UNE FEMME, DEUX HOMMES, TANT DE POSSIBILITES
Laissez moi nous présenter. Je suis Franck et avec mon épouse Marie Jo médecins de 45 ans, nous sommes en très bonne forme physique. Sur la Côte où nous vivons, l'été sur la plage nous faisons bien souvent des envieux chez les plus de 35 ans. Nous sommes très amoureux et très complices. Marie Jo, bien qu'elle m'ait donné quatre beaux enfants, a gardé son poids et les mensurations de ses 18 ans, sauf la poitrine où la chirurgie lui permet d'arborer maintenant un 92 C qui fait merveille sur son petit gabarit (42 kg pour 1m52). Nous faisons partie de ces gens que nous appelons mélangistes et encore! En 2 ou 3 ans nous n'avons pas collectionné les aventures. Nous privilégions les gens qui partagent nos points de vue et pouvons sortir avec eux au restaurant ou en boite sans qu'il ne se passe rien de spécial. C'est donc avec un tout petit cercle d'amis que nous nous lançons parfois dans des soirées chaudes. Après une de ces rares soirées, où chacun avait fait l'amour avec sa chacune, les mains se promenant un peu partout, nous avons eu l'occasion de voir à l'œuvre le membre de notre jeune ami (31 ans) François. Si son sexe est étonnant par sa taille (plus de 22 cm), c'est surtout par le diamètre qu'il est remarquable (au moins deux fois le diamètre habituel !). Un peu émoustillés, nous avons reparlé de ce sexe hors normes plus tard avec notre amie Félicie, présente ce soir là. Elle nous révéla sans détour, qu'elle avait pu réaliser 5 à 6 fois le désir de sa vie, un sandwich avec son amant Philippe et la grosse queue de François. Elle nous avait ajouté, les yeux brillants " Une queue comme ça, quand tu l'as dans le sexe, tu es remplie jusqu'à la gorge! Mais pas question de sodomie avec un tel engin! ". Les rendez-vous s'étaient très bien passés, François ayant été très prévenant. " Tu sais, avait-elle ajouté, au début, je me suis fait bander les yeux car je craignais son regard et d'y lire ce que peut-être il n'y avait pas ". Notre amie Félicie s'était donc fait bander les yeux pour entamer les amuses gueules puis quand elle avait chevauché François et enfin pratiqué le sandwich, elle avait ôté ce bandeau. " Toi qui fantasmes sur les trios, avait-elle dit à Marie Jo, tu devrais essayer, c'est vraiment extra " ajouta-t-elle. L'idée de cette expérience nous avait émoustillés et bien souvent, nous en avons parlé au creux de notre lit. La jalousie qui aurait du m'atteindre quand on partage un conjoint ne me torturait pas et je voyais dans cette soirée la possibilité de régaler ma partenaire et l'occasion d'apprendre de nouvelles techniques. Quant à la taille du pénis, étant pour moi dans la moyenne (14 cm), j'essaie d'innover pour apporter le plus de plaisir possible à mon épouse. Interrogé sur son éventuel accord, François déclara aussitôt qu'il était partant car il était loin d'être insensible aux charmes de Marie Jo et m'apprit que par son métier, il pouvait se libérer jour et nuit. Lors d'une conversation à bâtons rompus, il m'apprit sa misère sexuelle. La taille de son sexe l'avait toujours empêché de trouver une partenaire qu'il puisse sodomiser. Sa femme elle-même n'avait jamais voulu, ni pu l'accueillir au plus profond d'elle-même. Il avait juste une fois sodomisé une partenaire de passage qui, d'ailleurs avait joui aussitôt après l'intromission de son gros membre, lui était resté sur sa faim. Quoi qu'elle eut très envie de tenter un sandwich, Marie Jo avait du mal à franchir le pas. Je lui disais " On le fera quand tu voudras, rien ne presse, mais réfléchis-y ". Vers la mi-Décembre, elle m'annonça " Tu sais, pour la soirée trio, je crois que d'ici une semaine, ça sera bon". Bien que François et sa femme soient échangistes, celle-ci quand elle avait joui, ne supporte plus de voir son mari être avec une autre femme. Je proposais alors à notre ami de se joindre à nous sans sa femme pour une soirée un peu spéciale. Je préférais fixer les règles. Nous avons convenu ce jour là de tout faire pour honorer mon épouse et faire passer notre plaisir bien après le sien. Nous