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 Laissez-moi d’abord nous présenter. Véronique et moi-même , Patrick , sommes un couple âgé de 44 ans et mariés depuis 20 ans . Nous avons deux enfants ( 18 et 20 ans ) . Véronique est une jolie blonde naturelle , 1,68 m pour 57 kgs , des yeux bleus clairs , une jolie poitrine ( 90 b ) qui tient en place toute seule malgré ses deux grossesses . Il faut dire qu'elle entretient sa forme dans un club de fitness, deux fois par semaine contrairement à moi qui mesure 1,80 m pour 95 kgs et encore, moi je n’ai pas connu deux grossesses. Nous nous sommes rencontrés lors de nos études supérieures et dès le début, cela fut le grand amour et rapidement, on a pris la décision de se marier après nos études. Au début, nous faisions l’amour très souvent sans pour autant avoir épuisé toutes les facettes de l’acte sexuel , notre sexualité étant assez traditionnelle où échangisme, sodomie, bisexualité étaient exclus. Même, la fellation était peu fréquente dans nos relations, mon épouse étant peu enclin à la pratiquer. Puis le temps et l’habitude probablement aidant, nos rapports se sont espacés pour devenir mensuels, la barrière des 35 ans dépassée. Nous en discutâmes ensemble mais le manque de rapports sexuels n’entama notre amour mutuel.

Pour nos quarante ans respectifs, nous différons en âge de deux mois, nous décidâmes de nous offrir une seconde lune miel et nous avons réservé 10 jours dans un hôtel 4 étoiles en République Dominicaine. Les enfants furent placés chez mes beaux-parents et nous nous envolâmes pour des vacances qui restent encore gravées dans nos mémoires.

Le premier jour, nous avons déballé les valises, puis nous nous sommes déshabillés pour enfiler nos maillots. Je fus ébloui par la beauté de mon épouse qui enfilait un mini bikini blanc qui tranchait sur sa peau déjà bronzée par des séances de bancs solaires préliminaires. Sa toison pubienne était soigneusement taillée à ras, ses lèvres intimes quasi visibles parmi ses poils blonds épars. Ses seins, comme des demi pamplemousses, présentaient des tétons à moitié érigés d’un brun plus prononcé.

- Tu n’as pas peur de faire violer par un noir sur la plage à te promener ainsi dans un minuscule bikini ? Tu sais, ils sont très portés sur les blondes et en plus une vraie blonde!
- Qui te dit que ce n’est pas ce que je recherche? Allez viens, on va à plage voir si il y en a un qui voudrait violer une vieille comme moi, même si elle est blonde
- Arrête de dire des bêtises, tu es superbe malgré ton âge canonique et je suis prêt à te le prouver dès à présent que tu es toujours désirable, ma vieille
- Ah si tu m’insultes, je m’en vais, vieux pervers, fît-elle en rigolant et sortit de la chambre.

Je la suivis aussitôt et nous nous sommes allongés sur des transats face à la mer turquoise sous un soleil de plomb. Par prudence, je décidai rapidement de traîner mon transat à l’ombre des palmiers car ma peau, blanche comme un lavabo tournait déjà au rouge écrevisse. Par contre, Véronique, grâce à son bronzage intensif avant notre départ, resta au soleil et comme bon nombre d’autres touristes, elle avait enlevé le haut de son bikini pour faire bronzer ses seins. De temps en temps, elle se levait pour se rafraîchir dans l’océan et à ma grande fierté, j’observais bon nombre d'hommes qui la suivait du regard. Il faut dire qu'elle était parmi les femmes les plus séduisantes de la plage et certainement la plus belle dans le rapport beauté/âge. D’autant plus que la fraîcheur de l’eau avait tendance à faire bander ses tétons, ses aréoles devenaient grumeleuses et les tétons étaient érigés sur quasi 1 cm.

