Contrainte
Ahhhhhh cette satanée contrainte ;-)) Je suis Sonia, 20 ans, étudiante à Bordeaux, à la recherche d'une femme dominatrice pour revivre les sensations vécues lors de l'expérience ci-dessous. Voici l'expérience qui m'est arrivée et qui m'a marquée au niveau de ma sexualité. Mon aventure s'est déroulée le samedi 5 janvier (je garde la date en mémoire). Je devais repartir sur Bordeaux le lendemain et on a décidé d'aller s'éclater en boîte. En rigolant ma cousine (Isabelle) m'a lancé : Ce soir, je me ramène un mec car j'ai pas baisé depuis une semaine, ça me manque et toi? Moi ça va, j'ai répondu en rigolant en pensant que ma cousine était une vraie nympho. On a quand même décidé d'être sexy et elle m'a prêté une petite robe noire moulante et elle a enfilé une mini-jupe et un pull qui moulait atrocement ses gros seins. Il faut dire qu'Isabelle est beaucoup mieux lotie que moi de ce coté là (j'ai de tout petits seins), par contre j'ai un beau petit cul (sans vantardise) alors qu'elle, elle est plus large. Un string et des dim-up pour chacune, pas de soutien gorge pour moi mais un pour Isa et nous voilà en direction de la boîte. Comme c'était mon dernier soir, on a pris une bouteille de whisky et une de coca et pendant 2 heures, on a dansé et bu comme des folles. Des mecs nous tournaient autour et Isa avait déjà le béguin pour un beau militaire. Moi, par hasard, j'ai croisé le regard d'un homme accoudé au bar. Il avait 40-45 ans, costard-cravate et il dégageait une sensualité et une maturité incroyable. Au bout d'un moment, je me suis aperçue qu'il ne me quittait pas des yeux, et par jeu et peut-être aussi grisée par l'alcool, j'ai soutenu son regard en souriant et en me déhanchant lascivement. Au bout d'un moment, je ne dansais plus que pour lui, excitée par son regard qui semblait me violer sur place ... Quand les slows sont arrivés, Isa a été invitée par son bidasse et j'ai alors vu l'homme se diriger vers moi. Sans parler, il m'a juste tendu la main et je me suis retrouvée sur la piste dans ses bras. Sans délicatesse, ses mains se sont posées sur mes fesses et il m'a attirée contre son ventre où j'ai immédiatement senti son érection. J'aurai dû m'offusquer mais j'étais étrangement passive et lui a commencé à frotter son sexe dur contre le mien ce qui m'excitait vachement. Il s'est penché à mon oreille et m'a dit : Ta culotte me gêne, vas aux toilettes, retire la et au retour tu la mettras dans la poche de ma veste. Je suis restée bouche bée de surprise. C'étaient les premiers mots qu'il prononçait et il avait dit ça comme s'il me connaissait depuis toujours. Il m'a regardée dans les yeux et m'a ordonné : Vas-y ! Aujourd'hui encore, je ne sais pas pourquoi mais j'ai obéi. J'ai couru aux toilettes en me traitant de folle et je l'ai rejoint sur la piste avec mon string roulé en boule dans ma main et je lui ai mis dans la poche. Ses seuls mots ont été : bien ! Et nous avons repris le slow. L'excitation commençait à monter en moi et quand au 2ème slow, il a passé ses mains sous ma robe pour empoigner mes fesses à même la peau, j'ai frissonné de plaisir. Heureusement que la salle était dans le noir car ses bras remontaient ma robe et on devait pouvoir apercevoir mes fesses. J'étais de plus en plus excitée et avec les mouvements de son sexe sur ma chatte et ses mains sur mes fesses, j'ai fini par jouir là debout accrochée à ses bras en plein milieu de la piste. Il a alors répété : bien ! et il m'a embrassée délicieusement. A la fin du slow, il m'a entraînée à une table, et me faisant asseoir sur la banquette, il est parti chercher du champagne et deux coupes. Toujours sans parler, il a servi à boire et après avoir trinqué, il s'est reculé dans la banquette, a ouvert son pantalon pour faire jaillir sa bite et il m'a dit : maintenant