C'est à nous, les cartes ont parlé, Nathalie se lève et me tend la carte.
VOUS
:
allez
dans
une
autre
pièce
en
laissant
la
porte
ouverte,
restez
muet,
tenez
vous
à
distance
et
indiquez
alternativement
à
votre
partenaire
l'habit
qu'il
doit
retirer;
puis
vous
aurez
droit
chacun
à 30
secondes
de
contact,
sans
utiliser
vos
mains. Nous nous dirigeons vers la chambre, Brigitte me regarde disparaître. Dans la pénombre, Nathalie se campe sur ses deux jambes légèrement écartée et désigne mes chaussures. Je me penche et délace religieusement mes lacets. Faire durer... J'attaque directement par la jupe. D'un geste de ballerine, elle se penche à droite, fait glisser un invisible zip latéral et découvre des jambes interminables. Je suis fasciné par la finesse des chevilles. Très sûre d'elle, elle m'invite à retirer mon pantalon. Un homme à pied de chaussettes, c'est beaucoup plus amusant. Elle peut garder ses escarpins... je lui suggère de retirer sa culotte. Prenant bien soin de laisser tomber les pans de son chemisier, Nathalie retire un slip fin et uni. L'espace d'un instant, j'aperçois une toison fournie d'un noir de jais lorsqu'elle se relève. Elle m'envoie l'étoffe que je rattrape au vol et met machinalement sous mon nez. Son odeur est très présente, l'humidité perceptible. Nathalie place sa main devant son sexe et remontant de l'autre un pan de son chemisier m'indique ce qu'elle attend désormais de moi. Je retire mon caleçon, mais comme pour elle, mon sexe est masqué par ma chemise. Enfin presque, car il tente de trouver un passage... Nos yeux sont désormais habitués au manque de lumière. Nous déboutonnons de concert nos chemises. Ses seins que je croyais petits sont libres et superbes, avec de larges tétons. Elle s'approche et me repousse sur le lit. Trente secondes où elle fait glisser ses seins sur ma poitrine, mon ventre mes cuisses, mon sexe et mes couilles devenues hypersensibles. Nous retournons la crêpe et c'est moi qui lui caresse le visage, le cou, les seins et tout ce que ma bite trouve sur son passage. En sortant de la chambre, la main devant le sexe tels Adam et ève découvrant la pudeur, je me demande quelles instructions Brigitte et Jérôme ont exécuté tout à l'heure ... Ils nous accueillent avec un sourire entendu. Je remarque que les pointes des seins de Brigitte sont érigés. Ont-ils respecté la consigne ? Mais c'est le cul de Nathalie qui m'évite de gamberger : en mouvement c'est une merveille, une onde, un feu de joie ... Elle avance, fléchit, se retourne et retrouve sa place et ne me quitte pas des yeux. Jérôme doit être impatient. Il distribue rapidement les cartes et emporte la mise.
LUI
:
doit
reconnaître,
parmi
les
deux
femmes,
sa
partenaire
en
explorant
son
sexe,
les
yeux
bandés,
sans
utiliser
les
mains.
EUX : observent chacun le cours des choses. Jérôme et Brigitte quittent leur dernier vêtement. Je regarde attentivement le sexe de Jérôme, plus excité que je ne l'aurais crû par cette apparition. Le bougre est en pleine érection; sa belle bite pointe vers le ciel. Je me demande si Brigitte saura nous départager... Je tends un bandeau - genre masque de nuit - au blondinet qui l'enfile. Les filles se mettent en place, dos sur le tapis, jambes écartées, l'abricot au grand air. Elles jutent ostensiblement. Il commence par Nathalie et je suis surpris d'en éprouver de la jalousie. Il hume son odeur, glisse ses joues contre sa toison. Puis il attaque fortement de sa langue impatiente. Peut être espérait-il obtenir un son révélateur, mais Nathalie, si elle a fermé les yeux, s'est mordu les lèvres pour garder le silence. Il évalue la forme des lèvres, et sa langue, dressée en triangle, tête le clitoris, puis pénètre le con de sa fiancée. Il s'imprègne du goût, aspire comme un oenologue, se gargarise. Il est joueur ... Lorsque je le vois se relever pour investir la chatte de Brigitte, je suis à nouveau déchiré. Je le trouve trop doux, trop tendre. Je le soupçonne de savoir déjà, mais de faire durer le plaisir. Il titille, suce, lèche, broute; il s'introduit à nouveau. Elle a fermé les yeux et semble en pleine extase. Plus il insiste, plus elle écarte les jambes. Nathalie observe également, fascinée la main caressant distraitement ses seins. Je pensais qu'il en resterait là, mais le règlement n'interdit que les mains affirme-t-il. Je le vois se relever légèrement et pénétrer de son sexe tendu ma Brigitte d'une lente poussée impérieuse. Le salaud. Nathalie qui avait deviné la manœuvre a la présence d'esprit de couvrir le soupir de Brigitte d'un petit gémissement. Avant de retirer le bandeau, Jérôme annonce triomphalement Nathalie à sa gauche et Brigitte à sa droite. "J'allais presque jouir" lance ma fiancée. Nathalie s'approche d'elle, le bandeau en main. "A toi maintenant" Nathalie nous allonge et lèche puis essuie de ses mains le sexe de Jérôme, tout enduit de jus. Nous sommes l'un et l'autre au garde à vous. Son sexe est parcouru de belles veines. Brigitte commence par moi. Je la vois approcher son visage entre mes cuisses écartées. Elle promène son petit nez en trompette, montant et descendant le long de ma fourche, ses cheveux roux caressant ma peau. Elle s'aventure très bas, et commence à lécher depuis mon anus jusqu'à l'extrémité du gland. Puis elle se fait plus gourmande, avale tour à tour mes testicules, en appréciant leur taille, leur forme, leur fermeté en bouche. Lorsqu'elle m'enfourne, je manque de défaillir car sa langue est aujourd'hui d'un velours inégalé. Puis plus rien. Elle se lève et je la vois, souriante, s'attaquer à machin, avec son truc pointé vers l'espace. Elle s'y attarde, mais à le tact de la jouer très sexe. Son approche est scientifique. Elle explore millimètre par millimètre. Je la vois gober ce dard, mais aussi s'emparer de ses couilles et même descendre vers son cul. Même traitement, mais à l'envers. Alors que je me réjouissait de cette égalité, Brigitte - ma Brigitte, le corps tendu, les seins érigés et durs, se lève et se retourne en se plaçant adroitement au dessus de sa proie; puis descend inexorablement, cherchant de sa chatte à happer cette bite quelle a si magistralement érigé. J'assiste à cette pénétration, impuissant et au comble de l'excitation. Brève car elle ne fit qu'un va-et-vient et laissa son amant à terre et moi en enfer. Sans hésitation elle nous désigna l'un et l'autre et fila avec Jérôme vers notre chambre. La suite au prochain épisode ....
E-mail: pierre.duterail@caramail.com |