A l’ombre de mon palmier, je me suis légèrement assoupi quelques minutes, la visière de ma casquette rabattue sur les yeux quand j’ai été réveillé par une conversation. Véronique avait été accostée par un autochtone qui venait vendre ses babioles sur la plage et il semblait prendre plaisir à lui vanter les mérites de ses coquillages pêchés par lui-même. Manifestement, il profitait de l’aubaine pour détailler la plastique de mon épouse mais je me gardai bien de bouger pour voir comment elle allait s’en débarrasser. Je la voyais jeter des coups d’œil dans ma direction pour rechercher mon aide mais les yeux à moitié cachés par ma casquette, je semblais dormir de tout mon soûl, la laissant se débrouiller.

Je me rappelais la conversation dans la chambre et je voulais ainsi lui prouver par A + B qu’elle attirait encore les regards des hommes par son corps mince qui ne correspondait pas à l’âge de ses artères. Toujours à l’abri de ma casquette, je me suis surpris à imaginer Véronique en train de faire l’amour avec ce noir et ma queue se mit à grossir dans mon maillot de manière ostensible. Je le voyais à proximité de mon épouse, accroupi les jambes écartées, vêtu d’un short ample de footballeur probablement à même la peau, son sexe d’ébène frottant contre le nylon, en train de dialoguer avec mon épouse, le visage à trente centimètres de celui de Véronique. Il me semblait que la poitrine de Véronique se soulevait de manière plus rapide qu'auparavant , était-ce du à sa respiration ou bombait-elle le torse pour mettre ses seins en valeur ? Mon imagination aidant, je le croyais en train de draguer mon épouse, lui proposant d’aller dans un coin discret pour lui montrer son sexe énorme, si l’on en croit leur réputation, qu’elle pourrait même le toucher si elle voulait, qu’il la ferait hurler de plaisir en lui faisant sauvagement l’amour à l’ombre des palmiers. Dans mon fantasme, j’imaginais Véronique à quatre pattes, se faire prendre en levrette par ce noir qui allait et venait profondément dans sa chatte dégoulinante avant de sentir des torrents de semence jaillir au fond d’elle, pendant qu’elle jouissait intensément.

Finalement, après un quart d’heure de discussion, le noir se releva, dépité de ne pas avoir su convaincre sa cliente ou qui sait, de ne pas avoir su sauter la femelle blanche, et il s’en alla vers un autre couple de touriste, prenant soin de masquer la bosse qui se dessinait sous son short. Ma femme se leva et s’approcha de moi, elle releva ma casquette mais j’avais refermé les yeux. Elle me susurra dans l’oreille en déposant un drap de plage sur mon bas-ventre :

- Ou bien, tu fais un rêve érotique cochon, ou alors, tu as regardé sans réagir ta femme abandonnée se faire draguer par un dangereux noir qui menaçait de la violer, mais en tout cas, tu aurais intérêt à cacher l’érection située dans ton maillot car tu frôles l’indécence.
- Je ne sais pas de quoi tu parles, je n’ai pas rêvé et je n’ai vu aucun dangereux noir en train de violer ma femme, mais je ne sais pas de quoi vous avez parlé, toi et ce vendeur de plage. Tu lui as fixé rendez-vous, j’imagine?
- T'es bête! Ainsi, tu as tout vu sans réagir alors que je n’arrivais pas à m’en débarrasser et cela te faisait bander en plus , mon salaud! Viens, rentrons dans la chambre que je profite au moins de ta petite queue de blanc.

Elle se colla contre ma poitrine et m’embrassa longuement en me répétant qu' elle m’aimait très fort. Finalement , nous sous sommes levés et le drap toujours coincé à hauteur du bas ventre, nous nous sommes dirigés enlacés vers notre bungalow. Dès que nous sommes entrés, on s’est embrassés passionnément. elle glissa une main dans mon maillot pour empoigner délicatement mon sexe tendu tandis que je défaisais le haut de son bikini qu’elle avait remis par pudeur pour effectuer le trajet jusqu’au bungalow. Je malaxai ses seins, puis pinçai délicatement ses tétons, la faisant soupirer d'aise. Elle baissa mon slip et commença à me branler doucement, je l’emmenai près du lit où je la couchai. Délaissant sa bouche humide, je l’embrassai dans le cou pour descendre progressivement vers sa poitrine avant de gober un de ses tétons tendus. Ma main se glissa dans son maillot pour trouver sa chatte poisseuse de mouille. J’enfonçai un puis deux doigts dans son sexe détrempé, elle poussa un grognement de plaisir pendant que je mordillais le bout de chair érectile de son mamelon. Elle enleva prestement son slip en me disant :

