Elle était étendue sur la table, nue, les yeux bandés, les bras en croix, les poignets liés et reliés entre eux par une corde passant sous le meuble. Ses jambes pendaient dans le vide, écartelées par les liens qui l’attachaient aux pieds de la table, ses fesses reposaient sur l’arête de la table et son sexe s’offrait à l’homme qui l’avait ainsi disposée. Celui-ci lui caressait les seins avec une brutalité qui la faisait gémir. Il les prenait dans ses mains, les comprimait, les malaxait, les pétrissait, pinçait et tirait ses tétons. De temps en temps, il les prenait dans sa bouche, les suçait et les mordillait sans douceur. Il abandonna ses caresses, son corps, la laissant seule, inquiète et impatiente, attendant son bon vouloir, ses prochains supplices, le sexe chaud et humide de désir. Malgré la douleur qu’elle ressentait, elle était terriblement excitée, elle voulait qu’il continue à faire ce qu’il avait envie d’elle, poupée-esclave entièrement soumise à celui qui lui avait fait découvrir le plaisir. L’attente ne dura pas longtemps : il revenait déjà. Il était devant elle, elle l’imaginait la regardant, complètement avilie, sans défense, prête à tout subir. Ses doigts caressèrent son pubis, son clitoris, la fente de son sexe, puis revinrent au clitoris. Il la branla, titillant le bouton secret, pinçant et tordant entre ses doigts le capuchon de chair qui le recouvrait. Prisonnière de ses liens, incapable de bouger, elle ne pouvait que hurler son plaisir. Il lui enfonça le majeur dans le sexe, le plus loin possible. Sans le retirer, il le fit tourner dans son intimité trempée, la rendant plus souple, plus élastique, plus accueillante encore. Son index la pénétra, puis son annulaire, le pouce continuant à peser sur son clitoris. Ces trois doigts dans son vagin continuaient à l’élargir, elle sentait aussi son sexe déborder de plaisir humide quand cette pointe qui la remplissait quittait son sexe pour mieux la poignarder de nouveau. Avant qu’elle ne puisse jouir de cette pénétration, l’homme quitta son sexe et se releva, la laissant le sexe en feu, avide d’être de nouveau investie, frustrée d’être ainsi abandonnée. Les doigts qui avaient fouillé au plus profond d’elle-même entrèrent dans sa bouche l’un après l’autre. Elle le suça longuement chacun, découvrant ainsi le goût de son désir. Ensuite, de nouveau, il lui caressa les seins, n’hésitant pas à la faire souffrir en les martyrisant. Il lui ordonna d’ouvrir la bouche, plus grand que ça encore, avant de lui enfoncer un énorme godemiché plastique qui lui distendait les lèvres. Elle le suça comme elle avait appris à sucer son sexe, très profondément, lentement, sans pouvoir reprendre son souffle. Il n’éjacula pas au fond de sa gorge mais elle savait déjà ce qui allait lui arriver. Elle put enfin respirer quand il lui retira l’objet de sa bouche. Ce dernier descendit le long de ses seins, de son ventre, de son pubis, avant d’entrouvrir son vagin, de caresser sa fente en remontant appuyer sur son clitoris, l’excitant de plus en plus, l’obligeant à le supplier de lui enfoncer le godemiché le plus loin possible dans sa matrice. C’est ce qu’il fit, la faisant crier quand il la força : elle n’avait jamais été pénétrée par une chose aussi grosse et longue : la douleur et le plaisir se mélangeaient dans son bas-ventre. Quand l’objet fut complètement introduit, elle avait une nouvelle fois joui, mais le plaisir était toujours là et l’objet aussi. Elle sentit qu’il lui attachait des lanières autour de ses cuisses, il lui expliqua qu’ainsi, elle ne pouvait plus expulser la chose enfoncée dans son sexe et qu’il l’enlèverait quand bon lui semblera. Après, il mit l’engin en route : ce n’était pas qu’un simple olisbos, c’était un vibromasseur qui tournait maintenant, la forçant encore, l’élargissant. Attachée, ouverte, pénétrée, elle ne pouvait rien faire sinon subir cette torture terriblement excitante qui la faisait jouir et encore jouir. Le pire était de ne pas pouvoir bouger, de ne pas pouvoir se caresser encore plus. Alors qu’elle criait de plaisir, il éjacula au-dessus d’elle, inondant sa gorge, remplissant sa bouche. Comme il le voulait, elle n’en perdit pas une goutte, buvant tout en même temps qu’elle