon avec un plateau supportant 3 flûtes ainsi qu'un seau dans
lequel le Moët sera parfaitement glacé. En le déposant sur la table basse, je
pris soin de me placer face à Charles, et de dos à Xavier. Je me baissai sans
plier les jambes, ce qui fit remonter le bas de mon chemisier, dévoilant
largement mes fesses nues encadrées par le porte-jarretelles de cuir noir.
- (Xavier) Chrys, tu es sublime ! Si j'avais pu me douter que tu sois si...
- (Moi) - Ce soir, je suis ton cadeau : tu feras de moi ce que tu voudras ; je
dirai oui à tout.
- (Xavier) Hummm Délicieux programme ; n'est-ce pas, Charles ?
- (Charles) - En effet ; vous avez vraiment beaucoup de chance, Monsieur.
Ayant servi les flûtes de champagne, j'en tendis une à chacun avant de m'asseoir
sur l'accoudoir du fauteuil de Xavier, une jambe de chaque côté. Le contraste
entre le cuir ivoire du fauteuil et ma tenue noire était saisissant.
Je me cambrai davantage, et Xavier fit glisser le chemisier, dévoilant mon corps
dans son écrin de cuir et de chaînettes métalliques.
- Chrys, chérie, cette tenue est fabuleuse Et que dire de ton corps dans cet
écrin ! Mais franchement, ce chemisier est de trop ; n'est-ce pas, Charles ?
- Je ne sais quoi ajouter : votre femme est si désirable... Madame, vous parliez
d'actrices de porno ; mais elles ne vous arrivent pas à la cheville. Vous êtes
si désirable !
La situation commençait à sérieusement m'émoustiller ; je sentais mon sexe
s'humidifier de plus en plus. Et, prise au jeu, je décidai de jouer à fond mon
rôle d'hôtesse. Je me levai, et fis face à Xavier.
- Chéri, as-tu remarqué que je me suis pliée à ton dernier caprice ? Me voilà
toute lisse comme tu le souhaitais. Et vous, Charles, appréciez-vous la nudité
de l'épilation totale ?
- Madame, cela à l'air si doux. Qu'il doit être agréable d'y glisser un doigt ou
même la langue !
- Hummm, Xavier, écoute donc ce garçon, si sage et presque timide il y a 10
minutes, te demande la permission de me lécher, et tu sais à quel point j'adore
cette caresse.
- Christelle, tu as dit que je pouvais tout te demander, n'est pas ?
- En effet...
- Eh bien, soit ! Offre-toi à Charles, regarde-le, il en meurt d'envie et son
pantalon ne va pas tarder à rompre sous la pression.
Je me suis approchée de Charles en le fixant ; ma bouche s'est entrouverte alors
que ma langue pointait entre mes lèvres.
- Charles, je suis à vous ; et si vous me faites du bien, je saurai vous le
rendre.
Je me suis assise au bord du canapé avant de me laisser tomber contre le dossier
; mes jambes se sont écartées, dévoilant mon petit abricot lisse et déjà gonflé,
encadré par le noir des attaches de cuir de mon porte-jarretelles et le haut des
bas dévoilés par les cuissardes de vinyle.
Charles s'est approché ; lorsqu'il a posé ses mains sur mes cuisses, une
décharge électrique me parcourut. J'étais prête.
Il déposa un baiser sur ma fente avant que sa langue ne la parcoure à plat, de
bas en haut, lentement, puis plus profondément. Mes lèvres s'ouvraient ; sa
langue pointait à l'intérieur de plus en plus loin. Je me sentais m'ouvrir sous
cette caresse divine. Je fermai les yeux, la tête rejetée en arrière ; mon
souffle s'accéléra. J'ouvris de nouveau les yeux, fixant Xavier qui avait sorti
son sexe et qui se masturbait lentement en nous fixant.
- Eh bien, Xavier, le metteur en scène ne doit-il pas indiquer les poses à
prendre ? Huuummm, Charles, vous léchez divinement bien...
Je sentais l'orgasme monter lentement, profondément ; j'ondulais du bassin sur
cette langue qui me donnait tant de plaisir.
- Charles, faites-moi jouir cette nympho ! Je veux qu'elle s'en souvienne, et
qu'elle en redemande !
Charles savait faire cela à merveille : sa langue me fouillait, j'ondulais
dessus ; un vrai délice. Lorsque ses mains se sont glissées sous mes fesses, je
me suis légèrement soulevée pour en faciliter l'accès. Ses mains étaient douces
et fermes ; son index vint de se poser sur ma fente, et une simple pression le
fit pénétrer dans mon antre mouillé. La combinaison de sa langue et de son doigt
ne tarda pas à me faire fondre de plaisir. Je fermais de nouveau les yeux pour
me laisser aller à mon premier orgasme quand il arrêta sa caresse pour remonter
mes jambes, se saisissant de mes cuissardes. Sa langue glissait vers mon petit
trou plissé ; Xavier, qui sait à quel point j'adore cette caresse, l'encouragea.
