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Note : cette histoire est vraie, et je m'en réjouis vraiment...

     J'ai découvert votre site au détour des conseils d'un site féminin. La lecture des histoires était censée stimuler ma libido et me donner de nouvelles idées, ainsi qu'à mon mari. Plutôt réussi, je ruisselle déjà à l'idée de ce que je vais écrire dans les lignes qui suivent.

     D'abord les présentations. Je suis une femme brune de 42 ans, 1m72, d'un physique relativement banal, mais bien conservée. Mon mari Fabrice a 45 ans, fait 1m87, bien bâti, et je le juge plutôt attirant physiquement. Nous nous sommes mariés tôt, il y a 20 ans, et notre seul enfant a quitté le nid pour des études a Paris.

     J'ai des raisons de croire que Fabrice a toujours été fidèle, comme il pense que je n'ai jamais eu d'aventures. Notre sexualité, très classique, à savoir léchouilles variées et pénétrations vaginales, connaissait des hauts et des bas comme celle de tout couple marié. La vie normale, quoi...

     Et puis autour de moi, mes copines, mariées ou divorcées. Un point commun a mes copines divorcées: le sexe fait toujours partie des raisons du divorce: manque d'imagination, manque de désir, manque d'endurance, manque de tendresse, manque de brutalité, manque de douceur, manque de temps, manque de compréhension, et surtout manque de communication. Soit elles, soit leurs maris avaient trouvé un autre partenaire sexuel avec qui ils s'éclataient vraiment. Et toutes mes copines encore mariées, à l'exception de Noémie, m'avaient avoué tôt ou tard qu'elles mettaient régulièrement des coups de canif dans leur contrat de mariage. A écouter mes copines, sauf Noémie encore, il fallait que je prenne un amant pour me faire découvrir des nouvelles jouissances que mon mari était visiblement incapable de me procurer. Pire encore, je soupçonne les anciens maris de mes copines de pousser Fabrice à prendre une maîtresse avec les mêmes arguments.

     Entre les histoires de ce site qui m'embrasent le ventre, et trempent ma culotte, même si elles sont loin d'être toutes vraies, et les expériences sexuelles des copines, et enfin en regardant ce qui se passait (et ne se passait pas) dans mon lit, je me suis dit que le temps de l'action était venu. Il est peut-être temps, a 42 ans ! Et pas en prenant un nouvel amant ! J'aime toujours mon mari, et je pensait qu'il pourrait devenir mon super coup, et moi sa super maîtresse. La suite m'a montré que j'avais au combien raison !

     Noémie n'avait pas d'amant et n'en voulait pas, parce qu'elle aussi aime son mari. Elle m'a expliqué qu'elle avait pris l'initiative il y a 3 ans, lorsque son mari Patrick avait failli craquer pour sa secrétaire. Elle est devenue une amante "merveilleuse" pour son mari et lui est devenu un amant "merveilleux" pour elle. Elle m'a expliqué comment elle avait procédé, et je suis maintenant ses traces.

     J'ai commencé par lire la bibliothèque sexuelle de Noémie, à savoir tous les guides possibles et imaginables sur la sexualité, et sur les moyens d'exacerber le désir, de sublimer le plaisir... Je me suis attardée sur les vrais témoignages dans les forums du net. J'ai lu avec avidité les fantasmes masculins qui peuplent ce site, et d'autres... Il m'a fallu parfois jusqu'a 3 ou 4 masturbations par jour pour évacuer la tension sexuelle provoquée par toutes ces lectures. Pour moi qui ne me masturbait presque jamais, j'avais l'impression d'être sur un nuage rose. Je ne voulais pas encore montrer à Fabrice mon excitation, et je devais en plus m'empêcher de le violer a son retour du bureau. Il n'aurait pas compris, et ma pudeur naturelle m'aurait empêchée de lui expliquer correctement mon état d'esprit.

     Et la résidait le problème ! Je tremblais a l'idée qu'il ne réponde pas à mes attentes, qu'il me trouve dévoyée, perverse. Il me fallait trouver le moyen de passer outre cette pudeur, cette peur, et de communiquer avec Fabrice pour que nous partions ensemble avec succès dans une nouvelle aventure de couple. Il fallait faire sauter mes inhibitions, mon bagage culturel lourd d'interdits...

     Noémie m'a aidée : "Utilise un de ses fantasmes pour démarrer, il ne pourra pas te rejeter."

