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Je suis une jeune femme de 38 ans. Je suis mariée, mais mon mari pour son travail s'absente pendant plusieurs mois. Je n'ai aucune envie d'entamer et d'avoir de relations extra-conjugales avec d'autres personnes pour satisfaire ma libido. Nous avons donc trouvé ensemble un moyen simple : l'écriture et la lecture. Je suis mise au clavier pour raconter mes phantasmes, mes désirs au sein de petites histoires. Voici les premières. Le but est très simple, écrire cela m'excite, de savoir quelles seront lues encore plus, et de lire vos impressions, cela reste à découvrir ....

     La porte de l'appartement s'ouvre, je vais vite voir si c'est toi. Je me suis habillée pour l'occasion d'une jupe courte et d'un chemisier. Le reste tu verras bien. Je m'approche tu me prends tendrement dans tes bras, nos bouches s'approchent et nous échangeons un merveilleux baiser, nos langues se mêlent. Nous restons collés l'un contre l'autre. Tes mains cherchent me caressent les cheveux, les épaules. Ta main droite descend sur mes fesses. Je te pousse le bras.

     - Pas encore mon cœur, ce soir c'est moi qui décide, tu auras le droit de voir, de toucher quand je le déciderais. Viens entre dans le salon. Je veux réaliser ce soir plusieurs de mes fantasmes avec toi.

     Je te prends la main pour t'emmener dans le salon. Une musique de piano très douce en fond sonore.

     - Viens au milieu de la pièce et reste debout. Tu ne diras rien et surtout laisse moi faire.

     Je défais les boutons de ta veste, pour te la retirer. Je vais la poser sur une chaise. Mes mains caressent ton torse musclé puis je défais ton nœud de cravate tout en embrassant tes mains tes joues. Mes doigts viennent défaire les boutons de ta chemise blanche. Très lentement, chaque bouton laisse apparaître un peu plus de ta peau. Ma bouche gourmande vient embrasser ta poitrine tes petits tétons. Mes mains passent dans le dos pour retirer la chemise du pantalon. Je vais la poser sur la chaise par-dessus la veste. Je m'accroupis devant toi pour venir défaire les lacets de tes chaussures que je jette plus loin dans le couloir. Je relève la tête pour vernir dégrafer ta ceinture de pantalon, j'ouvre la première agrafe puis la deuxième agrafe le pantalon tombe à tes pieds en tire-bouchon. Je caresse tes cuisses musclées avec le creux de la main, puis je te fais passer chacune des jambes par-dessus le pantalon. Je prends chacun de tes pieds pour te retirer les chaussettes. Ma bouche se pose sur tes cuisses ton ventre. Ma petite langue vient tourner autour de ton nombril. Je sens que sous ton caleçon ton sexe. Toujours accroupie devant toi je viens poser mes lèvres sur le tissu cherchant le bout. J'embrasse ta queue, puis avec la bouche je viens prendre le caleçon pour le tirer vers le bas. Le sexe dressé empêche le passage du tissu je tire plus fort et voila enfin l'objet de mon envie droit devant moi, a deux mains tout en embrasant le bout je te fais retirer le caleçon pour te présenter nu devant moi. Tu es beau droit comme i en vertical et à l'horizontal. Ma main droite vient se poser sur la hampe de ton sexe.

     - Viens, suis moi et ne fais rien.