- Viens vite sur moi , baise-moi, j’en peux plus. Fais-moi jouir!
- Que se passe-t-il? Je ne t’ai pas vu aussi excitée depuis bien longtemps, en me mettant sur son corps brûlant. Ta chatte dégouline de mouille, est-ce moi qui t’excite comme ça ou c’est ton copain noir qui te fait de l’effet?
- Arrête de dire des bêtises et pénètre-moi fort
- Pas avant que tu me dises la vérité, lui dis-je en positionnant mon gland à l’entrée de son sexe mais prenant bien soin de ne pas la pénétrer.
- Qu’est-ce que tu veux dire?
- Je veux que tu m’avoues que tu as été excitée par ta conversation avec le noir sur la plage, que cela te plaisait de le voir te regarder quasi nue, que cela te plaisait de te sentir désirer par cet inconnu, hein avoue-le
- Mais … non, ce n’est pas vrai, murmura-t-elle
- Menteuse, ta chatte est bouillante d'excitation , tu aurais bien voulu faire l’amour avec lui, avoue! Je la torturais délicieusement en pressant mon gland contre son clitoris gonflé de désir.
- Aah … je t’en prie , baise-moi vite, je n’en peux plus, t’es un salaud de me faire attendre. Il n’y a que toi que j’aime
- Cela je le sais mais cela n’empêche pas de ressentir du désir pour un inconnu. Alors ferme maintenant les yeux et imagine que c’est ton copain noir qui te baise

Je la vis, après un moment d’hésitation, fermer les paupières et à ce moment-là, je m’enfonçai d’un seul coup dans sa chatte en feu, lui arrachant un râle de plaisir et je commençai à la pilonner par de grands mouvements de va et vient dans son sexe trempé. Je sentais mon sperme bouillonner dans mes couilles mais je retardais au maximum le moment d’éjaculer, qu’elle jouisse avant de me libérer. Elle poussait maintenant des cris de plaisir, insouciante de penser qu’on devait l’entendre par la fenêtre entrebâillée mais elle poussait son bas-ventre à l’encontre de mon pieu de chair pour accélérer la montée de sa jouissance. Finalement, dans un hurlement de jouissance, elle fut prise de convulsions, son orgasme éclatant dans une myriade d’étoiles tandis que je déversais des litres de foutre au plus profond d’elle, ses jambes me ceinturant la taille, comme pour m’empêcher de me retirer. Je lui pris la bouche pour l’embrasser sauvagement. Je basculai ensuite sur le côté pour récupérer et elle vint se lover dans mes bras, me chuchota tendrement un "Je t’ aime, mon amour" avant que nous sombrions dans un repos bien mérité.

Nous émergeâmes de notre sieste vers 18h00 pour nous préparer pour notre première soirée, dîner suivi qu’une soirée animée par l’équipe de l’hôtel. Sous la douche, mes mains couraient sur le corps sublime de mon épouse. Des milliers de questions se bousculaient dans ma tête mais je voulais que ce soit elle qui aborde le sujet, aussi, je me contentai de la laver tendrement, insistant sur ses zones érogènes, lui massant les seins, caressant sa chatte pour entretenir son excitation. Mon sexe avait repris de la rigueur et elle me la savonnait longuement mais ce fut elle qui jouit la première. Nous séchâmes et nous habillâmes. J’enfilai un pantalon de toile beige et une chemise rose à courte manche tandis que Véronique se préparait dans la salle de bain. Lorsqu’elle en sortit enfin, je ne pus retenir un sifflement d’admiration à sa vue. Ses longs cheveux blonds étaient rendus plus volumineux et cascadaient autour de son visage qu’elle avait soigneusement maquillé. Elle était vêtue du robe moulante en lycra blanc qui faisait ressortir son teint bronzé et qui lui arrivait à mi-cuisses. Ses seins se dessinaient sous le fin tissu et il était clair qu’elle ne portait pas de soutien-gorge car aucune trace de bretelle n’était visible. Mon regard se porta vers son bas-ventre et là , je pus avec soulagement constater qu’elle portait un string ficelle au vu des marques à sa taille. Ses fesses se dessinaient impudiquement, tendant le tissu extensible et ressortaient encore davantage dans la mesure où elle portait des escarpins blancs à talons mi-hauts.