     Heureusement, je connaissais un de ses fantasmes. Au début de notre mariage, Fabrice avait voulu me sodomiser, j'ai refusé et lui ai dit que mon anus était une zone interdite. Et depuis, sa queue, sa langue et ses doigts sont restés éloignés de mon petit trou. Et je sais que c'est resté un fantasme pour lui, même si il n'en a jamais reparlé. Je vois très bien son regard quand un scène de sodomie se présente sur une vidéo porno, il n'est pas désintéressé ! Et en plus, j'ai envie d'essayer maintenant. Au moins une fois pour voir. Toutes mes copines avec lesquelles j'ai pu en discuter m'ont dit à peu près la même chose : c'est fabuleux avec un bon amant et elles sont désolées pour moi que "je ne jouisse pas encore du cul". Leurs descriptions m'ont mis le feu, et je me suis prise à imaginer un orgasme anal sous les coups de langue experts de Fabrice, et d'un autre orgasme alors que sa queue respectable coulissait dans mon étroit conduit en déversant de longues giclées de foutre.

     Enfin arrive le soir ou je me sens prête à sauter le pas. Je me prépare. Un bain aux huiles pour avoir la peau douce. Je fais bien attention à ce que mon petit trou soit propre, car je vais lui donner l'autorisation de le lécher, et uniquement ça. Ca fait partie de mon plan mis au point avec Noémie. Lingerie fine sous ma robe d'intérieur. Quelques bougies dans la chambre pour une lumière tamisée et dansante. Le repas est prêt, la table est dressée. Le décor est planté. Je l'attends.

     Il est 20h. Mon Fabrice arrive. Je l'accueille comme d'habitude. Il se met a table. C'est parti. Mon cœur accélère. Mon string brésilien est trempé.

     - "Fabrice, je t'ai préparé une surprise qui va te plaire. Tu va me baiser différemment ce soir."
     Il manque de s'étouffer, et il me regarde avec des yeux effarés. Il ne m'a jamais entendue parler si crûment.
     - "C'est à dire ?" bafouille-t-il.
     La bosse que je vois à sa braguette m'encourage à continuer dans cette voie.
     - "Je te donne l'autorisation de me lécher vraiment partout"
     - "Vraiment partout ?"
     - "Ne fais pas celui qui ne comprend pas. Voila la règle du jeu : si tu me fais jouir avec ta langue au moment ou tu me lèche l'anus, tu marque un point. au bout de dix points, une surprise."
     - "dix points ce soir ???"
     - "Mais non, en plusieurs fois ! Attention, si tu essaye d'utiliser tes doigts ou ta queue, le jeu est arrêté DEFINITIVEMENT".
     - "D'accord, j'ai plus faim, on y va ?"

     Fabrice est vraiment excité comme un fou, mais il me déshabille avec une douceur qui me laisse présager des délices à venir. Il me fait mettre à quatre pattes sur le lit, après avoir positionné des coussins sous mon ventre pour que je ne me fatigue pas. Il est vraiment chou. Je suis maintenant complètement offerte, dégoulinante de désir, en attente de sa langue chaude et agile. Il commence par plonger vers mon vagin, essuie mes lèvres trempées avec sa langue, joue avec mon clitoris. Il a clairement décidé de faire monter mon désir à son paroxysme avant de s'attaquer a mon petit trou. Mon excitation grandit de seconde en seconde et je risque de jouir a tout moment. Sa langue se déplace enfin doucement en direction de cet objectif tant convoité. Je gémis plus fort malgré moi. Je sens mon anus palpiter a cette approche lente. La chaleur de sa langue m'électrifie. Il lui suffit de trente secondes d'aller et retour entre mon clitoris et mon anus avec sa langue dardée pour me déclencher un orgasme d'une puissance terrifiante. Il marque son premier point, et à ma grande surprise, il en marquera un deuxième ce soir là. Je suis contente d'avoir réussi à faire sauter un de mes blocages. C'est une grande victoire pour moi... et pour lui.

     Je comprend Noémie. J'explique a Fabrice ce que je veux devenir pour lui et ce que j'aimerai qu'il devienne pour moi. Il a compris. Il est d'accord. On est tellement excités que je le renverse sur le lit, et je m'empale sur sa queue qui s'est encore redressée. Il me faut dix minutes de chevauchement pour lui extraire ses dernières gouttes de semence dans un râle de plaisir. Nous nous endormons heureux.

     Tout cela est arrivé il y a environ 6 mois. Si ce témoignage vous plait, j'écrirai la suite de ce qui s'est passé, et c'est encore bien plus chaud, et génial...
     

E-mail: annielemaitre@hotmail.com