Je suis une jeune femme de 38 ans. Je suis mariée, mais mon mari pour son travail s'absente pendant plusieurs mois. Je n'ai aucune envie d'entamer et d'avoir de relations extra-conjugales avec d'autres personnes pour satisfaire ma libido. Nous avons donc trouvé ensemble un moyen simple : l'écriture et la lecture. Je suis mise au clavier pour raconter mes phantasmes, mes désirs au sein de petites histoires. Voici les premières. Le but est très simple, écrire cela m'excite, de savoir quelles seront lues encore plus, et de lire vos impressions, cela reste à découvrir .... La porte de l'appartement s'ouvre, je vais vite voir si c'est toi. Je me suis habillée pour l'occasion d'une jupe courte et d'un chemisier. Le reste tu verras bien. Je m'approche tu me prends tendrement dans tes bras, nos bouches s'approchent et nous échangeons un merveilleux baiser, nos langues se mêlent. Nous restons collés l'un contre l'autre. Tes mains cherchent me caressent les cheveux, les épaules. Ta main droite descend sur mes fesses. Je te pousse le bras. - Pas encore mon cœur, ce soir c'est moi qui décide, tu auras le droit de voir, de toucher quand je le déciderais. Viens entre dans le salon. Je veux réaliser ce soir plusieurs de mes fantasmes avec toi. Je te prends la main pour t'emmener dans le salon. Une musique de piano très douce en fond sonore. - Viens au milieu de la pièce et reste debout. Tu ne diras rien et surtout laisse moi faire. Je défais les boutons de ta veste, pour te la retirer. Je vais la poser sur une chaise. Mes mains caressent ton torse musclé puis je défais ton nœud de cravate tout en embrassant tes mains tes joues. Mes doigts viennent défaire les boutons de ta chemise blanche. Très lentement, chaque bouton laisse apparaître un peu plus de ta peau. Ma bouche gourmande vient embrasser ta poitrine tes petits tétons. Mes mains passent dans le dos pour retirer la chemise du pantalon. Je vais la poser sur la chaise par-dessus la veste. Je m'accroupis devant toi pour venir défaire les lacets de tes chaussures que je jette plus loin dans le couloir. Je relève la tête pour vernir dégrafer ta ceinture de pantalon, j'ouvre la première agrafe puis la deuxième agrafe le pantalon tombe à tes pieds en tire-bouchon. Je caresse tes cuisses musclées avec le creux de la main, puis je te fais passer chacune des jambes par-dessus le pantalon. Je prends chacun de tes pieds pour te retirer les chaussettes. Ma bouche se pose sur tes cuisses ton ventre. Ma petite langue vient tourner autour de ton nombril. Je sens que sous ton caleçon ton sexe. Toujours accroupie devant toi je viens poser mes lèvres sur le tissu cherchant le bout. J'embrasse ta queue, puis avec la bouche je viens prendre le caleçon pour le tirer vers le bas. Le sexe dressé empêche le passage du tissu je tire plus fort et voila enfin l'objet de mon envie droit devant moi, a deux mains tout en embrasant le bout je te fais retirer le caleçon pour te présenter nu devant moi. Tu es beau droit comme i en vertical et à l'horizontal. Ma main droite vient se poser sur la hampe de ton sexe. - Viens, suis moi et ne fais rien. Tout en te masturbant lentement je t'amène jusqu'à la table basse du salon. Je te fais couché dessus, les fesses au bord, les jambes étendues. Je viens me mettre sur le côté a genou. Ma bouche vient se poser sur ta bouche et nous échangeons à nouveau un baiser long, très humide. Tout en t'embrassant, mes ongles viennent jouer avec tes bourses tes poils. Puis ma main vient prendre la hampe de ton sexe pour faire des petits