jouissait de nouveau, puis le lécha selon ses ordres, avalant les gouttes de sperme qui étaient restées sur son sexe. De nouveau, elle se retrouva seule, avec cette machine qui tournait sans relâche dans son sexe. Elle avait joui plusieurs fois, mais, maintenant, le plaisir était passé. Ne restait que la douleur de son vagin élargi et irrité, de ses chevilles et de ses poignets attachés, de ses seins brutalisés. Elle n’en pouvait plus : elle se mit à crier et à pleurer, suppliant qu’il vienne la détacher, lui enlever cet objet qui la mutilait. Il lui enleva, la détacha, l’aida à se relever et l’amena dans la salle de bains. Il lui fit prendre un bain, la lava tout doucement. Ensuite, il la coucha en lui massant les jambes et les bras, insistant sur les parties abîmées par les cordes. Il glissa enfin dans son vagin une sorte de suppositoire qui calma tout de suite la brûlure qui enflammait ses parois intimes. Elle s’endormit ainsi, ne gardant à l’esprit que les moments de jouissance qu’elle avait vécus, attachée sur cette table
Quand elle se réveilla, il était déjà parti… Sur la table l’attendaient un paquet et un papier. Celui-ci lui intimait l’ordre de rester entièrement nue ce matin et de se caresser. A midi, elle devait ouvrir le paquet et suivre les instructions contenues à l’intérieur. Elle obéit, passant la matinée à se masturber en rêvant à son retour, glissant les doigts dans sa fente, excitant son clitoris, massant ses seins, allant d’orgasmes en orgasmes, ne laissant aucun répit à son corps A midi, elle ouvrit le paquet : il contenait des boules de geisha et un autre mot. Comme le premier, elle le lut et l’appliqua à la lettre. Les trois boules, malgré leur diamètre respectable, rentrèrent sans problème dans son sexe humide. Puis elle s’habilla, vacillant sous le plaisir que lui procuraient les ondes produites par les boules dans son ventre. Comme convenu, elle portait une minijupe noire qui s’arrêtait à mi-cuisse, découvrant haut ses jambes et les bas noirs qu’elle avait mis. Son sexe était nu. Une chemise blanche s’ouvrait sur la base de son cou : on ne voyait pas de soutien-gorge dessous, même si la chemise ne révélait rien de sa nudité, sinon les pointes de ses seins qui tendaient le tissu. Lorsqu’elle se dirigea vers la porte pour sortir, elle jouit une première fois. Elle ne pouvait déjà plus marcher, son ventre la suppliait de s’arrêter, de se coucher et de se caresser de nouveau. Mais elle devait aller en ville, elle devait lui ramener ce qu’il avait demandé. Elle chancelait sous le plaisir que lui procuraient les boules qui s’entrechoquaient dans son sexe. Un moment, elle dut se résoudre à s’arrêter pour se cacher. A l’abri des regards, elle releva sa jupe pour se caresser, pour jouir une fois de plus et essayer de faire passer le désir. Ce ne fut qu’éphémère, le plaisir revenant dès qu’elle se remit en route. Dans la pharmacie, ce fut un calvaire : il y avait du monde et ça n’avançait pas. Elle n’arrivait plus à se contenir, elle avait l’impression que son sexe débordait, qu’il ruisselait de plaisir et que le liquide coulait le long de ses jambes. Elle ne désirait qu’une chose : enlever sa jupe et se masturber, prendre son clitoris entre ses doigts, les enfoncer dans son sexe pour jouir à en perdre haleine. Enfin son tour arriva, elle réussit à résister à ses envies, acheta ce dont elle avait besoin avant de partir en courant sous les yeux ahuris des clients. Une deuxième fois, elle chercha un endroit pour se caresser : elle ne pouvait plus tenir. Elle se cacha dans un recoin d’une cour, entre deux maisons abandonnées, ses doigts prenant possession de son sexe. Mal à l’aise, elle fit glisser sa jupe le long de ses jambes pour les écarter au maximum, enleva les boules de geisha de son sexe, transgressant ainsi les ordres de son maître. S’il savait cela, il la fouetterait pour lui faire comprendre qu’il ne fallait pas lui désobéir, mais comment pourrait-il le savoir ? Il n’y avait personne… Enfin délivrée de ce tourment, elle put se laisser aller et glissa dans l’extase, jusqu’aux limites de l’évanouissement. Quand elle rouvrit les yeux, un homme la regardait, à moitié nue, offerte. Un frisson lui parcourut le corps…. |