tu vas me sucer à fond ! Heureusement que notre table était dans un renfoncement sombre, il était incroyable ce mec ! Malgré tout et parce que j'en avais envie, je me suis penchée pour avaler son sexe. Voilà, en à peine un quart d'heure, j'étais cul nu sous ma robe en train de sucer un parfait inconnu dans une boite de nuit parisienne et cette situation m'excitait, d'autant qu'il avait introduit deux doigts dans ma chatte et qu'il me branlait divinement. Quand il a joui, il m'a tenu la tête pour me forcer à tout avaler et quand j'ai relevé la tête mon regard a croisé celui d'un couple qui s'était installé à la table d'à coté et j'ai eu la honte de ma vie. Le spectacle devait leur avoir plu car l'homme et la femme me regardait en souriant. Mon partenaire s'est rajusté, m'a embrassée, m'a demandé comment je m'appelais et m'a dit s'appeler Dominique. La tête me tournait un peu, et quand il m'a dit : viens on s'en va, j'ai repensé à ma cousine. J'ai récupéré mon sac à main et je l'ai prévenue que je ne rentrerai peut-être pas coucher chez elle. Elle m'a répondu pas de problème avec un clin d'œil et a reprit sa discussion avec les 3 militaires qui avaient rejoint notre table. C'est avec une furieuse envie de faire l'amour que j'ai rejoint Dominique qui m'a tout de suite entraînée vers le parking. Arrivés à sa voiture (une grosse BMW), il m'a retournée et a plaqué mes seins sur la portière avant d'écarter mes jambes et de relever ma robe au-dessus de mes fesses et j'ai compris qu'il allait me baiser là debout contre la voiture. J'ai senti son sexe toucher mes fesses. Sans préambule et à ma grande surprise, c'est entre mes reins qu'il s'est enfoncé d'un seul coup me faisant hurler. Je n'avais jamais rencontré un goujat pareil mais je prenais mon pied à être sodomisée là sur ce parking où tout le monde pouvait nous surprendre. Il a été long à jouir et j'ai eu 2 orgasmes avant qu'il ne se répande dans mes reins. Après, il s'est calmé et m'a fait monter en voiture, et il m'a embrassée et câlinée en me félicitant sur ma sensualité. Puis de nouveau avant de démarrer, il m'a ordonnée d'enlever ma robe et de m'asseoir nue sur les sièges en cuir puis il a sorti son sexe de sa braguette et m'a demandé de le caresser tout le long du chemin jusqu'à chez lui. Il était complètement dingue mais mon excitation était telle que je rentrais dans ses fantasmes. Nous avons donc traversé une partie de Paris, moi nue et lui le sexe sorti de son pantalon et même à 3 heures du matin, je peux te dire qu'il y a du monde dans les rues et que pas mal d'automobilistes se sont rincés les yeux, mais ça m'excitait de m'exhiber ainsi. A un feu, un 4X4 s'est arrêté à coté de nous et l'homme avait une vue imprenable sur ma chatte que Dominique martyrisait avec deux doigts et lorsque j'ai croisé le regard lubrique de l'homme, j'ai éclaté de jouissance. Finalement nous sommes arrivés sur un parking d'un hôtel de luxe. C'est là que j'habite m'a dit Dominique. J'ai remis ma robe et avec honte je me suis aperçue que du sperme s'était écoulé de mon anus pour tacher le siège. Le portier de nuit a salué Dominique en lui tendant une clé sans que ma présence n'ait l'air de le déranger. On a pris l'ascenseur, et dès la fermeture de la porte, il m'a demandé de nouveau de retirer ma robe et c'est nue que je suis arrivée au troisième étage. Heureusement, à cette heure le couloir était désert, mais d'être nue dans ce couloir d'hôtel me faisait peur et mouiller en même temps. Dominique s'est arrêté devant une porte et m'a dit : Maintenant si tu veux récupérer ta robe et ne pas rester nue dans ce couloir, il va falloir me sucer ! J'étais tellement partie que j'ai répondu : Mais pas de problème mon bel inconnu ! Je me suis agenouillée et j'ai ouvert son pantalon, réalisant seulement à ce