     Tout en te masturbant lentement je t'amène jusqu'à la table basse du salon. Je te fais couché dessus, les fesses au bord, les jambes étendues. Je viens me mettre sur le côté a genou. Ma bouche vient se poser sur ta bouche et nous échangeons à nouveau un baiser long, très humide. Tout en t'embrassant, mes ongles viennent jouer avec tes bourses tes poils. Puis ma main vient prendre la hampe de ton sexe pour faire des petits mouvements très courts et très lents. Mon, autre main vient se poser sur tes bourses pour les prendre dans le creux et les masser. Tout en faisant ces gestes toujours très lentement, ma bouche vient se poser le haut du gland. Mes lèvres à peine ouvertes viennent pendre le prépuce et le pousser vers le bas. Tout en baissant la tête je pousse le prépuce et ma langue vient lécher le gland dénudé. Tu bouges le bassin, je sais que tu aimes. Le gland décalotté je retire ma bouche pendant que ma main droite remonte la peau sur le sur le haut du gland. Toujours en te massant les couilles, je recommence mes jeux de langues. Je sens ton sexe se durcir. Il est maintenant dressé très fièrement devant moi. Je te fais écarter les jambes pour venir me mettre devant toi. Mes ongles caressant l'intérieur des cuisses ma bouche gourmande vient prendre chacune de tes boules en bouches, j'aspire, je lèche, ma langue passe de l'une à l'autre. Ma bouche remonte et vient prendre la hampe de ton sexe pour te masturber. Ma tête monte et descende le long de ton sexe. Tous mes gestes sont lents, très lents. Je me redresse pour prendre le gland en bouche que je frotte contre l'intérieur de mes joues, puis je viens frotter ton sexe sur mes joues, mon nez, mes cheveux. Ton gland est tout rouge. Je reprends ta queue en bouche, mes lèvres se referment sur le gland et je baisse la tête, le gland contre ma langue je le sens rentrer encore plus loin encore, mes lèvres viennent se plaquer contre ta hampe et je pousse encore ton gland vient frotter contre ma glotte, j'essaye de jouer avec pour venir de titiller le bout du gland. Très lentement je reviens en arrière pour te dégager le sexe. Et je recommence toute ne massant les couilles. Je viens lécher le bout du gland prenant un peu de ce premier jus juste à la sortie du méat.. Je sais que tu aimes ce jeu là. Mes mains viennent à nouveau te masturber et te caresser les couilles. Mes gestes sont toujours lents attentifs à te donner du plaisir. Mes ongles viennent se perdre dans les poils. Puis ma bouche prend à nouveau possession du gland que je lèche avec la langue ou que je masse avec mes lèvres. Ma bouche courre des couilles au gland léchant, mordillant, humectant. Je sais que tu es proche de la jouissance, je me remets sur le côté pour te masturber lentement. Ma main monte descend, monte descends. Ton bassin tremble. Mon autre main vient sur tes bourses pour les presser, ma main monte descend. Tu bouges le bassin cherchant à me faire accélérer le geste mais je reste à la même vitesse, je sens ton plaisir proche. Tout en masturbant très lentement je sens ta queue vibrer je sens le sperme monté dans le conduit et je le vois sortir de ta queue et je continue très lentement à te masturber et à caresser tes couilles. Un jet, puis un deuxième puis un troisième. Mes mains toujours en mouvement tu jouis mon cœur, tu jouis, ton visage est magnifique comme cela. Ton ventre plein de sperme je viens t'embrasser tu me caresses les cheveux et je continue mon lent mouvement de va et vient sur ton sexe. J'étale ton sperme avec mes doigts sur ton ventre, c'est chaud, visqueux. Je viens prendre ta verge dans ma bouche pour lécher le gland, le frotter contre l'intérieur de mes joues.

     - Viens mon chéri, suis moi, nous allons à la salle de bains. Un bain tout chaud t'attend, tu te mets à l'intérieur et je voudrais réaliser un phantasme avec toi.
     - Tout ce que tu veux, mais j'ai envie de te prendre.
     - Cela va venir, ne t'inquiètes pas, tu me faire l'amour et nous allons jouir tous les deux ensemble.

     Je te prends le sexe et te fais lever et je t'emmène à la salle de bains tout en te masturbant. Un bain chaud plein de mousse te tend les bras.

     - Vas-y entre dans le bain, tu verras cela va te détendre.
     - Viens avec moi dans l'eau !
     - Non je t'explique ce que j'ai envie de faire avec toi, c'est un vieux fantasme mon chéri. Je vais faire devant toi un strip-tease et pour me montrer que je te fais de l'effet tu vas te branler et tu vas jouir la devant moi.
     - Non je vais te prendre avant de jouir.
     - Non mon fantasme à moi c'est de te voir te branler pour moi. Allez étends toi et regarde moi.