- Charles, n'hésitez pas, cette coquine adore lorsqu'on s'occupe de son petit
cul !
Je me cambrai encore davantage tandis que Charles prenait soin de mouiller le
pourtour de mon anus, qui déjà s'ouvrait sous cette caresse. Enfin, son index
vint rejoindre sa langue ; je poussai en prévision de cette introduction tant
attendue.
Il fit entrer son index lentement dans mon petit trou, m'arrachant des cris de
plaisir mêlés à une divine souffrance. Je ne parvenais plus à m'occuper de mon
petit bouton, submergée par le plaisir qui émanait de l'autre côté.
- Oh, Madame, continuez ; la vue de vos ongles longs sur votre chatte rasée me
comble.
Je repris les caresses sur mon clito, m'arrachant des spasmes de plaisir
impossibles à dissimuler. Soudain, un orgasme géant me tétanisa ; je jouis sur
mes doigts. Immédiatement, Charles appliqua sa bouche sur ma fente pour me
boire. C'était divin : je me sentais me vider de ma cyprine sur sa langue ; il
me buvait
Il me fallut quelques minutes pour reprendre mes esprits. Je me levai, tendant
la main à mon nouvel amant.
- Venez, Charles
Je l'emmenai dans notre chambre, où j'entrepris de le déshabiller ; d'abord sa
veste, puis sa cravate. Mes doigts faisaient sauter un à un les boutons de sa
chemise blanche Je jouais de mes ongles sur son torse musclé et imberbe. Xavier
nous avait suivis ; il était debout dans l'encadrement de la porte.
- Alors, Xavier, aucune consigne pour la prochaine scène ?
- Chrys, tu veux jouer à la star ? Eh bien, soit.
Il ouvrit son petit bureau et en extirpa son caméscope numérique.
- Ok, Chrys ; tu t'accroupis devant Charles et tu vas le sucer. Fais-le
lentement, en étant la plus coquine possible.
Face à la caméra, je m'accroupis, les jambes bien écartées ; de mes doigts aux
longs ongles French manucurés, je défis la ceinture, puis la braguette. Enfin,
j'extirpai du caleçon l'objet de ma convoitise : il était beau, dur déjà, de
belle taille. Je fixai la caméra en passant ma langue sur mes lèvres, prenant
soin de le branler d'une main alors que mon index de la main gauche jouait avec
mon petit clito.
Enfin arriva l'instant que mes deux amours semblaient tant attendre : en fixant
Charles dans les yeux, j'approchai son gland de ma bouche. Je déposai un baiser
juste au bout et, sans le quitter des yeux, j'entrepris une fellation d'experte,
jouant avec ma langue sur toute la longueur de ce membre imposant, le sortant de
ma bouche pour en branler le gland posé sur mes lèvres, puis le reprenant bien à
fond jusqu'à ce que mes lèvres viennent en contact avec les poils de son pubis.
La séance dura bien 5 minutes, lui debout, prêt à exploser ; je le menais au
bord de la jouissance, puis m'interrompais. Il était à moi ; je maîtrisais la
situation.
Xavier repris l'initiative :
- Chrystelle, fais-le jouir sur toi ; je veux une belle éjaculation faciale, les
enfants !
- Charles, vous avez entendu : il va falloir être à la hauteur.
- Ouvre la bouche, je viens
En effet, un long jet tiède s'abattit sur mon visage, me striant des lèvres au
front, suivi de deux autres jets moins puissants qui m'éclaboussèrent la langue.
Je pris le sexe de mon amant dans ma bouche pour le finir, lui soutirant ses
dernières gouttes.
Xavier reprit :
- Tourne-toi face à la caméra ; montre-moi ta langue et avale.
Xavier sait que je n'aime pas avaler, et que - tout au plus - j'accepte de
goûter sa semence ; mais là, face à la vidéo, je devenais toute autre. Je le
fixai à travers l'objectif et lui montrai ma bouche engluée du sperme tiède de
Charles. Je déglutis en le fixant, prenant même soin de recueillir avec mes
ongles le sperme étalé sur mes joues avant de le porter à ma bouche.
- Pas mal, chérie ; tu as été divine Et dire que tu refuses de me sucer jusqu'au
bout ; je vais te corriger, moi ! Charles, vous allez filmer : je veux garder le
souvenir de cette soirée.
- Ça t'a plu, mon amour ? Tu as vu comme je peux être cochonne, moi aussi... Je
suis à tes ordres. Quelle va être la scène suivante ?
- Regarde comme tu m'as fait bander, ... !
Il se met nu en un temps record.
- Charles, à vous la caméra, dit-il ; et à vous le rôle de metteur en scène.
- Bien. Chrystelle, vous aller sucer Xavier avant qu'il vous prenne en levrette,
vous debout contre la coiffeuse, face au grand miroir.
- Xavier, tu as entendu ? Approche ; viens vite dans ma bouche
Je me suis relevée et debout, pliée en deux devant lui, j'entrepris de le sucer.