Après lui avoir redis comme elle était belle et sur le ton de la rigolade, je lui demandé si elle ne cherchait pas en réalité à se faire violer par un grand noir, elle me répondit en souriant :

- Après ce qui s’est passé sur la plage , j’ai bien vu que tu n’as esquissé aucun geste pour me secourir et que cela t’excitait même, donc j’en suis venu à la conclusion que c’est ce que tu recherches, donc je me suis habillée en conséquence … juste pour te faire plaisir, mon amour
- Bien , tu n’auras qu’à t’en prendre qu’ à toi seule . Tu es seule juge !!!

Nous sommes allés mangé un buffet constitué de plats européens mais également locaux qui étaient assez épicés, le tout accompagné d’un vin rosé local au goût prononcé et qui montait facilement à la tête. Vers 21h00, nous avons rejoint la grande salle qui servait de salle de fête pour les animations du soir. Après un drink alcoolisé pour les nouveaux arrivés, le spectacle commença, composé de différents tableaux expliquant l’histoire du pays et les coutumes locales.

Pour terminer la soirée, les organisateurs demandèrent des volontaires pour danser ensemble la danse locale. Mon épouse déteste ce genre de situation car elle n’apprécie pas ce donner en spectacle lors d’animations hôtelières. Aussi, elle se tassa dans son fauteuil en espérant passer invisible aux personnes qui sillonnaient la salle à la recherche de volontaires. Probablement, en raison de la tenue blanche et sexy qu’elle portait, elle ne put échapper à la sélection et un noir s’approcha d’elle en lui tendant la main pour l’entraîner vers la piste. Dans un premier temps, elle refusa catégoriquement et le G.O se tourna vers moi, avec un grand sourire en me disant :

- Vous ne m’en voulez pas si je vous emprunte votre femme pour lui enseigner notre danse locale
- Pour moi, il n’y a pas de problème. Elle fait sa timide mais je suis sûr qu'au fond, elle en meurt d’envie
- Vous voyez, madame, monsieur est d’accord
- Alors ça tu vas me le payer, mon salaud, me murmura mon épouse dans l’oreille après s’être levée de mauvaise grâce pour suivre l’animateur noir.

Je crois bien que c’est ce soir-là que tout notre univers a basculé et que rien ne fut plus pareil par la suite entre nous, mais rassurez-vous en un changement positif.

Au centre de la piste distante de +/- 5 m de l’endroit où j’étais assis, se sont regroupés une dizaine de personnes et autant d’animateurs et sous une musique endiablée typique des îles, tous commencèrent sous les directives de animateurs, à entamer une danse ressemblant assez à la soca dance, telle qu’on l'a connue en Europe. Lors de l’apprentissage, le rythme était relativement lent mais lorsqu’ils surent les rudiments de la danse, le rythme s’accéléra et les corps se déhanchèrent sur la piste. Rapidement, les regards des spectateurs furent attirés par le couple composé de Véronique et l’animateur noir car celui-ci la faisait tournoyer et ses seins libres de tout support se balançaient lourdement sous le fin tissu extensible, les mains de son cavalier dessinaient des arabesques sur tout son corps, dans son dos, sur sa taille, le ventre et les hanches. Son genou, inséré entre les jambes de mon épouse, lui permettait d’épouser le corps de celle-ci contre sa peau mais également, le bas de la robe de mon épouse remontait inexorablement du fait de ses déhanchements et du genou de son partenaire. A présent, de mon poste de spectateur, je voyais la robe de Véronique arriver à la limite de ses fesses et j’imagine que les spectateurs du premier rang devaient avoir une vue imprenable sur son cul, voire son string ficelle. Dans le feu de la danse, elle ne pensait pas ou n’avait pas l’occasion de descendre sa robe davantage sur ses cuisses mais personnellement j’éprouvais une fierté certaine de voir cette femme jolie et diablement sexy, danser impudiquement sous les regards d’inconnus comme si ils étaient seuls au monde et que cette femme était mon épouse depuis plus de 15 ans et la mère de mes enfants. Et subitement, je me rendis compte que je bandais ferme dans mon pantalon de la voir dans les bras de ce noir athlétique.

