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Cette histoire m'est arrivée au mois de janvier dernier.

Je suis étudiante en Licence de Droit dans une université de province. C'était la période des examens, et la pression était à son comble. Pourtant, je m'obstinais à m'entraîner 3 fois par semaines à la course à pied, un sport qui me réussit bien et qui me fait oublier le stress.

C'était un mardi, un peu après 18h. Je venais de terminer mon entraînement, et en solo, car je m'entraînais le mardi toute seule. j'aimais courir tranquille en écoutant mon walkman. Malgré le froid et la pluie, j'étais en nage, j'étouffais vêtu seulement de mon body de course aux couleurs d'un annonceur local et un simple short que j'avais enfilé pour accrocher le walkman. Une fois que j'avais réalisé le programme fixé par mon entraîneur et terminé mes étirements, je me dirigeai vers les vestiaires pour languir sous une bonne douche.

Une fois à l'intérieur, je me défis de ce body collant et restai un moment nue, allongé sur un banc. Cela me détendis, je sentis mon corps chaud, luisant de sueur, se détendre. J'observais à chaque fois ce rituel après la course et avant la douche : rester nue dans ce vestiaire surchauffé, afficher ma nudité dans un décor froid et impersonnel éveillait à chaque fois chez moi une légère excitation. La pièce était des plus glaciales : un carrelage jaune crasseux au sol, des armoires métalliques grises, un revêtement mural marron façon 70's, et avant tout des douches collectives des plus rudimentaires qui crachait de l'eau à la température qu'elles voulaient bien nous donner (souvent froide). Allongée sur le dos, je regardais mes petits seins d'athlète s'érigé par l'excitation qui montait. Mes cuisses étaient négligemment écartées, caressées par mes mains qui allaient et venaient le long de mon pubis. Je les fis doucement glisser sur ma toison. L'excitation monta ; je fixais la porte d'entrée que j'avais en ligne de mire entre mes cuisses. On ne pouvait pas la fermer, le verrou était tout rouillé. De toute façon, personne ne viendrait me déranger à cette heure. Et puis, cela rajoutait de l'excitation, tout en sachant que la probabilité que quelqu'un ouvre la porte était quasiment nulle.

J'enlevai mes écouteurs pour m'assurer qu'il n'y avait personne au dehors, puis je les remis. Je commençai à me laisser aller. C'était déjà la quatrième fois que je me masturbais dans ce local, mais j'y prenais toujours le même plaisir. C'était comme une récompense après tous ces efforts. Et puis, la masturbation était actuellement la seule façon de me satisfaire sexuellement. Mon copain travaille sur Paris dans un cabinet de juristes. Je le vois quelques semaines par an, pas plus. Difficile d'être satisfaite dans ses conditions là!

C'est souvent le même rituel : ma main droite est la plus importante : c'est la chef d'orchestre. Elle est d'abord l'éclaireuse, elle tâte le terrain pour donner les ordres. Au début, pour accélérer le plaisir et pour que ce soit plus agréable, elle va chercher de l'humidité là où il y en a le plus, c'est à dire dans mon vagin. Elle le dépose délicatement sur mes petites lèvres, et renouvelle l'opération aussi souvent que nécessaire. L'autre main tourne sans relâche sur ces lèvres, accélère ou ralentit la vitesse. Le plaisir vient progressivement. Puis, quand la main chef d'orchestre trouve que tout cela est suffisamment humide, elle va en personne faire la cour à mon clito. Sans le voir, j'imagine toujours comment celui-ci montre déjà sa satisfaction en s'érigeant comme un petit pénis.

Je commençai à mouiller abondamment, et sentit des gouttes de mon précieux liquide couler le long de mes fesses. Je me mit à gémir. C'était trop bon, il fallait faire durer. Je gardai une main sur mon clito et passa l'autre sur mes seins. Malgré leur petite taille, ils s'érigeaient, excitées par la caresse de mon index lubrifié. Je gémissais encore plus fort, quand je fus tiré de mon rêve par le bruit de l'ouverture de la porte.

Je poussais un cri de surprise. Trois garçons d'une vingtaine d'années étaient là, dans l'entrebâillement de la porte. Je bondis vers mon sac pour attraper une serviette de bain, et restai planter debout devant eux, appuyant la serviette contre mon corps nu.

- Non, te gêne pas pour nous, continue, s'esclaffa l'un. On ne voudrait pas te faire rater ton orgasme. Ce qui fit rire bruyamment les deux autres.

Je tentai de reprendre mes esprits. Je n'arrivai pas à croire ce qui m'arrivait. On venait de me surprendre en train de me masturber ! Je sentis mon visage rougir. Visiblement, deux des types étaient aussi assez gênés. Ils me regardaient le corps, en évitant mes yeux. C'est le plus petit d'entre eux qui se montra le plus à l'aise : Il me fixait, le regard plein de curiosité, le sourire en coin. Il semblait attendre de ma part une réaction, voire des explications.

