Tu es toute penaude sous mes paroles vertes Campé sur un sofa, je te toise, je bous Tu sens ma volonté, Tu jauges mon courroux Puis tu baisses les yeux, résignée et offerte
Sévère et décidé, je te dis d’approcher J’agrippe tes cheveux d’une main ferme et tendre Je retrousse ta jupe, d’un geste décidé Je saisis ton fessier, je t’oblige à t’étendre
Entre ma main et toi, un film de coton Que j’abaisse en douceur, caresse délectable Dénudant au passage cette chair d’amidon
Et quand mon bras se lève, et que le temps s’emballe Tu plus toute entière qu’envie d’être fessée Et tu sens sous ton ventre mon désir s’allonger |