La musique cessa et les couples de danseurs se séparèrent mais Véronique et Pascal, prénom que j’allais connaître par la suite, restèrent un moment soudés, discutant mais ne la lâchant pas de suite pour autant. Finalement, ils se détachèrent et Véronique rabaissant sa robe sur ses cuisses revint vers notre table. A mon avis, elle ne devait pas s’en rendre compte, mais elle était sublime et à la limite de l’obscénité car elle était en sueur, les cheveux collés contre son front, sa robe lui moulait encore davantage les formes du fait qu’elle avait transpiré mais surtout, la danse ne l’avait pas laissée indifférente car les pointes de ses seins paraissaient avoir doublé de volume et menaçaient de percer le fin tissu de sa robe. Bon nombre d’hommes la suivirent du regard durant le trajet jusqu’à notre table et je me levai à sa rencontre pour la prendre dans mes bras et l’embrasser à pleine bouche et lui dire un "je t’aime" dans le creux de l’oreille. Je sentais ses tétons presser contre ma poitrine et le lui fit remarquer :

- Il me semble que la danse a eu quelques effets sur toi. Je me trompe ou bien tu es très excitée.
- Tu ne crois pas si bien dire, c’est une danse très sensuelle surtout que mon partenaire n’en était pas à son premier cours.
- J'ai bien remarqué que vous étiez parmi les danseurs les plus sensuels de la piste, littéralement soudés et au vu de tes tétons, ton excitation doit être à son comble .
- Comment cela? Fit-elle en baissant les yeux sur sa poitrine. Oh mon dieu, tout le monde a du le voir, je suis réellement obscène comme cela , continua t'elle en rougissant
- Oui , tout le monde t'a vue ainsi mais tu n’es pas obscène, je dirais plutôt hyper bandante, tellement excitante et jolie que tous les hommes seraient prêts à te faire l’amour séance tenante, moi en premier lieu.
- Honnêtement, j’ai honte de ce que j’ai fait
- Tu ne dois pas, tu es allée danser, tu y as pris du plaisir et …
- Tu ne crois pas si bien dire
- Comment cela?
- Je crois bien que si la chanson avait duré encore deux ou trois minutes, j'aurais joui sur la piste
- Tiens , tiens raconte-moi cela
- Tu as remarqué comme cette danse se déroule près du corps du partenaire mais je crois que mon partenaire a fait de l’excès de zèle car à aucun moment, il ne m'a laissé la possibilité de m’écarter de lui, me maintenant contre son corps, ses mains, sous prétexte de la danse, ne se gênaient pas pour caresser mon corps, à plusieurs reprises, il a effleuré mes seins et mes fesses et pour compléter le tout, sa cuisse appuyait contre mon entrejambe, se frottant contre mon clitoris. De plus, tout au long de la danse, il me regardait dans le fond des yeux comme si il voulait m’hypnotiser, comme si il me faisait l’amour grâce à son regard. A la fin de la musique, il m’a même gardé près de lui pour me laisser le temps de reprendre mes esprit mais aussi pour me faire sentir son sexe bandé contre ma cuisse pour me faire comprendre que lui aussi, il avait pris du plaisir de danser avec moi.
- Si tu estimes qu’il a eu des gestes déplacés ou une conduite à la limite de la décence, je vais trouver le directeur pour lui en parler.
- Non laisse tomber, cela ne sert à rien de lui créer des ennuis, il n’a rien fait de mal, si ce n’est de me faire mouiller ma culotte comme quand j’avais vingt ans et que tu m’embrassais en me caressant.
- Car en plus tu as mouillé ta culotte, petite vicieuse
- Elle trempée, tu veux dire. Déjà que c’est un string ficelle, donc autant te dire qu’il est à tordre
- Tu ne vas pas encore essayer de te faire passer pour une victime, comme la fois passée
- Oh … non j’assume mon comportement mais reste à savoir si toi tu es capable d’assumer mon comportement . Réfléchis-y pendant que je vais faire un brin de toilette et tu me donneras ta décision après.