- Que faites-vous ici ? Finis-je par articuler.

- On a entendu des cris et on est rentrés, dit le plus grand, (une vraie armoire à glace ) ce qui fit encore rire les deux autres. Je baissai honteusement la tête, ne sachant que répondre. Le plus petit, un brun à la peau mat et aux yeux charmeurs m'expliqua :

- En fait, on t'a vue courir lorsque l'on était en train de filmer un bâtiment de la fac. (Il montra la caméra qu'il avait dans une main).Nous sommes en école d'architecture à Paris et on nous a envoyés dans ce quartier pour filmer des bâtiments intéressants. On a rien trouvé d'intéressant, à part toi bien sûr ! Les autres rirent de plus belle. Cela me fit sourire, malgré moi. Il était pourtant temps que je les mette dehors. J'étais rassurée, ils n'étaient pas d'ici. Il fallait maintenant que je m'en débarrasse.

- J'espère que vous vous êtes bien rincé l'œil. Maintenant, foutez le camp! Dis-je brutalement, m'avançant vers eux pour fermer la porte.

- Ca, c'est pas très sympa, dit le petit en fronçant les sourcils. On accoure pour t'aider et tu nous fous dehors ! Ils s'esclaffèrent encore.

Il rentra dans la pièce et invita les autres à le suivre.

- Vous avez rien à faire ici. Cassez-vous! Je pris un air agressif.

- Nous sommes bien ici. Il fait un peu froid, mais on est en bonne compagnie.

- Déconnez pas ! J'appelle au secours!

- Tu peux appeler, Il y a personne à 500m à la ronde. Et puis on ne te veut pas de mal. Il prit un air charmeur et ajouta :

- On veut juste que tu continues ce que tu étais en train de faire.

- P...Pardon? Bégayai-je?

- Je suis sûr que cela t'exciterait de le faire devant nous. C'est une occasion à ne pas rater, non ?

- Vas te faire foutre ! répliquai-je nerveusement.

- Pas avant de t'avoir vu jouir. Il s'assit près de mon sac, tout près de moi. Pendant ce temps, le grand tourna autour de moi pour essayer de voir mes fesses.

- Casses-toi, obsédé !

- Obsédé, moi! Qui est ce qui se branlait il y a peine deux minutes ?

Pendant ce temps, le petit commença à fouiller mon sac. Il prit un slip, celui que j'avais porté toute la journée et plongea le nez dedans.

- Faut pas se gêner !

Sans tenir compte de ma remarque, il l'envoya à l'autre collègue, qui le huma à son tour. Celui l'envoya au dernier qui lui repassa, et ainsi de suite, Ils jouèrent à la passe à 10. Je voulus intervenir, pour finalement me rappeler de ma nudité sous cette petite serviette.

- Rendez-moi ça !

- Pendant ce temps, l'autre avait rangé mes affaires et fermait la fermeture du sac. Il se leva et passa le sac sur son épaule. Il s'approcha de moi et m'arracha violemment la serviette des mains. Je n'avais plus que mes mains pour cacher mon intimité.

- Qu'est ce qu'elle est bonne! S'esclaffa l'un.

- Tu peux le dire, fit le petit. Avec des plus gros seins, elle pourrait faire la couverture de Playboy !

- Merci pour le compliment, dis-je. Maintenant, rendez-moi mes affaires ou j'appelle les flics.

- Appelles les flics. Dans cette tenue, ils seront ravis de te recevoir. Allez les gars, elle est pas drôle cette fille. On se casse. Ils firent tous les trois mine de s'en aller.

- Rendez-moi mon sac, Salauds !

- En plus elle nous insulte !

Désespérée, je tentai de jouer le jeu :

- S'il vous plait, rendez-moi mon sac.

Je savais qu'à cette heure là personne ne s'entraînait : Je me voyais mal demander de l'aide à poil.

Comme d'un commun accord, ils continuèrent à marcher en ignorant mes paroles. Ils étaient déjà à une dizaine de mètres... J'attendis qu'ils se retournent. En vain. Ils continuèrent à marcher comme si de rien n'était.

- Attendez! Criai-je.

Pas de réponse. Que pouvais-je faire contre cet odieux chantage ?

- Je ferais ce que vous voulez ! Hurlai-je, désespérée. A ma grande surprise, ils ne se retournèrent même pas. J'eus envie de pleurer. Je ne savais que faire. De longues secondes passèrent. Ils étaient déjà à une centaine de mètres. Bientôt je ne les verrais plus. Le jour commençait à tomber, et les réverbères de la piste étaient déjà allumés. La pluie était maintenant plus forte, et j'étais là, complètement nue, grelottante de froid, mes bras croisées sur la poitrine et les yeux en larmes.