avons du profiter de l'absence de la femme de François pour que cette soirée puisse avoir lieu. Marie Jo avait revêtu une petite robe avec un décolleté vertigineux qui mettait en valeur ses seins fermes et bronzés (nous revenions de vacances), de très jolis bas, des talons aiguilles et une culotte qui n'allait pas tarder à traverser la pièce. Nous avons pris un verre, pour nous détendre. Nous encadrions Marie Jo sur le canapé et l'alcool aidant, elle promena lentement sa main droite sur le haut de la cuisse de François en lui disant " Viens un peu plus près de moi ". Pendant qu'elle flattait le membre à travers son pantalon, je me suis penché vers elle et à l'aide d'un bas, lui bandai les yeux. Descendant les bretelles de sa robe, nous la caressions de nos 4 mains et lui avons écarté les cuisses. Elle souleva son bassin pour que nous puissions lui ôter sa culotte. Pendant que je l'embrassais à pleine bouche, François descendit le long de sa poitrine, atteignit le sexe qu'il entreprit de lécher avec application. Elle commença à gémir. Il entra son index et le fit tourner à l'entrée de la chatte, tout en léchant le clitoris. Elle eut rapidement un premier orgasme. Nous continuions à la caresser et à l'embrasser, mais elle voulut " prendre les choses en mains ". Haletante, elle nous dit d'une voix chavirée : " Donnez-moi vos queues, je vais vous sucer ". Nous, nous mîmes de part et d'autre d'elle à genoux. Il aurait été amusant qu'elle ne sache pas quelle queue elle était en train de régaler, mais là, elle ne risquait pas de se tromper! Déjà de très bonne facture, le sexe de François prenait une ampleur impressionnante. Son érection révélait un sexe énorme et presque pyramidal tant le sang restait gorgé à la base du pénis. Marie Jo nous suçait l'un après l'autre, malaxant nos testicules pendant que nous lui caressions les seins. Chacun se concentrait sur son plaisir, et nous les hommes, voulions apprécier ses caresses buccales sans éjaculer pour autant. Ce soir, nous devions garder nos forces pour l'honorer pour le mieux. Nous sommes redescendus pour la caresser ou lui lécher les seins et l'intérieur des cuisses. La robe rejoignit la culotte. Je remontai à son oreille et lui murmurai : " Si tu veux, tu peux retirer le bandeau ", ce qu'elle fit aussitôt. Elle sortit le sexe de François qu'elle avait repris en bouche et loucha sur l'engin : " Effectivement, c'est un beau morceau " fit-elle en continuant de le masturber tranquillement puis, elle l'emboucha, serrant les lèvres pour le décalotter et mieux apprécier le gland. Elle empauma la colonne de chair, ses mains l'une sur l'autre, une grande partie du gland émergeant encore. A genoux sur le tapis, face au canapé, François redescendit entre ses cuisses pour lui prodiguer les caresses buccales et la pénétration digitale dont il semblait avoir le secret. Elle se remit à gémir sous sa grosse langue. Il la léchait sans ménagement du bord de l'anus (elle était effondrée sur le canapé) au clitoris, entrant parfois le plus loin possible dans le vagin. De temps à autre elle regardait dans ma direction en susurrant " C'est vraiment super. Regarde bien comment il fait, c'est génial ! " Cessant de me téter, elle jouit sans retenue, prenant la tête de François pour l'écraser contre son sexe ruisselant. Moi qui croyais être le seul à savoir faire jouir ma femme de cette façon! Voilà qu'elle se mettait à jouir pour la seconde fois en 20 minutes avec un quasi inconnu!! Nos érections étaient toujours vaillantes, tentant toujours de ne pas nous laisser aller, malgré les caresses envoûtantes qu'elle nous prodiguait, elle nous dit enfin "Vous venez ? J'ai envie de vous ". Nous, nous concertâmes. Le canapé ou le lit ? Nous optâmes pour le lit. François avait acheté une boîte de préservatifs " King Size ". Était-ce l'émotion, mais il eut du mal à dérouler un préservatif sur sa grosse queue. Dans le trouble qui était le sien, il laissa une grosse bulle d'air génératrice de rupture s'installer. Marie Jo dut lui installer elle-même la capote sur ce membre monstrueux, le