Véronique se leva, réajusta sa mini robe et traversa la salle sous les regards envieux des hommes et le regard courroucé de leur femme. Son déhanchement accentué par ses hauts talons, en fit bander plus d’un à commencer par Patrick lui-même. Son sexe était douloureux dans son slip tellement il prenait de la place. L’idée de voir sa femme désirée par des inconnus n’était pas nouvelle, souvent il prenait plaisir de voir des hommes se retourner au passage de sa femme quand elle portait une minijupe. Il en éprouvait une fierté certaine d’imaginer ces hommes désirer sa propre femme, qu’en son absence, ils essaieraient de la draguer pour la baiser. De plus, à plusieurs reprises, ils avaient ensemble abordé le sujet de l’échangisme et Patrick lui avait affirmé son fantasme de la voir faire l’amour avec des inconnus devant lui mais elle était restée fort évasive à ce sujet. Certes, la pousser dans les bras d’un autre homme comportait des risques de la perdre mais il avait une totale confiance dans son amour et cela ne pouvait que le renforcer davantage. Il avait lu dans un magazine pour hommes, que la femme au début de la quarantaine éprouvait des doutes au sujet de sa séduction et pouvait être attirée par des hommes plus jeunes pour des aventures de passage. Et selon Patrick, quel plus beau cadeau pouvait-il offrir à son épouse de lui permettre avec son accord, de vivre une aventure extra- conjugale avec un inconnu sur cette île paradisiaque. Sa décision était prise et il mettrait tout en œuvre pour la réaliser.

Seule dans les toilettes dames, devant le lavabo où elle se passait de l’eau sur le visage pour se calmer, Véronique s’interrogeait sur ce qui était en train de lui arriver lors de ce voyage. Jamais depuis longtemps, elle ne s’était sentie aussi excitée que ce soir. Déjà, dans le courant de la journée, ce vendeur sur la plage qui regardait avec insistance ses seins dénudés pendant qu’elle ne pouvait quasiment pas détourner son regard de l’entrejambe du jeune homme. Suite à cela, son mari lui avait semblé très excité par la situation et l’avait fait jouir dans l'après-midi, entretenant son excitation en lui suggérant de se faire baiser par un inconnu. Puis, elle avait osé s’habiller de manière hyper sexy avec cette robe moulante en lycra blanc, sans soutien-gorge qui laissait deviner ses tétons brunâtres et juste un mini string pour cacher sa toison blonde. Comble de tout, son mari n’avait rien fait pour empêcher l’animateur noir de l’emmener sur la piste pour lui faire danser sous cette musique envoûtante où son partenaire ne s’est pas gênée pour la peloter devant un public qui espérait bien voir son string sous sa robe qui se faisait un malin plaisir de remonter le long de ses cuisses. A nouveau, son mari était revenu à la charge pour la pousser dans les bras de cet inconnu noir qui lui avait fait sentir son membre volumineux contre sa cuisse à la fin de la danse.

Elle prit quelques serviettes-éponges destinées à s’essuyer les mains et s’enferma dans une toilette essayer d'éponger sa chatte trempée. Elle remonta sa robe sur la taille et baissa son string en dentelle pour découvrir sa chatte dégoulinante de mouille .A l’aide des serviettes-éponges, elle tenta de nettoyer sa vulve mais chaque contact de la serviette avec son clitoris gonflé provoquait des décharges électriques dans son bas-ventre et elle se sentait proche de l’orgasme dans ces toilettes de l’hôtel. Un restant de bienséance la convainquit de ne pas se masturber séance tenante, préférant remettre sa jouissance à plus tard avec Patrick. En remettant son string, elle connut la désagréable sensation du tissu humide contre ses lèvres intimes et sur un coup de tête, décida de mettre celui-ci dans son sac, laissant sa chatte à l’air libre sachant que cela faisait partie des fantasmes de son mari, de la savoir la foufounette à l’air. Jamais elle n’avait osé mais se savoir en vacances dans un pays inconnu lui libérait les sens et elle se promettait de passer ces vacances de manière intense … sexuellement parlant. Montrer à son mari sa chatte libre de tout vêtement le pousserait à rejoindre la chambre rapidement où il lui ferait l’amour intensément, éteignant l’incendie qui vivait dans son bas-ventre.