moment-là qu'il n'avait pas de slip. De nouveau, je l'ai sucé en ne pensant à une seule chose, c'est qu'il me baise au plus vite. Au bout de 5 minutes et malgré mes efforts, il n'avait pas joui et m'a dit d'arrêter en me remerciant. J'ai répondu : de rien, mais lui a ajouté : merci pour lui en me montrant la caméra de surveillance au fond du couloir. J'ai alors réalisé que ce salaud avait fait exprès de m'exhiber dans ce couloir pour que le veilleur de nuit se rince l'œil. De colère, je me suis relevée pour le frapper mais il m'a saisi les poignets et m'a entraînée dans la chambre. Il m'a jetée sur le lit, et debout, il a commencé à se déshabiller en me disant qu'il allait me baiser comme jamais. Il a alors relevé mes jambes sur ses épaules et son sexe s'est enfin enfoncé en moi, et effectivement nous avons fait l'amour au moins pendant 2 heures. Il était très endurant et j'ai vraiment pris mon pied. Le lendemain, j'ai émergé à 10h et j'ai pris une douche pendant qu'il dormait. Lorsque je suis sortie de la douche, il était réveillé et il m'a de nouveau entraînée sur le lit où après un 69 divin, il m'a fait mettre à 4 pattes pour de nouveau enfoncer sa queue entre mes fesses. Ce mec devait être un maniaque de la sodomie car il m'a prise plus souvent par cet orifice que par la voie naturelle. Alors qu'il allait et venait entre mes fesses et que je commençais à prendre mon pied, on a frappé à la porte. J'ai eu un moment d'hésitation mais Dominique a dit que cela devait être les petits déjeuners qu'il avait commandés et a crié à la personne d'entrer. J'ai voulu me dégager mais ce salaud s'est appuyé de tout son poids sur moi pour m'en empêcher. Comme nous étions face à la porte, j'ai alors vu le garçon d'étage entrer avec son plateau et nous découvrir dans cette position. Il nous a salué d'un : Bonjour, M'sieur Dame, vous dérangez pas pour moi et a posé le plateau sur la table de chevet passant ainsi derrière nous. Il ne pouvait pas ne pas voir que j'étais en train de me faire enculer et morte de honte, j'ai failli m'évanouir alors que Dominique reprenait ses mouvements dans mes reins. Dominique a alors dit : Merci Patrick, la demoiselle va te sucer pour ton pourboire. J'ai hurlé : Ça va pas, non ! Mais il m'a tiré
par les cheveux en me traitant de salope me forçant à relever la tête pour
avaler la bite que Patrick avait sorti de son pantalon. Les deux hommes se sont
alors déchaînés, l'un dans mon cul, l'autre dans ma bouche. Le garçon me tenait
la tête et me baisait la bouche car moi je ne faisais pas d'efforts pour le
sucer, complètement dégoûtée. Il a fini par m'inonder le palais de sa semence
que j'ai en Il m'a laissée pantelante sur le lit pendant qu'il allait prendre une douche et j'en ai profité pour enfiler ma robe. Je n'ai pas retrouvé mon string dans sa poche alors je me suis résignée à partir comme ça, abandonnant aussi les dim-up. En-bas, j'ai croisé le regard narquois du garçon d'étage qui m'a gratifiée d'un "Bonne journée madame". Le salaud devait me prendre pour une pute. J'ai couru jusqu'à la première bouche de métro et je suis rentrée chez ma cousine. J'ai juste eu le temps de prendre une douche avant d'aller à la gare prendre mon TGV. Complètement crevée, j'ai dormi tout le voyage. Au début, j'ai eu un peu de mal a m'en remettre mais maintenant cette histoire alimente mes fantasmes et mes masturbations et j'aimerais bien revivre ce sentiment de honte et de jouissance d'être exhibée devant des inconnus et d'être obligée de livrer mon corps à n'importe qui. PS : A mon retour, j'ai fait un test HIV car ni Dominique ni Patrick n'avait utilisé de préservatifs et moi j'étais trop dans les nuages pour y penser. Pour l'instant et par chance, il est négatif mais il reste la période d'incubation et je devrais être bientôt fixée. |