léchant et le branlant pour lui redonner rigidité. Enfin, elle s'installa à genoux sur le grand lit, la tête reposant de côté sur les oreillers entassés. Se caressant le bouton, elle supplia " Viens! " Sans que nous ne puissions savoir à qui s'adressait cette charmante invitation. François et moi nous sommes interrogés du regard. Il me fit signe d'y aller. Pendant que je la prenais en levrette, il se caressait d'une main, lui soupesant les seins de l'autre. Elle se masturbait frénétiquement, se concentrant sur un orgasme qui arriva très rapidement tant elle était excitée. Enfin, elle se détendit. Craignant d'éjaculer, je me retirai et lui fis signe de me remplacer, ce qu'il fit avec empressement. Quel contraste que voir ce grand corps (1m93 pour 85 kg) se mettre à genoux derrière le petit gabarit de ma femme! Il présenta sa grosse queue un peu triangulaire à l'orée de son sexe et la prit avec beaucoup de précautions. Je me tenais à la tête de Marie Jo et présentai mon sexe à ses lèvres. Elle m'emboucha aussitôt en me branlant. Elle s'arrêta un temps pour s'écarter les fesses pour que François puisse entrer le plus loin possible. Je me penchais alors vers elle et entrepris de lui écarter les fesses moi-même. François pendant ce temps là ahanait et suait tout en retenant son plaisir. Elle se crispa un moment sur un nouveau plaisir puis gémit " Prends-moi de l'autre côté ". Elle se retourna sur le dos et ré écarta les cuisses au maximum. Il se pencha vers elle et glissa au plus profond du vagin. Il fit quelques va et vient mais elle ajouta " Non, pas comme ça, je veux que tu m'encules ! ". Surpris de cette demande, il m'interrogea du regard, agréablement étonné de la chance qui s'offrait à lui. Connaissant les envies de ma femme pour en avoir longuement discuté avec elle, je répondais à François " Ce que femme veut ... ". Ravi, il se dégagea et descendit son engin pour gagner l'anus de Marie Jo. Elle remonta ses hanches en faisant le pont pour offrir son cul au sexe convoité. Il avait du mal à assumer cette superbe femelle aux seins dressés qui lui offrait ses fesses. Comme j'étais sur le côté, je me penchais vers Marie Jo, lui prit les chevilles pour lui remonter les jambes en arrière. A genoux face à elle, en s'appuyant sur les mains, François mit ses cuisses de part et d'autre de celles de ma femme. Je relevais au maximum le compas des jambes de celle-ci pour faciliter l'ouverture de ses reins. Il s'approcha encore, prit son pénis à pleines mains et le dirigea vers l'orifice convoité. Après avoir mis du gel à l'eau sur la marge de l'anus, il commença la pénétration. Il entra, prenant ses fesses à pleines mains. J'étais excité d'assister à cette saillie et surveillais les réactions de ma femme. Quand le gland entra, elle poussa comme pour aller à la selle et fit ainsi se dilater le sphincter anal. Elle bascula la tête en arrière en gémissant " Oh purée, tu parles d'un morceau ! ! ". Conscient des mesures hors normes de son appareil, il eut peur de lui faire mal et commença à se retirer d'un centimètre ou deux. Frustrée, elle eut un regard d'incompréhension et s'écria " Non ! Qu'est ce que tu fais ? Encule-moi à fond ! ". Enhardi par l'imprécation de cette femelle qui réclamait son gros membre au plus intime d'elle, il cessa sa reculade et commença à la reprendre. Cette fois ci, elle posa sa main droite contre le torse de François et le repoussa un peu en lui souriant " Encule moi à fond mais lentement et doucement. C'est toute la période de la pénétration qui est délicieuse ". Il entra donc lentement, écartant toujours les fesses de Marie Jo pour y faire entrer les 2/3 de son sexe. Marie Jo avait fermé les yeux, secouait de temps en temps la tête, se branlant avec vigueur. Elle réglait la pénétration du membre dans son rectum, laissant à celui ci le temps de se dilater. Au fur et à mesure que le sexe entrait en elle, elle reculait sa main interposée le long de son torse. François fit une halte dans le chemin de ses reins et demanda : " Tu crois que je peux entrer encore? ". Marie Jo n'étant plus en état