     Sur un fond de musique douce, je passe mes mains dans mes cheveux, sur mon visage, sur mes épaules, mes seins, mes hanches. Mon corps bouge sur le rythme lent de la musique. Je me déhanche. Mes mains continuent à descendre sur mes fesses, mes cuisses. En remontant mes mains tirent la jupe vers le haut et relâchent puis mes paumes viennent prendre mes seins que je masse. Ma danse devient plus mouvementée, je tourne sur moi-même me cambrant pour bien te montrer mon petit cul. Ma main droite posée sur une fesse caresse le globe, mon autre main vient défaire mes boutons du chemisier un à un. Je défais les pans pour te montrer mes petits seins pris dans un tout mignon soutien gorge en dentelle genre pigeonnier ne couvrant que le dessous du sein laissant libre les tétons. Je vois ton sexe pointé hors de l'eau, le gland est déjà découvert et ta main monte et descend le long de la hampe. Je m'approche de la baignoire me penchant en avant t'offrant une vue sur ma poitrine. Toujours penchée en avant je masse ma poitrine faisant darder les tétons qui s'allongent. Je sais que tu aimes me voir ainsi coquine devant toi. Je me redresse me cambre en arrière te présentant mes pointes devant toi à quelques mètres de toi. Je m'accroupis te montrant mes seins toujours fièrement dressés. Je me recule, passe les mains derrière moi pour descendre la fermeture de ma jupe. Tout en me déhanchant, j'arrive à faire glisser la jupe sur mes fesses, mes cuisses. Elle tombe à mes pieds. Je l'enjambe et montre à toi en porte jarretelle noir et bas couleur chair. Je pose un escarpin sur le bord de la baignoire te montrant mes jambes gainées. Mes deux mains partent de la cheville et montent le long du mollet jusqu'à la cuisse passant sur l'entrecuisse et remontent jusqu'à la poitrine et je recommence plusieurs fois ainsi de suite. Je vois ta queue bien fière devant moi. Je sais que tu voudrais que je la prenne en main, mais je veux continuer t'exciter encore plus et te donner encore plus envie. Je retourne m'asseoir sur le petit tabouret et j'ouvre mes cuisses, j'écarte du mieux que je peux te montrant ma fente à travers le string. Si tu savais comme je suis mouillée mon chéri, si tu pouvais voir tu verras le jus sortir de mes lèvres je me redresse m'approche de toi. Je te tourne le dos te montrant mon cul. Tout en me penchant en avant je fais glisser mon string sur mes fesses mes cuisses mes mollets. Tu découvres mes deux globes blancs laiteux. Je me frappe légèrement dessus

     - Salope tu as un beau cul qui me fait bander je vais te baiser
     - Non mon chéri, branle toi encore, mets toi debout que je te vois mieux, que je vois ta belle queue bien fière rien que pour moi.
     - Oui tu as raison regarde.

     Tu te redresses le sexe en érection bien droit tes mains sur tes couilles sur ta hampe. Ton geste s'accélère de plus en plus tu gémis, tu grognes.
     Je suis excitée de t'entendre ainsi, je me mets à 4 pattes devant toi écartant les jambes pour te montrer ma chatte luisante. Des deux mains j'écarte les lèvres pour te faire découvrir l'entrée du vagin. Je me masse d'une main les seins et de l'autre je cherche mon clito pour le caresser. Je me sens offerte prête à tous les excès. Un doigt sur le clito, un autre doigt pénètre mes lèvres et mime un coït. Je remue ma croupe. Je ne te vois pas mais tu me traites de tous les noms.

     - Petite garce, tu aimes te montrer comme çà. Le cul bien offert. Ta chatte est toute trempée. Tu aimes te montrer. Tu as de la chance que je t'aime sinon je viendrais bien te défoncer ton arrière train que tu ne pourrais plus t'asseoir.
     - Tu as raison, regarde mon œillet comme je le caresse regarde bien mon doigt comme il rentre dedans. Oh j'aime me caresser devant toi. J'aime te voir te donner du plaisir. Remets toi dans la baignoire mon chéri tu vas me lécher mon petit trou.

     Tu glisses dans le fond de la baignoire ta main toujours active sur ton sexe, je sens que tu vas être prêt à exploser et je veux être la devant toi pour voir cela. Je te tourne le dos et pose chacun de mes genoux sur le bord de la baignoire et je glisse vers l'arrière te présentant mon petit cul face à ta bouche.

     - Allez lèches moi l'oignon, écarte avec tes mains mes globes et mets bien ta langue dedans.

     Je remue la croupe me frottant sur ton visage les mains posées sur le rebord de la baignoire je me penche et juste en-dessous de mon visage, j'ai le bout de ton gland. Je vois ta main aller et venir très vite de haut en bas. Tes mouvements sont amples recouvrant et découvrant le prépuce. Ta langue fouille mon anus caressant les muscles. Tu mes donnes de petites tapes sur les fesses. Je suis complètement folle, je mouille je jouis je sens ma petite chatte couler de cyprine. Avec tes mains, tu remontes le jus sur mon anus et tu continues tes caresses. J'approche encore mon visage de ton sexe, je vois le méat s'ouvrir à chaque mouvement, tes gestes sont de plus en plus rapides. Je sens que tu vas jouir. J'ouvre la bouche en grand.