mouvements très courts et très lents. Mon, autre main vient se poser sur tes bourses pour les prendre dans le creux et les masser. Tout en faisant ces gestes toujours très lentement, ma bouche vient se poser le haut du gland. Mes lèvres à peine ouvertes viennent pendre le prépuce et le pousser vers le bas. Tout en baissant la tête je pousse le prépuce et ma langue vient lécher le gland dénudé. Tu bouges le bassin, je sais que tu aimes. Le gland décalotté je retire ma bouche pendant que ma main droite remonte la peau sur le sur le haut du gland. Toujours en te massant les couilles, je recommence mes jeux de langues. Je sens ton sexe se durcir. Il est maintenant dressé très fièrement devant moi. Je te fais écarter les jambes pour venir me mettre devant toi. Mes ongles caressant l'intérieur des cuisses ma bouche gourmande vient prendre chacune de tes boules en bouches, j'aspire, je lèche, ma langue passe de l'une à l'autre. Ma bouche remonte et vient prendre la hampe de ton sexe pour te masturber. Ma tête monte et descende le long de ton sexe. Tous mes gestes sont lents, très lents. Je me redresse pour prendre le gland en bouche que je frotte contre l'intérieur de mes joues, puis je viens frotter ton sexe sur mes joues, mon nez, mes cheveux. Ton gland est tout rouge. Je reprends ta queue en bouche, mes lèvres se referment sur le gland et je baisse la tête, le gland contre ma langue je le sens rentrer encore plus loin encore, mes lèvres viennent se plaquer contre ta hampe et je pousse encore ton gland vient frotter contre ma glotte, j'essaye de jouer avec pour venir de titiller le bout du gland. Très lentement je reviens en arrière pour te dégager le sexe. Et je recommence toute ne massant les couilles. Je viens lécher le bout du gland prenant un peu de ce premier jus juste à la sortie du méat.. Je sais que tu aimes ce jeu là. Mes mains viennent à nouveau te masturber et te caresser les couilles. Mes gestes sont toujours lents attentifs à te donner du plaisir. Mes ongles viennent se perdre dans les poils. Puis ma bouche prend à nouveau possession du gland que je lèche avec la langue ou que je masse avec mes lèvres. Ma bouche courre des couilles au gland léchant, mordillant, humectant. Je sais que tu es proche de la jouissance, je me remets sur le côté pour te masturber lentement. Ma main monte descend, monte descends. Ton bassin tremble. Mon autre main vient sur tes bourses pour les presser, ma main monte descend. Tu bouges le bassin cherchant à me faire accélérer le geste mais je reste à la même vitesse, je sens ton plaisir proche. Tout en masturbant très lentement je sens ta queue vibrer je sens le sperme monté dans le conduit et je le vois sortir de ta queue et je continue très lentement à te masturber et à caresser tes couilles. Un jet, puis un deuxième puis un troisième. Mes mains toujours en mouvement tu jouis mon cœur, tu jouis, ton visage est magnifique comme cela. Ton ventre plein de sperme je viens t'embrasser tu me caresses les cheveux et je continue mon lent mouvement de va et vient sur ton sexe. J'étale ton sperme avec mes doigts sur ton ventre, c'est chaud, visqueux. Je viens prendre ta verge dans ma bouche pour lécher le gland, le frotter contre l'intérieur de mes joues.
-
Viens
mon
chéri,
suis
moi,
nous
allons
à la
salle
de
bains.
Un
bain
tout
chaud
t'attend,
tu te
mets
à
l'intérieur
et je
voudrais
réaliser
un
phantasme
avec
toi. Je te prends le sexe et te fais lever et je t'emmène à la salle de bains tout en te masturbant. Un bain chaud plein de mousse te tend les bras.