En regagnant la salle, elle eut le souffle coupé en s’approchant la table où était assis Patrick car il n’ était pas seul attablé car à leur propre table, se trouvait assis son partenaire de danse. En la voyant s’approcher, Patrick se leva et lui dit à voix haute :

- J’ai rencontré ton partenaire de danse et je me suis permis de lui offrir un verre, j’espère que tu ne m’en voudras pas, je t’ai pris un gin tonic
- Euh … non, comme tu veux, je ne pensais pas rester tard ce soir, mais c’est comme tu veux
- Mais tant qu’on s’amuse, autant en profiter, … non ?

étant donné que Patrick et Pascal étaient placé l’un à côté de l’autre, elle s’assit dans le seul fauteuil qui leur faisait face et elle se maudit directement d’avoir retiré son string car la robe remontait sur les cuisses et elle tenta désespérément de ramener le tissu sur ses cuisses. Intérieurement, elle pesta contre son mari mais rapidement, elle comprit la manœuvre de Patrick, qui sous des dehors amicaux, discutait avec Pascal de tout et de rien, mais il devait être conscient de son état d’excitation et qu’elle ne rêvait que d’aller dans la chambre pour y faire l’amour.

Après dix minutes de conversation, Patrick surprit le regard de Pascal qui se perdait régulièrement vers l’entrejambe de son épouse et regardant dans la même direction, il comprit pourquoi Pascal avait de plus en plus de mal à suivre la conversation quand il entr'aperçut la toison blonde de Véronique sous la robe qui était remontée à mi-cuisses alors qu’elle regardait vers la piste où plusieurs couples dansaient un slow. Automatiquement, Patrick sentit sa verge se gonfler dans son slip en imaginant son épouse sans soutien-gorge et surtout sans slip, fantasme qu’il espérait voir se réaliser depuis longtemps sans succès et à présent, elle montrait sa motte découverte à lui et surtout à un inconnu qui ne se privait pas de la regarder. Cela le décida sur la marche à suivre pour le déroulement de la soirée.

Aussi quand Pascal proposa de leur offrir à son tour un verre et que Véronique eut choisi un nouveau gin tonic, Patrick annonça qu’il était fatigué par le décalage horaire et qu’il préférait aller se coucher. Véronique, quelque peu désemparée, voulut annuler sa commande mais devant les insistances de Pascal qui voulait offrir un verre et surtout Patrick qui insistait pour qu’elle reste boire un dernier verre avec leur nouvel ami, les dés en furent jetés et elle accepta son gin tonic. Patrick en l'embrassant pour lui dire bonsoir, lui chuchota dans l’oreille :

- Je t’aime et je te laisse libre de terminer la soirée comme tu le désires. J’ai toute confiance en ton amour mais éclate-toi comme tu le sens
- Tu es fou de faire cela mais c’est vrai que je n’aime que toi. Merci de ta confiance

Après avoir salué Pascal, Patrick se dirigea vers la réception pour aller chercher la deuxième clé de la chambre avant de s’y rendre pour aller se coucher, curieux au sujet de la suite de la soirée que son épouse lui raconterait à son retour … du moins si elle revenait, pensa t'il avec une certaine anxiété.

Patrick finit par s’endormir vers 1h00 du matin après s’être remué les méninges en se demandant si il n’avait pas commis une erreur de pousser sa femme dans les bras de Pascal mais il était trop tard pour reculer. Deux heures s’étaient écoulées déjà, largement le temps de boire un gin tonic, donc il gambergeait sur la suite de la soirée, une excitation malsaine logée dans son sexe tendu. Mais il mit un point d’honneur de ne pas se masturber pour entretenir son excitation jusqu’au retour de son épouse.

A suivre... bien entendu
     

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