     - Vise bien mon chéri, vise bien que j'avale ton sperme.
     - Tiens tu vas tout prendre.

     Tu remontes le bassin et voilà le sperme sort de ta queue. Je happe le premier jet, puis le second, j'ai du sperme plein les lèvres. Pendant que tu jouis ta langue s'est enfouie dans mon petit trou, c'est à mon tour de jouir de couler. Je viens prendre le ton gland entre mes lèvres au moment ou tu redescends le bassin. Je sens le gland passer mes lèvres et je garde le sperme qui a coulé autour.

     - T'es une belle salope, ma chérie, tu as réussie à tout me pomper.

     Tu me mets une tape plus forte sur les fesses qui me déstabilise et je tombe dans la baignoire en sous vêtement. Nous rions tous les deux et nous profitons de ce moment pour nous embrasser à pleine bouche. Je te caresse le torse poilu, les cheveux le visage, nous vivons un parfum moment de bonheur. Je me déshabille entièrement et je me couche nue à côté de toi dans l'eau.

     - Tu sais mon cœur, la soirée n'est pas finie et tu dois encore passer une épreuve. Je suis peu être pas aussi salope que tu crois parce que je suis certaine que tes couilles ne sont pas vide.
     - Ah bon, je vais enfin pouvoir te glisser ma queue dans ta petite chatte, mais je ne suis pas sur de pouvoir rebander.
     - Peut-être tu verras, bien j'ai encore un fantasme à réaliser avec toi. Tu vas aller à la cuisine où tu trouveras la table mise avec un couvert, le tien. Il y a un mot dans ton assiette. Tu vas le lire et tu verras.

     Nous sortons du bain et nous nous essuyons, puis je te pousse vers la cuisine, tandis que je vais dans la chambre. Tu es nu, tu t'assois sur la chaise et tu ouvres l'enveloppe qui contient le papier suivant :

     " Mon cœur, j'ai encore un fantasme à réaliser ce soir avec toi. Tu sais que je peux être une décideuse mais j'ai envie parfois de subir aussi, alors ce soir, je vais être ta chose. Sois dure quand il le faudra et sois tendre quand il le faudra aussi. Tu vas t'asseoir à table et quand tu taperas dans les mains je viendrais tu pourras me faire faire ce que tu veux, je serais à ta disposition. Je suis certaine que tu sauras faire et que tu décideras des bonnes choses pour notre plus grand plaisir à tous les deux. Voici la liste des accessoires mis à ta disposition, à toi de les utiliser tous ou pas du tout..."

     De la chambre ou je me suis changée, j'entends un claquement de main. Je me dirige vers la cuisine dans une tenue peut être surprenante pour toi. Je suis habillée en toute jeune servante ou lycéenne. Je suis en jupe plissée courte noire, je porte un chemisier en polyester blanc. Je me suis faite des couettes. Pour être un peu plus attirante, je suis mise des bas blancs genre dim-up dont la jupe ne cache pas l'élastique de maintien.
     Je me présente devant toi tête baissée.

     - Monsieur a appelé.
     - Oui, oui j'ai appelé. Bon tu vas me préparer un whisky j'ai soif.
     - Oui monsieur, avec de la glace ou sans glace.
     - Depuis le temps que tu es ici, tu ne le sais pas encore, si je bois avec ou sans. Qu'est ce que tu peux m'énerver. Je bois le whisky sans glace mets le toi dans la tête ou ailleurs mais que cela soit la dernière fois.
     - Bien monsieur.

     Je prends un verre, et verse du Cardhu jusqu'à la moitié du verre. Je pose le verre sur un plateau avec un bol de quelques olives, et des pistaches. Je t'apporte le tout et pose le verre et les bols devant toi. Je retourne ranger le plateau et reste debout un peu à l'écart.

     - Dis donc, quand je bois un whisky, tu fais quoi en même temps.
     - Je ne sais pas monsieur.
     - Ben voyons. Aller viens me sucer la queue cela va me détendre de cette journée de merde. Allez mets toi à genou là sous la table.

     Je me glisse sous la nappe et entre tes cuisses, je prends ton sexe mou entre mes lèvres. J'aspire, je lèche je frotte mais rien n'y fait, tu ne bandes pas.