-
Vas-y
entre
dans
le
bain,
tu
verras
cela
va te
détendre. Sur un fond de musique douce, je passe mes mains dans mes cheveux, sur mon visage, sur mes épaules, mes seins, mes hanches. Mon corps bouge sur le rythme lent de la musique. Je me déhanche. Mes mains continuent à descendre sur mes fesses, mes cuisses. En remontant mes mains tirent la jupe vers le haut et relâchent puis mes paumes viennent prendre mes seins que je masse. Ma danse devient plus mouvementée, je tourne sur moi-même me cambrant pour bien te montrer mon petit cul. Ma main droite posée sur une fesse caresse le globe, mon autre main vient défaire mes boutons du chemisier un à un. Je défais les pans pour te montrer mes petits seins pris dans un tout mignon soutien gorge en dentelle genre pigeonnier ne couvrant que le dessous du sein laissant libre les tétons. Je vois ton sexe pointé hors de l'eau, le gland est déjà découvert et ta main monte et descend le long de la hampe. Je m'approche de la baignoire me penchant en avant t'offrant une vue sur ma poitrine. Toujours penchée en avant je masse ma poitrine faisant darder les tétons qui s'allongent. Je sais que tu aimes me voir ainsi coquine devant toi. Je me redresse me cambre en arrière te présentant mes pointes devant toi à quelques mètres de toi. Je m'accroupis te montrant mes seins toujours fièrement dressés. Je me recule, passe les mains derrière moi pour descendre la fermeture de ma jupe. Tout en me déhanchant, j'arrive à faire glisser la jupe sur mes fesses, mes cuisses. Elle tombe à mes pieds. Je l'enjambe et montre à toi en porte jarretelle noir et bas couleur chair. Je pose un escarpin sur le bord de la baignoire te montrant mes jambes gainées. Mes deux mains partent de la cheville et montent le long du mollet jusqu'à la cuisse passant sur l'entrecuisse et remontent jusqu'à la poitrine et je recommence plusieurs fois ainsi de suite. Je vois ta queue bien fière devant moi. Je sais que tu voudrais que je la prenne en main, mais je veux continuer t'exciter encore plus et te donner encore plus envie. Je retourne m'asseoir sur le petit tabouret et j'ouvre mes cuisses, j'écarte du mieux que je peux te montrant ma fente à travers le string. Si tu savais comme je suis mouillée mon chéri, si tu pouvais voir tu verras le jus sortir de mes lèvres je me redresse m'approche de toi. Je te tourne le dos te montrant mon cul. Tout en me penchant en avant je fais glisser mon string sur mes fesses mes cuisses mes mollets. Tu découvres mes deux globes blancs laiteux. Je me frappe légèrement dessus
-
Salope
tu as
un
beau
cul
qui
me
fait
bander
je
vais
te
baiser
Tu
te
redresses
le
sexe
en
érection
bien
droit
tes
mains
sur
tes
couilles
sur
ta
hampe.
Ton
geste
s'accélère
de
plus
en
plus
tu
gémis,
tu
grognes.
-
Petite
garce,
tu
aimes
te
montrer
comme
çà.
Le
cul
bien
offert.
Ta
chatte
est
toute
trempée.
Tu
aimes
te
montrer.
Tu as
de la
chance
que
je
t'aime
sinon
je
viendrais
bien
te
défoncer
ton
arrière
train
que
tu ne
pourrais
plus
t'asseoir. Tu glisses dans le fond de la baignoire ta main toujours active sur ton sexe, je sens que tu vas être prêt à exploser et je veux être la devant toi pour voir cela. Je te tourne le dos et pose chacun de mes genoux sur le bord de la baignoire et je glisse vers l'arrière te présentant mon petit cul face à ta bouche. - Allez lèches moi l'oignon, écarte avec tes mains mes globes et mets bien ta langue dedans. Je remue la croupe me frottant sur ton visage les mains posées sur le rebord de la baignoire je me penche et juste en-dessous de mon visage, j'ai le bout de ton gland. Je vois ta main aller et venir très vite de haut en bas. Tes mouvements sont amples recouvrant et découvrant le prépuce. Ta langue fouille mon anus caressant les muscles. Tu mes donnes de petites tapes sur les fesses. Je suis complètement folle, je mouille je jouis je sens ma petite chatte couler de cyprine. Avec tes mains, tu remontes le jus sur mon anus et tu continues tes caresses. J'approche encore mon visage de ton sexe, je vois le méat s'ouvrir à chaque mouvement, tes gestes sont de plus en plus rapides. Je sens que tu vas jouir. J'ouvre la bouche en grand.