Je savais que dans cette position, Charles - qui était derrière moi - devait
particulièrement apprécier mon petit cul ; d'ailleurs, au bout de quelques
minutes, je sentis sa main parcourir ma fente sur toute sa longueur. J'ondulais
sur cette main sans cesser ma pipe. Je sentais le sexe de Xavier grossir dans ma
bouche alors que l'index de Charles me fouillait la chatte trempée, m'arrachant
de petits râles rauques.
Xavier, au bord du précipice, me repoussa pour me positionner face au grand
miroir et je sentis sa queue s'ériger entre mes fesses. Il ne fut pas long à
trouver son chemin, pénétrant mon sexe trempé de toute sa longueur. Il me prit
longuement, lentement, puis plus violemment, me claquant les fesses.
- Voilà qui s'accorde parfaitement à ta tenue de soumise, non ?
- Hummm, je suis ta petite chienne... En même temps que je prononçais cette
phrase qui me semblait irréelle, un nouvel orgasme me terrassa.
- Eh bien, tu as l'air d'apprécier ; et moi qui te trouvais trop coincée
Charles reprit le dessus :
- Xavier, vous allez la sodomiser, cette petite salope !
Xavier passa derrière moi et, passant un doigt dans ma raie, il l'introduisit
dans mon petit trou sans plus de ménagement, puis il le remplaça par son sexe
bandé. Comme il est large, j'avoue que lorsqu'il me sodomise, je subis plus que
je ne jouis ; mais, cette fois-ci, l'introduction fut lente et douce, et enfin
je sentis son pubis contre mes fesses. Debout, perchée sur les talons hauts de
mes cuissardes, il me besognait en me tenant par les hanches. A chaque aller et
retour les chaînettes métalliques venaient frotter la pointe durcie de mes
seins. Charles n'en perdait pas une miette ; il filmait la scène en s'attardant
sur les expressions de mon visage, qui en disaient long sur le plaisir qui
m'enivrait.
Je le vis faire un travelling sur mes seins, puis zoomer sur mon sexe exhibé
dans sa plus pure nudité, laissé béant par la précédente pénétration qui m'avait
été infligée par Xavier. Tout en me faisant sodomiser sans relâche et en y
prenant un réel plaisir dû - je le crois - plus à l'érotisme de la situation
qu'à la montée d'un orgasme, je jouais à allumer Charles en le fixant, ma langue
parcourant mes lèvres puis me les mordant dans un râle de plaisir.
- Oh, comme c'est bon Il me met tout dans le cul ! Viens en profiter, Charles ;
pose ta caméra.
Il se déshabilla intégralement, le sexe triomphant devant mes yeux ;
immédiatement, en véritable affamée, je m'en saisis et le pris en bouche pour le
sucer, pendant qu'il tirait sur l'anneau de mon collier de chienne pour
m'obliger à l'avaler bien à fond.
- Chrystelle, tu veux être une star de porno ? Alors, sache que la double est
obligatoire. Allez, Charles, venez nous rejoindre !
Xavier venait d'ordonner le bouquet final ; il s'allongea sur le lit et je vins
me positionner, accroupie sur sa queue, la faisant disparaître dans ma fente de
petite fille sage Je montais et descendais en rythme sur sa queue dressée,
attendant le moment où Charles allait placer son sexe contre mon petit trou.
Le contact de son gland m'électrisa, agrippant mes hanches, ses mains sur mon
porte-jarretelles, Charles me tira fermement vers lui, m'empalant sur le sexe de
Xavier alors que sa queue se frayait un chemin vers le fond de mon intestin.
Prise entre ces deux queues, je les sentais aller et venir de chaque côté, dans
un tempo digne des plus belles mélodies.
Mon plaisir monta vite. Je ne pouvais le contenir, d'ailleurs, je ne le
souhaitais pas. Je me laissai aller à un orgasme d'une intensité jamais connue
jusqu'à ce jour. Mes deux amants, ne me laissant aucun répit et continuant à me
besogner de concert énergiquement en me traitant comme une poupée gonflable, je
jouis une fois de plus
Charles se retira le premier, suivi de Xavier ; alors que j'étais à peine remise
de mon plaisir foudroyant, ils m'obligèrent à m'asseoir face à eux. C'était
irréel : moi assise au bord du lit, eux face à moi qui se branlaient en me
fixant. Comme un automate, j'ouvris la bouche et, la langue sortie, j'attendis
leur offrande.
Xavier éjacula le premier, m'inondant le visage de son sperme ; je pris son sexe
dans ma bouche pour aspirer la totalité de sa jouissance. Charles, à son tour,
explosa en de longs jets sur mes joues. J'étais couverte de sperme, une
véritable douche !
- Hummm, merci les garçons ; c'était pas mal
- Chrystelle, tu viens de me donner la plus belle soirée que j'aie jamais rêvé
de vivre. Merci, mon amour.
Nous nous sommes enlacés tendrement, je savais que maintenant, j'allais devoir
assumer la totalité de ses fantasmes et que j'allais essayer de lui faire
assouvir les miens.
N'hésitez pas à me laisser vos commentaires ; bisous à tous !
Chrystelle
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