     - Regarde moi çà salope, tu n'es pas capable de me faire bander. Tu as vu ma queue comme elle est molle. Comment veux-tu que je m'enfile ma secrétaire qui vient tout à l'heure si je ne bande pas. Tu te crois où, dis moi. Allez recommence avant que je me fâche.

     Tu prends ta queue pour me la mettre entre mes lèvres. Je reprends mes caresses buccales avec la langue, les mains. Je tente tout, je te lèche les couilles, la hampe, le gland rien n'y fait tu restes toujours mou.

     - Bon je crois que tu as mérité ce que tu as cherché. Relève toi, tu as l'air incapable de sucer ce soir, comme si tu étais une débutante. Dans le tiroir de la table tu trouveras un gode à la forme de ma queue, sors le et viens te mettre à genou à côté de moi. Donne moi le et mets tes mains dans le dos.

     Tu prends le gode dans la main et l'approche de ma bouche.

     - Ouvre ta bouche doucement et prends le bien entre tes lèvres. Voilà c'est bien

     Et tu le pousses un peu plus loin et tu le ressors et recommences toujours lentement. Deux fois, trois fois et à toutes les fois, tu m'obliges à ouvrir encore plus la bouche pour le gober encore plus. Mes joues sont distendues sous la forme de l'engin.

     - Et bien c'est pas mal. Tiens à toi prends le dans une main et continue les gestes. Avec l'autre main branle moi tu m'excites de te voir sucer cette queue.

     Je pose ma main sur la hampe et commence une lente masturbation pendant que je suce ce morceau de choix. Je promène le gode sur mon visage te je le reprend pour le mettre le plus loin possible dans ma bouche. Ta queue recommence à prendre forme, à reprendre de la vigueur. Je continue à sucer et branler alternant les mains sur ton engin.

     - C'est bien je crois que tu as compris. Laisse moi cet engin de coté et maintenant passe à la pratique et viens prends le mien dans ta bouche. Voilà comme cela. Hum ta bouche est chaude, et gobes à fond celui là aussi. Hum j'aime cela, boire un whisky et se faire sucer par une pipeuse bien dressée. Caresse moi les couilles, prends les dans ta bouche comme je t'ai appris. Bordel que j'aime cela. Bon je vais manger, apporte moi le premier plat.

     Je vais cherche dans le frigo une salade. Pendant que je te sers tu passes une main sous ma jupe pour me caresser mes fesses sous ma culotte.

     - C'est bien tu es une fille propre, tu as mis une belle culotte comme je les aime, en coton. Voilà j'en ai assez. Va chercher dans le frigo ton plat à toi, le petit bol et reviens vers moi.

     Tiens donc c'était pas prévu cela, mais obéissante, je reviens avec un bol plein de chocolat. Et je me remets à genou à côte de toi.

     - Donne moi une cuillère.

     Tu te mets à barbouiller ta queue, tes bourses de la pâte à tartiner.

     - Voilà c'est ton repas. Pendant que je mange tu dois tout manger de ton côté et rendre ma queue propre aussi propre que je vais rendre mes couverts et mon assiette.
     - Bien monsieur.

     Je n'avais pas prévu cela mais pourquoi pas. Je me glisse sous la table entre ses cuisses et je commence à lécher les couilles sans chercher à masturber cette queue. Ma langue fait le tout de tout enlevant chaque partie de pâte à tartiner de ce sexe encore plus dur. Tu glisses un peu sur la chaise me permettant de mieux nettoyer ton beau sexe.

     - Et quand on a aimé un plat, on lèche toujours les couverts.

     Et je prends en bouche ton sexe pour le passer sur les parois intérieures de mes joues. Je décalotte le gland pour le reprendre en bouche.

     - Ce n'est pas une raison de manger l'assiette. Va me chercher le deuxième plat et amène le deuxième bol.

     Cette fois ci, tu te badigeonnes le sexe de confiture. Et je recommence mes exercices. Cela doit te faire de l'effet car ton sexe a repris une consistance normale d'homme avide de désir. La bandaison est forte et bien dure. Tu commences à donner quelques coups de bassin cherchant à guider mes caresses.

     - Voilà c'est parfait tout cela, j'ai bien mangé et tu t'es bien comportée. Maintenant pour le dessert, je vais bouffer une moule. Aller, allonge toi sur la table, laisse pendre tes jambes et surtout écarte les en grand.