-
Vise
bien
mon
chéri,
vise
bien
que
j'avale
ton
sperme. Tu remontes le bassin et voilà le sperme sort de ta queue. Je happe le premier jet, puis le second, j'ai du sperme plein les lèvres. Pendant que tu jouis ta langue s'est enfouie dans mon petit trou, c'est à mon tour de jouir de couler. Je viens prendre le ton gland entre mes lèvres au moment ou tu redescends le bassin. Je sens le gland passer mes lèvres et je garde le sperme qui a coulé autour. - T'es une belle salope, ma chérie, tu as réussie à tout me pomper. Tu me mets une tape plus forte sur les fesses qui me déstabilise et je tombe dans la baignoire en sous vêtement. Nous rions tous les deux et nous profitons de ce moment pour nous embrasser à pleine bouche. Je te caresse le torse poilu, les cheveux le visage, nous vivons un parfum moment de bonheur. Je me déshabille entièrement et je me couche nue à côté de toi dans l'eau.
-
Tu
sais
mon
cœur,
la
soirée
n'est
pas
finie
et tu
dois
encore
passer
une
épreuve.
Je
suis
peu
être
pas
aussi
salope
que
tu
crois
parce
que
je
suis
certaine
que
tes
couilles
ne
sont
pas
vide. Nous sortons du bain et nous nous essuyons, puis je te pousse vers la cuisine, tandis que je vais dans la chambre. Tu es nu, tu t'assois sur la chaise et tu ouvres l'enveloppe qui contient le papier suivant : " Mon cœur, j'ai encore un fantasme à réaliser ce soir avec toi. Tu sais que je peux être une décideuse mais j'ai envie parfois de subir aussi, alors ce soir, je vais être ta chose. Sois dure quand il le faudra et sois tendre quand il le faudra aussi. Tu vas t'asseoir à table et quand tu taperas dans les mains je viendrais tu pourras me faire faire ce que tu veux, je serais à ta disposition. Je suis certaine que tu sauras faire et que tu décideras des bonnes choses pour notre plus grand plaisir à tous les deux. Voici la liste des accessoires mis à ta disposition, à toi de les utiliser tous ou pas du tout..."
De
la
chambre
ou je
me
suis
changée,
j'entends
un
claquement
de
main.
Je me
dirige
vers
la
cuisine
dans
une
tenue
peut
être
surprenante
pour
toi.
Je
suis
habillée
en
toute
jeune
servante
ou
lycéenne.
Je
suis
en
jupe
plissée
courte
noire,
je
porte
un
chemisier
en
polyester
blanc.
Je me
suis
faite
des
couettes.
Pour
être
un
peu
plus
attirante,
je
suis
mise
des
bas
blancs
genre
dim-up
dont
la
jupe
ne
cache
pas
l'élastique
de
maintien.
-
Monsieur
a
appelé. Je prends un verre, et verse du Cardhu jusqu'à la moitié du verre. Je pose le verre sur un plateau avec un bol de quelques olives, et des pistaches. Je t'apporte le tout et pose le verre et les bols devant toi. Je retourne ranger le plateau et reste debout un peu à l'écart.