de lui répondre. Je répondis à sa place : " Tu peux y aller. " Ne craignant plus de lui faire mal, il continua à pousser lentement. Je me délectai de voir ce pénis énorme écarteler le fondement de ma bien aimée. Il arriva enfin au bout de ses 22 cm, son scrotum tapant sur les fesses de Marie Jo. Il demeura abuté en elle, regardant sans avoir l'air d'y croire, son pénis entièrement fiché dans l'anus convoité. Marie Jo respirait bruyamment, de façon saccadée. Il abandonna les fesses écartées pour saisir de ses seins à pleines mains. Elle envoya sa main droite pour se saisir de la hanche gauche de François afin de le faire entrer encore. Je me penchais en avant pour mieux écarter les fesses de Marie Jo, ce qui eut pour action de lui retendre le périnée et gagner ainsi 3 ou 4 cm de pénétration. Elle commença à râler. François débuta un retrait progressif suivi aussitôt de va-et-vient. Au bout de quelques instants, elle se redressa, les yeux grands ouverts pour le regarder comme une apparition et se mit à jouir intensément. Elle se raidit brusquement, bascula les hanches encore plus en avant comme pour tenter une pénétration encore plus complète. Son orgasme parut interminable. Enfin, elle abandonna son bouton chauffé au rouge, sa respiration toujours aussi ample devint régulière. Foudroyé par le plaisir, ravi d'avoir pu réaliser son fantasme le plus fou, excité de voir ce petit bout de femme se tordre sous son gros sexe fiché dans son rectum, François bascula sur le coté et éjacula dans sa capote des quantités invraisemblables de sperme. Marie Jo, émergeant, toute chose, ouvrit un œil pâteux et bredouilla : " Oh, c'était fou. J'ai cru que j'allai perdre conscience ! ". Marie Jo voulu se reposer quelques instants. Nous convînmes d'aller récupérer en mangeant un peu au salon. Nous attaquâmes les cuisses de poulet et quelques verres d'un bon rosé achevèrent de nous requinquer. La conversation reprit sur le .... Sexe . "Alors, François, ça t'a plu?" Il répondit : " Je suis comme un aveugle qui a recouvré momentanément la vue. C'était encore plus merveilleux que je ne l'avais rêvé. Sentir sa queue serrée de partout et voir le cul de Marie Jo tout avaler, c'était dément. J'ai joui comme jamais". Je disposais de Viagra et en proposais à François pour qu'il retrouve de la vigueur pour le deuxième chapitre. Nous nous rapprochâmes de Marie Jo qui se prêta volontiers à nos caresses de plus en plus précises. Nos érections repartirent de plus belle. Le sexe de François se remit à gonfler sous les caresses de Marie Jo et - était ce la disparition de sa timidité ou l'effet du Viagra ou les deux ensemble - mais il se mit à prendre des proportions qui l'étonnèrent lui-même-. La tri angularité de son sexe avait disparu et c'était maintenant un long pénis cylindrique monstrueusement épais qui n'en finissait pas de se développer. Nous retournâmes à la chambre et Marie Jo déclara " Cette fois ci, je vais enfin avoir mon sandwich ". Par précaution, il fut décidé que François, après avoir difficilement enfilé une capote King Size, prendrait Marie Jo par-devant, pendant que je me régalerai de son derrière. Il s'allongea donc sur le dos, laissant Marie Jo l'enjamber et s'installer sur lui. Elle contempla un instant le vît dressé en son honneur, puis se décidant, avança, releva le bassin, prit le membre dans sa main droite et entreprit de s'empaler dessus. Elle descendit pendant un temps qui parut interminable, les yeux fermés, concentrée sur des sensations extrêmes, et à notre étonnement, le fit entrer entièrement en elle. Elle esquissa ensuite quelques mouvements d'accoutumance, prenant appui sur les épaules de François. Celui ci profita de la proximité de sa poitrine pour saisir à pleines mains les seins fermes et ronds qui s'agitaient sous ses yeux. Je la caressais, promenant une main langoureuse sur le bas de son dos. Je montais sur le lit à mon tour. François avait serré les jambes et je pus m'installer, les genoux de part et d'autre de ceux de Marie Jo. Elle continuait à se prendre sur l'engin de François. Je m'avançai, promenant