     Tu t'assois entre mes cuises et tes mains ouvrent mes lèvres dégageant le clito que tu viens aspirer de toutes tes forces.

     - Ah, cela me fait mal.
     - Dis donc tu dois te taire, depuis quand tu te plains.

     Et tu replonges ta tête entre mes cuisses. Ta langue commence à courir sur mes peaux, tu ouvres ma petite chatte. Ta langue pénètre mes chairs puis va sur mon petit trou. Je remue le bassin de plaisir.

     - Enfin ce n'est pas vrai, tu ne peux pas rester tranquille. Je crois que tu mérites une punition. Va chercher le martinet dans le placard.

     Je suis toute surprise car cela n'était pas du tout prévu non plus et cela va au-delà des mes espérances.

     - Prends appui sur la table avec tes coudes et recule les fesses que je vois bien ton cul. Relève ta jupe plissée sur la taille. Voilà c'est bien. Maintenant fais glisser ta culotte pour dégager tes fesses.

     Tu passes ta main sur la peau blanche comme pour me donner une caresse, mais tu me donnes une petite tape. Je sursaute.

     - Ah tu sursautes ma coquine et bien tu vas voir ce que c'est une punition.

     Et voilà un coup de martinet sur ma croupe. Les lanières ne tombent comme une caresse sur ma peau.

     - Tu vas le sentir ce coup là.

     Je sers les fesses quand les lanières vont se jeter sur ma croupe plus fort. Je sursaute plus haut. Mais j'ai une sensation plus étrange. Je me sens mouillée.

     - Voilà un troisième coup.

     Je ferme les yeux et le coup tombe sur ma raie. Les lanières sont passées entre mes fesses et ont effleurés mon clito. Hum j'ai aimé le contact du cuir sur ma peau. Mon ventre réagit.

     - Encore monsieur, je veux que vous me frappiez encore.
     - Comment, tu veux encore recevoir des coups de martinet ?
     - Oui monsieur.

     Je tends encore plus ma croupe étant presque sur la pointe des pieds. Et le coup tombe plus fort les lanières claquent sur la partie la plus rebondie de mes fesses. Beaucoup de bruit mais aucune douleur, mais que de plaisir dans mon corps.

     - Encore, encore monsieur, je veux encore.
     - Tiens prends un ces coups sur ton cul de salope.

     Je défais mon chemisier libérant mes seins tout durcis par le désir et le plaisir. Plus tu me donnes de petits coups sur ma croupe plus j'écarte mes jambes jusqu'à sentir ma petite chatte s'ouvrir cherchant le contact des lanières. Mes seins deviennent lourds jusqu'à me faire mal emprisonné dans le soutien gorge en coton blanc.

     - Oh monsieur, c'est si bon, votre punition est si douce.
     - Ben dit donc ma coquine, moi qui voulais te faire mal je vois que c'est le contraire et que tu es en train d'apprécier le martinet. Fais moi voir comme tu mouilles.

     Tu poses ta main sur mes fesses et glisse tes doigts dans ma raie, sur ma fente ouverte.

     - Je vois que tu es train de mouiller ma garce.

     Tu enduis tes doigts de ma cyprine et tu viens caresser ta verge tendue avec en te masturbant en faisant passer le prépuce par-dessus le gland et en te décalottant. Je tends la main pour venir la prendre à plaine paume.

     - Tu veux le faire à ma place, tu veux me branler, hein. Attends retire tes fringues et ne garde que tes bas que je te voie mieux.

     Je me redresse, jette ma jupe plissée au loin, déchire presque mon chemisier, ma culotte mon soutien gorge. Me voilà en bas blanc devant toi. Je reprends ta queue en main pour te caresser le sexe. Elle est dure encore plus dure que tout à l'heure. Je sens bien les veines, je sens bien le gland.

     - Je vais m'asseoir sur la chaise et mets toi accroupie devant moi et passe la entre tes seins. Même si ils ne sont pas gros débrouille toi à me la coincer et me faire bander.

     Ta queue est grosse, j'essaye tant bien que mal en tirant sur mes seins de la caresser. Je penche la tête pour venir gober le gland quand il arrive en haut. J'aime le contact de ton sexe entre mes seins je passe le gland tout autour, sur les tétons durcis, puis je la prends en bouche pour te faire une belle pipe tout en me caressant l'entrecuisse, tout en cherchant mon clito.