-
Dis
donc,
quand
je
bois
un
whisky,
tu
fais
quoi
en
même
temps. Je me glisse sous la nappe et entre tes cuisses, je prends ton sexe mou entre mes lèvres. J'aspire, je lèche je frotte mais rien n'y fait, tu ne bandes pas. - Regarde moi çà salope, tu n'es pas capable de me faire bander. Tu as vu ma queue comme elle est molle. Comment veux-tu que je m'enfile ma secrétaire qui vient tout à l'heure si je ne bande pas. Tu te crois où, dis moi. Allez recommence avant que je me fâche. Tu prends ta queue pour me la mettre entre mes lèvres. Je reprends mes caresses buccales avec la langue, les mains. Je tente tout, je te lèche les couilles, la hampe, le gland rien n'y fait tu restes toujours mou. - Bon je crois que tu as mérité ce que tu as cherché. Relève toi, tu as l'air incapable de sucer ce soir, comme si tu étais une débutante. Dans le tiroir de la table tu trouveras un gode à la forme de ma queue, sors le et viens te mettre à genou à côté de moi. Donne moi le et mets tes mains dans le dos. Tu prends le gode dans la main et l'approche de ma bouche. - Ouvre ta bouche doucement et prends le bien entre tes lèvres. Voilà c'est bien Et tu le pousses un peu plus loin et tu le ressors et recommences toujours lentement. Deux fois, trois fois et à toutes les fois, tu m'obliges à ouvrir encore plus la bouche pour le gober encore plus. Mes joues sont distendues sous la forme de l'engin. - Et bien c'est pas mal. Tiens à toi prends le dans une main et continue les gestes. Avec l'autre main branle moi tu m'excites de te voir sucer cette queue. Je pose ma main sur la hampe et commence une lente masturbation pendant que je suce ce morceau de choix. Je promène le gode sur mon visage te je le reprend pour le mettre le plus loin possible dans ma bouche. Ta queue recommence à prendre forme, à reprendre de la vigueur. Je continue à sucer et branler alternant les mains sur ton engin. - C'est bien je crois que tu as compris. Laisse moi cet engin de coté et maintenant passe à la pratique et viens prends le mien dans ta bouche. Voilà comme cela. Hum ta bouche est chaude, et gobes à fond celui là aussi. Hum j'aime cela, boire un whisky et se faire sucer par une pipeuse bien dressée. Caresse moi les couilles, prends les dans ta bouche comme je t'ai appris. Bordel que j'aime cela. Bon je vais manger, apporte moi le premier plat. Je vais cherche dans le frigo une salade. Pendant que je te sers tu passes une main sous ma jupe pour me caresser mes fesses sous ma culotte. - C'est bien tu es une fille propre, tu as mis une belle culotte comme je les aime, en coton. Voilà j'en ai assez. Va chercher dans le frigo ton plat à toi, le petit bol et reviens vers moi. Tiens donc c'était pas prévu cela, mais obéissante, je reviens avec un bol plein de chocolat. Et je me remets à genou à côte de toi. - Donne moi une cuillère. Tu te mets à barbouiller ta queue, tes bourses de la pâte à tartiner.
-
Voilà
c'est
ton
repas.
Pendant
que
je
mange
tu
dois
tout
manger
de
ton
côté
et
rendre
ma
queue
propre
aussi
propre
que
je
vais
rendre
mes
couverts
et
mon
assiette.
Je n'avais pas prévu cela mais pourquoi pas. Je me glisse sous la table entre ses cuisses et je commence à lécher les couilles sans chercher à masturber cette queue. Ma langue fait le tout de tout enlevant chaque partie de pâte à tartiner de ce sexe encore plus dur. Tu glisses un peu sur la chaise me permettant de mieux nettoyer ton beau sexe. - Et quand on a aimé un plat, on lèche toujours les couverts. Et je prends en bouche ton sexe pour le passer sur les parois intérieures de mes joues. Je décalotte le gland pour le reprendre en bouche. - Ce n'est pas une raison de manger l'assiette. Va me chercher le deuxième plat et amène le deuxième bol. Cette fois ci, tu te badigeonnes le sexe de confiture. Et je recommence mes exercices. Cela doit te faire de l'effet car ton sexe a repris une consistance normale d'homme avide de désir. La bandaison est forte et bien dure. Tu commences à donner quelques coups de bassin cherchant à guider mes caresses. - Voilà c'est parfait tout cela, j'ai bien mangé et tu t'es bien comportée. Maintenant pour le dessert, je vais bouffer une moule. Aller, allonge toi sur la table, laisse pendre tes jambes et surtout écarte les en grand. Tu t'assois entre mes cuises et tes mains ouvrent mes lèvres dégageant le clito que tu viens aspirer de toutes tes forces.
