A LA CLINIQUE
Ces anecdotes remontent à quelques années, quand ma femme Sylvie attendait notre premier enfant. Nous allions régulièrement dans une clinique privée dans laquelle elle se faisait ausculter. J’avoue que cela m’excitait quand le médecin lui faisait passer une échographie et qu’il promenait son appareil sur son ventre. Je me souviens même d’une fois où elle portait une grande robe de grossesse qu’elle a été obligée de quitter pour l’examen. Elle se trouvait donc en slip et soutien-gorge, et le médecin lui a mis un petit drap sur le bas ventre tout en tirant son slip vers le bas : elle avait donc son slip tiré à mi-cuisses avec juste un morceau d’étoffe pour protéger son intimité. Il lui a mis une matière gélatineuse sur le ventre et a commencé à appuyer avec son appareil. Tout en commentant les images il faisait aller et venir son scanner sur le ventre, et le drap est descendu progressivement. D’abord les poils sont apparus et le médecin est passé par-dessus, ils se sont retrouvés tout mouillés et collés par le produit, et puis tout doucement j’ai vu apparaître le début des grandes lèvres. Ensuite les petites lèvres et le clitoris sont apparus, et là je me suis rendu compte que ce dernier était saillant et gonflé. Voir ma femme avec le sexe complètement exposé devant un autre homme était déjà excitant, mais ce n’était pas fini. L’appareil étant d’une taille relativement réduite, le médecin, tout en le tenant entre le pouce et l’index, a alors laissé traîner ses autres doigts sur la peau du ventre. Je ne sais pas si c’était volontaire ou non, mais à chaque fois qu’il faisait glisser l’appareil sur le ventre, trois de ses doigts massaient la peau en même temps. Il est revenu sur le commencement des grandes lèvres, et là j’ai très distinctement vu que ses doigts caressaient au passage les petites lèvres et le clitoris. C’était d’autant plus visible que celui-ci bougeait à chaque va-et-vient. Le sexe de Sylvie était gonflé et on pouvait voir ses lèvres écartées sur l’entrée de son vagin : Je pense qu’elle était prête à se faire pénétrer, mais au lieu d’avoir les yeux dans le vague, elle discutait sur le ton de la conversation avec le médecin. Nous n’avons jamais parlé entre nous de cette histoire, alors que j’en brûlais d’envie. Voici une autre anecdote qui est arrivée quelques temps après. Sylvie allait de temps en temps dans cette même clinique pour suivre des séances de gymnastique prénatale. D’habitude je n’assistais jamais à ces séances, mais comme elle arrivait à son 8ème mois de grossesse, je l’ai accompagnée. Alors que d’habitude elle portait un pantalon de jogging, ce jour là elle portait une robe de grossesse très ample et relativement courte. Le cours a commencé, et toutes les femmes enceintes étaient assises par terre sur des tapis de mousse. Le professeur de gym se trouvait derrière les femmes qui avaient les jambes allongées vers l’entrée où se trouvaient quelques sièges. Sylvie était celle qui se trouvait au dernier rang, c’est à dire le plus près de la porte, et juste devant les sièges, à 2 mètres tout au plus. Ce jour là, il n’y avait qu’une personne, un mari qui était venu pour accompagner et encourager sa femme comme moi. Au départ le cours consistait à faire des exercices de respiration et de relaxation. Sylvie avait les jambes allongées par terre, et c’était déjà excitant car sa robe lui arrivait plus haut qu’à mi-cuisses.
Ensuite
il y
a eu
des
exercices
de
gym,
et
les
femmes
écartaient
légèrement
les
jambes
et
faisaient
des
contractions
du
bassin.
C’était
très
érotique
car
on
commençait
à
voir
le
début
des
fesses
de
Sylvie
posées
sur
le
sol.
Je ne
voyais
pas
son
slip
et je
me
disais
qu’elle
avait
du
mettre
un
string. Maintenant la prof de gym faisait faire de grands mouvements de bassins aux femmes enceintes. Sylvie avait les jambes légèrement écartées et les fesses en l’air : on ne voyait toujours pas son slip car sa robe le recouvrait, en revanche on pouvait voir deux belles fesses toutes nues qui frémissaient à chaque mouvement. Le mari n’en perdait pas une miette, même s’il faisait semblant de lire une revue. Ensuite les femmes ont du poser leur dos à plat et lever les jambes à l’équerre. Sylvie avait les jambes allongées vers le plafond, et c’est là que je me suis rendu compte qu’elle ne portait pas de slip. On voyait son sexe très serré entre ses fesses et son anus était offert à la vue de cet homme. Ensuite les filles ont dû faire des mouvements circulaires avec leurs jambes, et elle s’est retrouvée les jambes écartées à l’extrême. Sa robe était relevée jusqu’à son ventre et l’homme pouvait observer tout à loisir le sexe largement ouvert de ma femme.
Les mouvements de gym ont duré un certain temps et à chaque fois que Sylvie écartait les jambes, son sexe s’entrouvrait. Il faut savoir qu’elle est très peu poilue, à part quelques poils qui frisottent au-dessus du pubis, son sexe était donc très visible.
La
séance
s’est
terminée,
et
nous
n’y
avons
jamais
fait
allusion,
comme
s’il
ne
s’était
rien
passé.
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