     - Je vais t'enfiler maintenant tu m'excites trop. Allons à la chambre et j'ai trop envie de te faire l'amour et te prendre dans toutes les positions.
     - Je t'ai plu, mon chéri, en soubrette délurée, genre coquine.
     - Tu m'as plu tout court mais maintenant j'ai envie de faire l'amour, j'ai envie de te pénétrer, j'ai envie de mettre ma queue dans tes entrailles, de te fouiller.
     - Oui mon chéri moi aussi, j'ai envie que tu jouisses en moi.

     Nous allons en courant dans la chambre. Tu me jettes sur le lit pour me prendre dans la position toute simple du missionnaire. Ton sexe n'as aucun mal à me pénétrer tellement j'ai ma petite chatte distendue. Je te laisse guider, tes mouvements sont lents, circulaires. Je rythme tes allers-retours en contractant mes muscles du vagin pour que tu sentes mieux mon sexe, pour que je sente mieux ton gland en moi. Tu me tournes sur le côté. Nous faisons l'amour lentement, vite lentement. C'est merveilleux de te sentir comme cela en moi. Je jouis à intervalle régulier tellement c'est bon et toi tu continues à me prendre. Je suis maintenant sur toi.

     - Mets la moi dans mon petit trou, mon chéri, encule moi, j'ai envie. Prends de la vaseline dans le tiroir pour me préparer pendant que prépare ta queue.

     Mutuellement nous nous préparons pour ce bonheur intime. A 4 pattes sur le lit, me tenant au montant je t'offre mon petit cul dont tu as tant envie. Tu présentes ta verge à l'entrée de mon anus. Avec ta main tu promènes le gland le long de ma raie, tu cherches l'entrée.

     - Là plus haut, vas-y pousse doucement. Ah, ah doucement.

     Je sens le gland écarter l'œillet. Mon dieu que cela fait mal mais je suis si excitée par toutes ces heures de plaisir que de mon côté je pousse en arrière les fesses pour t'aider à la pénétration. Voilà le gland est passé et il entre dans mes entrailles.

     - Pousse encore mon chéri, pousse encore plus loin et vas-y fais moi l'amour. Cela fait mal mais c'est si bon, touche ma chatte elle est encore plus trempée que d'habitude.

     Pendant de longue minutes tu me prends ainsi, je hurle de plaisir de douleur mais j'aime çà c'est un cadeau que je voulais te faire mon chéri. Encule moi bien mon amour. Vas-y encore et encore. Tes mouvements se sont de plus en plus rythmés plus rapide. Tu commences à prendre ton plaisir car je pense que pour toi aussi le gland a du souffrir.

     Nous changeons de position et tu es sur le dos et moi au-dessus de toi ta queue toujours rivée entre mes fesses, je peux en, même temps me caresser ma chatte, mon clito.

     - Je vais jouir ma chérie, tu vas encore me faire jouir.
     - Gicle dans mon cul, allez vas-y arrose moi le de ta semence.

     Je serre les fesses pour mieux te prendre le gland, cela me fait des douleurs affreuses mais je sens ton gland se gonfler prêt à cracher ton, jus. Voilà c'est fait bien calé au fond de mon cul tu décharges.

     - Mon dieu tu avais encore tout cela à me donner. Quel dommage je l'aurai bine gober.

     Tu te retires et comme à mon habitude je viens prendre ta queue molle entre mes lèvres pour venir lécher le gland tendrement comme un bonbon. Je ronronner comme une petite chatte. Tu me caresses les cheveux.

     - Tu es une drôle de femme, tu sais : sérieuse en tout même dans un lit tu tiens ta place. Tu m'as vidé les couilles.
     - Allons nous laver, nous sommes transpirons comme des coureurs de fonds.

     Sous la douche nous nous lavons mutuellement le corps, les seins, les fesses. Je profite de ce moment pour encore prendre ta queue dans ma bouche mais rien n'y fait je crois que tu es vidé pour le moment.

     Le téléphone sonne au salon. Je vais décrocher.