-
Ah,
cela
me
fait
mal. Et tu replonges ta tête entre mes cuisses. Ta langue commence à courir sur mes peaux, tu ouvres ma petite chatte. Ta langue pénètre mes chairs puis va sur mon petit trou. Je remue le bassin de plaisir. - Enfin ce n'est pas vrai, tu ne peux pas rester tranquille. Je crois que tu mérites une punition. Va chercher le martinet dans le placard. Je suis toute surprise car cela n'était pas du tout prévu non plus et cela va au-delà des mes espérances. - Prends appui sur la table avec tes coudes et recule les fesses que je vois bien ton cul. Relève ta jupe plissée sur la taille. Voilà c'est bien. Maintenant fais glisser ta culotte pour dégager tes fesses. Tu passes ta main sur la peau blanche comme pour me donner une caresse, mais tu me donnes une petite tape. Je sursaute. - Ah tu sursautes ma coquine et bien tu vas voir ce que c'est une punition. Et voilà un coup de martinet sur ma croupe. Les lanières ne tombent comme une caresse sur ma peau. - Tu vas le sentir ce coup là. Je sers les fesses quand les lanières vont se jeter sur ma croupe plus fort. Je sursaute plus haut. Mais j'ai une sensation plus étrange. Je me sens mouillée. - Voilà un troisième coup. Je ferme les yeux et le coup tombe sur ma raie. Les lanières sont passées entre mes fesses et ont effleurés mon clito. Hum j'ai aimé le contact du cuir sur ma peau. Mon ventre réagit.
-
Encore
monsieur,
je
veux
que
vous
me
frappiez
encore. Je tends encore plus ma croupe étant presque sur la pointe des pieds. Et le coup tombe plus fort les lanières claquent sur la partie la plus rebondie de mes fesses. Beaucoup de bruit mais aucune douleur, mais que de plaisir dans mon corps.
-
Encore,
encore
monsieur,
je
veux
encore. Je défais mon chemisier libérant mes seins tout durcis par le désir et le plaisir. Plus tu me donnes de petits coups sur ma croupe plus j'écarte mes jambes jusqu'à sentir ma petite chatte s'ouvrir cherchant le contact des lanières. Mes seins deviennent lourds jusqu'à me faire mal emprisonné dans le soutien gorge en coton blanc.
-
Oh
monsieur,
c'est
si
bon,
votre
punition
est
si
douce. Tu poses ta main sur mes fesses et glisse tes doigts dans ma raie, sur ma fente ouverte. - Je vois que tu es train de mouiller ma garce. Tu enduis tes doigts de ma cyprine et tu viens caresser ta verge tendue avec en te masturbant en faisant passer le prépuce par-dessus le gland et en te décalottant. Je tends la main pour venir la prendre à plaine paume. - Tu veux le faire à ma place, tu veux me branler, hein. Attends retire tes fringues et ne garde que tes bas que je te voie mieux. Je me redresse, jette ma jupe plissée au loin, déchire presque mon chemisier, ma culotte mon soutien gorge. Me voilà en bas blanc devant toi. Je reprends ta queue en main pour te caresser le sexe. Elle est dure encore plus dure que tout à l'heure. Je sens bien les veines, je sens bien le gland. - Je vais m'asseoir sur la chaise et mets toi accroupie devant moi et passe la entre tes seins. Même si ils ne sont pas gros débrouille toi à me la coincer et me faire bander. Ta queue est grosse, j'essaye tant bien que mal en tirant sur mes seins de la caresser. Je penche la tête pour venir gober le gland quand il arrive en haut. J'aime le contact de ton sexe entre mes seins je passe le gland tout autour, sur les tétons durcis, puis je la prends en bouche pour te faire une belle pipe tout en me caressant l'entrecuisse, tout en cherchant mon clito.
-
Je
vais
t'enfiler
maintenant
tu
m'excites
trop.