mes mains sur les fesses de ma femme, bien décidé à les écarter pour honorer son rectum. Quand elle sentit ma queue se présenter à l'orée de son anus, elle se tourna vers moi et d'une voix suppliante me dit " Attends encore un peu, je me régale trop. " Surpris qu'elle reporte la double pénétration tant désirée, je me retirai, quittant même le lit pour venir la voir déguster sa pénétration. Le torse penché en avant, les yeux mi-clos, elle ondulait sous la délicieuse brûlure de l'envahissement intime qui était le sien. Qui a dit que la taille du sexe ne compte pas ? A croire qu'elle ne compte pas seulement quand il est trop grand! Sa respiration s'accéléra progressivement et en quelques instants, les yeux fermés, concentrée sur son plaisir, elle jouit. Elle se relâcha enfin et demeura entièrement abutée, savourant la pleine possession dont elle était l'objet et la bénéficiaire. Ouvrant enfin les yeux, elle envoya sa main droite saisir le pénis de François à la base avec deux doigts, vérifiant ainsi que son partenaire n'avait pas joui. S'accordant quelques brefs moments de répit, elle donna encore deux ou trois coups de reins pour profiter encore de ce membre quasi animal puis s'adressant à moi " Tu peux venir quand tu veux ! " Comment rester sourd à une telle invite ? Je repassai derrière elle. François cessa de bouger en elle et tous les deux se concentrèrent en attendant mon arrivée. Je présentai mon sexe face à son anus et entrepris de la prendre comme nous avions coutume de la faire parfois avec un godemiché de bonne facture. J'avais un peu la crainte de ne pas pouvoir entrer ou d'avoir la queue écrasée par la rigidité que j'avais parfois rencontrée avec les godemichés. Surprise! Au fur et à mesure que je poussais sur son anus, celui ci cédait. Le gland entra. Quelle facilité de pouvoir la prendre ainsi malgré l'occupation dont elle était l'objet. Son rectum était délicieusement resserré et son fourreau pressait le début de ma queue. Mon sexe n'était pas écrasé par la présence de celui de François, relativement malléable par rapport à un gode. Je marquais une pause et m'enquis " Ca va ? " Sans tourner la tête, elle susurra " C'est génial, tu peux continuer ". Enhardi, je repris ma poussée rectiligne et plongeais dans ses reins, ne m'arrêtant que lorsque mon scrotum entra en contact avec ses fesses. Elle feula sous la double et délicieuse pénétration. Je demeurai quelques instants fiché en elle, savourant l'ensemble des sensations qui s'offraient à moi. Une pénétration n'empêchait pas une seconde, les deux sexes s'écrasant un peu à travers les minces parois. François commença à bouger dans le ventre de Marie Jo et sans nous concerter, avons débuté une sarabande infernale. Tantôt, nous la pénétrions ensemble, tantôt, alternativement. Quel que soit le mode de pénétration, Marie Jo donnait libre cours à son plaisir et entama l'ascension d'un nouvel orgasme. Sentant les délicieux picotements du plaisir monter mes testicules, je me retirai, me mis debout, les jambes de part et d'autre du couple qui feulait et repris possession de la croupe de ma femme. Elle se laissait labourer, s'offrant aux deux pieux qui la défonçaient. A un moment, nos coups de boutoirs se firent simultanément et le plaisir de Marie Jo augmenta encore. D'un accord tacite, François et moi nous accordâmes à conserver cette cadence. Elle donna de violents coups de reins pour se faire prendre encore plus. L'entendre jouir son fantasme tant désiré déclencha le mien. Pendant qu'elle jouissait, allongée sur son partenaire, je me lâchai en éjaculant au plus profond de ses entrailles ce qui me sembla être des litres de sperme. Elle se calma enfin, soufflant comme un bœuf. Les genoux en coton, je quittais la couche, admirant ma belle qui savourait son engourdissement post orgasmique. Elle se dégagea du membre toujours aussi raide, fila dans salle de bains contiguë. François avait réussi à ne pas éjaculer, gardant sa vigueur pour en régaler Marie Jo. En revenant, elle s'assit sur le bord du lit et prit le pénis dressé dans sa main. Je