     - Bonjour Anne, comment vas-tu ? Oui cela va bien... Non, non, il ne rentre que dans un mois. Pour le moment il est à Taiwan.... Nous nous téléphonons peu tu sais... Ne t'inquiètes pas Anne, ton mari nous a fait un exposé sublime ce soir. Tous nos clients sont convaincus que nous sommes les meilleurs. Il est dans la salle de réunion en train de raccompagner les derniers invités... Écoute ne t'inquiètes pas, juste après il rentre, ne t'en fais pas il sera chez toi d'ici une demi-heure au plus tard une heure.... A bientôt Anne. Au revoir.
     C'était ta femme, elle s'inquiétait que la rencontre avec nos clients durait trop à son goût.
     - Ah, et tu lui as dit quoi ?
     - Que veux-tu que je lui dise, que nous avons fait l'amour toute la soirée comme des amants fous l'un de l'autre !!!
     - Tu sais bien que c'est vrai pourtant.
     - Non c'est pas vrai, nous avons fait l'amour parce que j'avais envie et que mon mari est loin et parce que tu avais envie toi aussi. Mais tu sais très bieN que tout cela ne doit rester qu'un secret et que nous devons surtout pas en prendre l'habitude, mais que du plaisir.
     - Oui je sais, mais tu baises si bien.
     - Pas de mots déplacés veux-tu, nous ne baisons pas, nous faisons l'amour. Ne nous disputons pas. Aller rhabilles toi et rentre vite chez toi, ELLE t'attend.

     Je suis maintenant seule chez moi, pas vraiment triste mais seule. Je me fais couler un bain chaud pour me détendre pour enlever le stress de ces dernières minutes ridicules. Dans l'eau chaude je me masse l'anus encore douloureux. Et toi tu vas rentrer chez toi, garer la voiture dans le garage. Une fois la porte passée, elle va t'attendre dans l'entrée dans un déshabillé bleu très vaporeux, presque nue elle ne portera sous son déshabillé qu'un string et un merveilleux soutien gorge tenant ses gros seins assortis au déshabillé. Comment je sais tout cela mon chéri, parce que nous étions ensemble quand elle a acheté cet ensemble. Dans le couloir, elle va te pousser contre le mur, défaire ta ceinture et prendre vite fait ta queue flasque entre ses lèvres pleines de rouge à lèvres tout rouge. Tu vas lorgner sur cette poitrine magnifique que tu aimes tant. Elle va te sucer, elle n'aura aucun mal à te faire une cravate de notaire et toi tu vas bander, tu vas bander parce que tu aimes cela. A force de te prendre les couilles dans ta bouche ta queue va devenir raide, elle va te branler avec des gestes très brusques très vite. Excité tu vas la relever et l'entraîner sur la table de la salle à manger ou tu vas la coucher et la prendre comme cela. Et là tu vas la baiser, la pistonner à grand coup de reins. Elle va hurler qu'elle aime, qu'elle adore. Comme tu as les couilles vides tu vas avoir du mal à jouir alors tu vas sortir de se chatte pour la prendre dans le cul. Elle te dira qu'elle ne veut pas, que vous ne le faites pas souvent, puis finalement tu vas pousser ton gland au fond d'elle. Tu ne t'apercevras pas que c'est rentré tout seul. Pourquoi je sais tout cela mon chéri ? Un jour je te le dirais, ou elle te le dira. Tu sais mon cœur ta femme et moi nous sommes assez intimes. Tu vas la bourrer la prendre encore plus fort allez encore plus loin. Ton acte sexuel n'est pas loin de la bestialité, grognement, hurlement, sueur. Tu lui a pris chacune de ses jambes dans chacune de ses mains et tu lui écartes les cuisses pour mieux voir ton sexe pénétré son petit cul. Tu vas sentir ta jouissance monter dans ta queue. Tu vas te retirer, elle va se mettre à genou devant toi pour te sucer et tu vas jouir sur ces cheveux blonds tu vas lui en mettre partout sur le visage. Tu te rendras compte que tu avais encore de la sève en toi.
     Tout en voyant cette scène, mes doigts on trouvé mon clito que je masse sans chercher à me faire jouir car j'ai eu moi ce soir la meilleur part de toi, mais demain après demain c'est elle, la belle blonde de Anne qui va être ton jouet et toi ce que j'ai subi ce soir, elle va avoir droit au même jeu. Et c'est amusant parce qu'elle va me demander ou est-ce que tu vas chercher tout cela. Et je lui répondrais que je ne sais pas. Que veux-tu que je dise ?

     Je suis fatiguée et demain une autre journée va commencer. Je sors du bain, je m'essuie passe une nuisette très sexy qui ferait bander n'importe qui mais il n'y a plus personne pour me voir et je vais dans la chambre, pour me coucher sur le lit là ou quelques heures plus tôt nous avons fait l'amour nous n'avons pas baisé. Je ferme les yeux et je dors.
     

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