Allons
à la
chambre
et
j'ai
trop
envie
de te
faire
l'amour
et te
prendre
dans
toutes
les
positions. Nous allons en courant dans la chambre. Tu me jettes sur le lit pour me prendre dans la position toute simple du missionnaire. Ton sexe n'as aucun mal à me pénétrer tellement j'ai ma petite chatte distendue. Je te laisse guider, tes mouvements sont lents, circulaires. Je rythme tes allers-retours en contractant mes muscles du vagin pour que tu sentes mieux mon sexe, pour que je sente mieux ton gland en moi. Tu me tournes sur le côté. Nous faisons l'amour lentement, vite lentement. C'est merveilleux de te sentir comme cela en moi. Je jouis à intervalle régulier tellement c'est bon et toi tu continues à me prendre. Je suis maintenant sur toi. - Mets la moi dans mon petit trou, mon chéri, encule moi, j'ai envie. Prends de la vaseline dans le tiroir pour me préparer pendant que prépare ta queue. Mutuellement nous nous préparons pour ce bonheur intime. A 4 pattes sur le lit, me tenant au montant je t'offre mon petit cul dont tu as tant envie. Tu présentes ta verge à l'entrée de mon anus. Avec ta main tu promènes le gland le long de ma raie, tu cherches l'entrée. - Là plus haut, vas-y pousse doucement. Ah, ah doucement. Je sens le gland écarter l'œillet. Mon dieu que cela fait mal mais je suis si excitée par toutes ces heures de plaisir que de mon côté je pousse en arrière les fesses pour t'aider à la pénétration. Voilà le gland est passé et il entre dans mes entrailles. - Pousse encore mon chéri, pousse encore plus loin et vas-y fais moi l'amour. Cela fait mal mais c'est si bon, touche ma chatte elle est encore plus trempée que d'habitude. Pendant de longue minutes tu me prends ainsi, je hurle de plaisir de douleur mais j'aime çà c'est un cadeau que je voulais te faire mon chéri. Encule moi bien mon amour. Vas-y encore et encore. Tes mouvements se sont de plus en plus rythmés plus rapide. Tu commences à prendre ton plaisir car je pense que pour toi aussi le gland a du souffrir. Nous changeons de position et tu es sur le dos et moi au-dessus de toi ta queue toujours rivée entre mes fesses, je peux en, même temps me caresser ma chatte, mon clito.
-
Je
vais
jouir
ma
chérie,
tu
vas
encore
me
faire
jouir. Je serre les fesses pour mieux te prendre le gland, cela me fait des douleurs affreuses mais je sens ton gland se gonfler prêt à cracher ton, jus. Voilà c'est fait bien calé au fond de mon cul tu décharges. - Mon dieu tu avais encore tout cela à me donner. Quel dommage je l'aurai bine gober. Tu te retires et comme à mon habitude je viens prendre ta queue molle entre mes lèvres pour venir lécher le gland tendrement comme un bonbon. Je ronronner comme une petite chatte. Tu me caresses les cheveux.
-
Tu es
une
drôle
de
femme,
tu
sais
:
sérieuse
en
tout
même
dans
un
lit
tu
tiens
ta
place.
Tu
m'as
vidé
les
couilles. Sous la douche nous nous lavons mutuellement le corps, les seins, les fesses. Je profite de ce moment pour encore prendre ta queue dans ma bouche mais rien n'y fait je crois que tu es vidé pour le moment. Le téléphone sonne au salon. Je vais décrocher.
-
Bonjour
Anne,
comment
vas-tu
? Oui
cela
va
bien...
Non,
non,
il ne
rentre
que
dans
un
mois.
Pour
le
moment
il
est à
Taiwan....
Nous
nous
téléphonons
peu
tu
sais...
Ne
t'inquiètes
pas
Anne,
ton
mari
nous
a
fait
un
exposé
sublime
ce
soir.
Tous
nos
clients
sont
convaincus
que
nous
sommes
les
meilleurs.
Il
est
dans
la
salle
de
réunion
en
train
de
raccompagner
les
derniers
invités...
Écoute
ne
t'inquiètes
pas,
juste
après
il
rentre,
ne
t'en
fais
pas
il
sera
chez
toi
d'ici
une
demi-heure
au
plus
tard
une
heure....
A
bientôt
Anne.
Au
revoir.
Je
suis
maintenant
seule
chez
moi,
pas
vraiment
triste
mais
seule.