lui lançais " Alors ! Heureuse ? " Ce qui était une plaisanterie entre ma femme et moi. Le visage défait par le plaisir, elle annonça. Moi qui aime la sodomie, jamais je ne me suis fait défoncer le cul comme ça. Quant au double ...c'était dément. Mais, je ne pourrai plus jouir avant au moins des heures. François, pour te remercier de t'être bien occupé de moi avec Franck, et comme jusqu'à ce soir, tu n'avais jamais joui dans un anus de femme, si tu veux, tu peux te terminer en m'enculant en levrette ". Ravi, sans dire un mot, désireux de se libérer de tant de tension, il la poussa doucement sur le lit pour qu'elle se mette à quatre pattes. Je rajoutai du gel à l'anus de Marie Jo pour qu'elle ne ressente de cet envahissement total que le plaisir. Il se glissa rapidement derrière elle et n'eut aucune peine à investir l'anus encore dilaté. Il entra entièrement dans le cul offert et en prit totalement possession. Il commença à donner de puissants coups de reins. Le corps de Marie Jo tremblait sous la violente possession. Ses seins lourds dansant sous les impulsions de plus en plus fortes, elle attendait que son étalon prenne sa récompense. La saillie se prolongeait. Je décidais de faire un saut à la salle de bains pour me livrer à quelques ablutions. Quand je revins, François n'avait toujours pas éjaculé. Le regard interrogateur de mon épouse lui fit ralentir la cadence. " Je me suis trop retenu, fit-il en haletant, je n'arrive plus à jouir ". Marie Jo avait déjà rajouté deux fois du gel sur son anus. " La capote chauffe trop et ça devient désagréable, dit-elle. Si ça ne te dérange pas, je vais te terminer dans ma bouche ". Il retira sa capote et présenta son membre gonflé à ses lèvres. Elle soupesa ses testicules de la main gauche l'empoigna. Elle ajouta " Je te prends dans ma bouche, mais je n'avale pas le sperme, je réserve ça à Franck ". Il répondit " Tu plaisantes, j'avais déjà envie de te sauter. Je ne pensais pas que j'aurais la joie de t'enculer, je n'ai pas à me plaindre". Elle n'eut pas à baisser la tête, tant par la différence de leurs tailles que par la longueur du mandrin. Elle dut ouvrir entièrement la bouche pour l'engloutir. Pourtant, elle n'arriva qu'à avaler à peine les deux tiers de l'engin. Elle le ressortit de sa bouche, repoussa le prépuce et mit à jour un gland monstrueux et violacé. Elle y déposa un peu salive et entreprit de le masturber le membre, ne gardant que le gland dans sa bouche. De l'autre main, elle lui massait les testicules, hasardant parfois un doigt à l'orée de l'anus. François était aux anges. La tête en arrière, les yeux fermés, il savourait cette caresse digne de celles des meilleures prostituées de Cannes. En un peu moins d'une minute, il montra tous les signes annonciateurs d'une éjaculation proche. Un spasme un peu plus fort le fit s'arracher à la bouche de Marie Jo, mais elle le tenait toujours par la hampe. Il hurla un " Ohhh ! ! " révélateur de la puissance de son plaisir et éjacula de longues traînées de sperme brûlant sur le cou et les seins de Marie Jo. Elle continua à le branler vigoureusement jusqu'à ce que la dernière goutte soit sortie. Fou de bonheur, il se pencha vers elle et l'embrassa à pleine bouche pour la remercier du plaisir intense qu'elle venait de lui donner. Ses grosses mains se saisirent de ses seins et, en la caressant, il étalait le sperme qui y coulait. Pas très branchée sur les baisers non conjugaux, elle attendit quelques secondes puis le repoussa gentiment. Elle se pencha en avant pour flatter le sexe qui l'avait si bien comblée et soupesant les testicules de la main gauche, elle déposa un bisou sur la hampe. "Merci petit fauve ! J'ai été très heureuse de ta présence ...". Se tournant vers moi, elle continua "Mon chéri, cette soirée a été extraordinaire, tu m'as donné beaucoup de bonheur." Deux heures du matin venaient de sonner. Après une toilette bien méritée, nous nous séparâmes en nous promettant de nous revoir dès que Marie Jo en aurait encore envie ce qui ne saurait tarder.
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