Je me
fais
couler
un
bain
chaud
pour
me
détendre
pour
enlever
le
stress
de
ces
dernières
minutes
ridicules.
Dans
l'eau
chaude
je me
masse
l'anus
encore
douloureux.
Et
toi
tu
vas
rentrer
chez
toi,
garer
la
voiture
dans
le
garage.
Une
fois
la
porte
passée,
elle
va
t'attendre
dans
l'entrée
dans
un
déshabillé
bleu
très
vaporeux,
presque
nue
elle
ne
portera
sous
son
déshabillé
qu'un
string
et un
merveilleux
soutien
gorge
tenant
ses
gros
seins
assortis
au
déshabillé.
Comment
je
sais
tout
cela
mon
chéri,
parce
que
nous
étions
ensemble
quand
elle
a
acheté
cet
ensemble.
Dans
le
couloir,
elle
va te
pousser
contre
le
mur,
défaire
ta
ceinture
et
prendre
vite
fait
ta
queue
flasque
entre
ses
lèvres
pleines
de
rouge
à
lèvres
tout
rouge.
Tu
vas
lorgner
sur
cette
poitrine
magnifique
que
tu
aimes
tant.
Elle
va te
sucer,
elle
n'aura
aucun
mal à
te
faire
une
cravate
de
notaire
et
toi
tu
vas
bander,
tu
vas
bander
parce
que
tu
aimes
cela.
A
force
de te
prendre
les
couilles
dans
ta
bouche
ta
queue
va
devenir
raide,
elle
va te
branler
avec
des
gestes
très
brusques
très
vite.
Excité
tu
vas
la
relever
et
l'entraîner
sur
la
table
de la
salle
à
manger
ou tu
vas
la
coucher
et la
prendre
comme
cela.
Et là
tu
vas
la
baiser,
la
pistonner
à
grand
coup
de
reins.
Elle
va
hurler
qu'elle
aime,
qu'elle
adore.
Comme
tu as
les
couilles
vides
tu
vas
avoir
du
mal à
jouir
alors
tu
vas
sortir
de se
chatte
pour
la
prendre
dans
le
cul.
Elle
te
dira
qu'elle
ne
veut
pas,
que
vous
ne le
faites
pas
souvent,
puis
finalement
tu
vas
pousser
ton
gland
au
fond
d'elle.
Tu ne
t'apercevras
pas
que
c'est
rentré
tout
seul.
Pourquoi
je
sais
tout
cela
mon
chéri
? Un
jour
je te
le
dirais,
ou
elle
te le
dira.
Tu
sais
mon
cœur
ta
femme
et
moi
nous
sommes
assez
intimes.
Tu
vas
la
bourrer
la
prendre
encore
plus
fort
allez
encore
plus
loin.
Ton
acte
sexuel
n'est
pas
loin
de la
bestialité,
grognement,
hurlement,
sueur.
Tu
lui a
pris
chacune
de
ses
jambes
dans
chacune
de
ses
mains
et tu
lui
écartes
les
cuisses
pour
mieux
voir
ton
sexe
pénétré
son
petit
cul.
Tu
vas
sentir
ta
jouissance
monter
dans
ta
queue.
Tu
vas
te
retirer,
elle
va se
mettre
à
genou
devant
toi
pour
te
sucer
et tu
vas
jouir
sur
ces
cheveux
blonds
tu
vas
lui
en
mettre
partout
sur
le
visage.
Tu te
rendras
compte
que
tu
avais
encore
de la
sève
en
toi.
Je
suis
fatiguée
et
demain
une
autre
journée
va
commencer.
Je
sors
du
bain,
je
m'essuie
passe
une
nuisette
très
sexy
qui
ferait
bander
n'importe
qui
mais
il
n'y a
plus
personne
pour
me
voir
et je
vais
dans
la
chambre,
pour
me
coucher
sur
le
lit
là ou
quelques
heures
plus
tôt
nous
avons
fait
l'amour
nous
n'avons
pas
baisé.
Je
ferme
les
yeux
et je
dors. E-mail: parledetout@yahoo.fr |