Il fallait que je les arrête. A tout prix. Je n'avais aucune envie de tomber sur le premier venu complètement nue pour lui demander de l'aide. Désespérée, je finis par me lancer à leur poursuite. Ils étaient maintenant dans un chemin de terre, une sorte de raccourci qui menait à l'arrêt de bus le plus proche. Je me suis mise à courir sous cette pluie battante. Mes pieds nus frappaient la boue molle. Pour aller plus vite, je coupai à travers un champ de boue et de flaques. Je fus rapidement crottée jusqu'aux fesses. Puis dans l'affolement alors que j'étais à moins de 50 mètres des trois types, je glissais sur une motte d'herbe et me rétamai sur plusieurs mètres à plat ventre. Mon corps n'était plus que souffrance, brûlé par le froid du sol et la friction contre la terre.

Ma chute avait eu au moins le mérite d'attirer l'attention de mes agresseurs qui accouraient à pas de course. Je me relevais sans trop de bobos, mais j'étais souillée de bas en haut, crottée comme une vulgaire jument. Un mélange de boue et d'herbe me couvrait des pieds à la poitrine. Ma toison était aussi couverte de cet horrible mélange. Debout, je fis face aux trois types, grimaçante de douleur et d'humiliation. Ils s'arrêtèrent à deux mètres de moi avec des sourires amusés. Cependant, dans leurs regards se mêlaient gêne et curiosité malsaine.

- Et bien, voilà ce que c'est de pas nous obéir, dit le plus gros.

- Elle est à l'air d'une belle salope, crottée comme ça, dit le blond, d'un air dégoûté.

- Je ferai ce que vous vouliez, rendez-moi mon sac, je vous en supplie.

- Ce que nous voulons !?

- Oui, dans les vestiaires, continuer ce que j'étais en train de faire... Me masturber.

- Tu deviens enfin raisonnable. En route pour les vestiaires. Si on reste ici quelqu'un peut nous repérer.

- Je peux avoir mes affaires? Il fait si froid !

- Pas question. Il va falloir que tu les mérites.

- Je les suivis donc. Surprise, nous croisâmes un vieux qui promenait son chien. Il s'arrêta et me regarda l'air stupéfait. Je fis mine de rien, et marchai d'un pas plus décidé encore, ce qui fit sourire les trois acolytes.

Arrivée aux vestiaires, je leur demandai de prendre une douche d'abord, pour me laver, et surtout pour me réchauffer, car ma peau prenait un violet assez inquiétant.

- Nous t'accordons cette faveur, fit le plus grand, d'un air cérémonial. Ils prirent place juste en face de la douche et me regardèrent en voyeurs. Je fis couler l'eau, qui heureusement, était chaude. Je me débarrassa d'abord de toute cette boue, en leur tournant le dos. Ils ne se privèrent pas de faire des commentaires de plus en plus salaces.

- Quel cul elle a ! Ca donne envie de mordre dedans !

- Et ces jambes ! Musclée mais élancée la jument Je ne fis mine de rien entendre. Je pris le gel douche et commençai par un shampooing. Dans mon dos, les commentaires allaient de bon train :

- Quelle petite salope ! Elle me donne envie de me branler !

- Moi aussi, fis l'autre. Mais j'aimerais bien voir l'autre côté. Eh, Tu peux te tourner? On aimerait voir tes autres trésors, chéri. Au fait, tu t'appelles comment ?

- Eh, c'est vrai, on a pas fait les présentations. Moi c'est Luc dit le charmeur aux beaux yeux, lui c'est Mathieu, désignant le blond, et l'autre armoire à glace c'est David. Et toi ?

- Chloé. Fis-je, en me retournant vers eux. Je leur répondis en me massant tendrement mes petits seins qui commençaient à peine à se réchauffer. Captivés par mon petit spectacle, ils gardèrent le silence pendant que je me savonnais tout le corps. Je sentis peu à peu que ma peau se réchauffait, et en même temps un sentiment étrange me submergeait. Mes propres caresses sur mon corps avaient réveillé mon envie sexuelle.

- Bon poupée, c'est bien joli tout ça, mais n'oublie pas tes promesses, me rappela Luc. Et après, promis, on te laisse.

Il était maintenant trop tard pour revenir en arrière pensai-je. Maintenant, si je ne le fais pas, ils pourraient même peut-être aller plus loin. Et puis, il suffisait de simuler.

Lentement, toujours face à eux, j'approchai doucement ma main de mon bas-ventre. La douche avait fait disparaître toute trace de boue sur mon corps. Ma peau était maintenant rincée, à part ma fine toison bouclée qui était encore maculée de savon. Je coupai l'eau de la douche, et, regardant honteusement mon bas ventre, je passai mes doigts dans les boucles de mes poils. Doucement, mes doigts passèrent tout près des lèvres de ma chatte, en décrivant des cercles concentriques autour de celles-ci. Je sentais que mon sexe commençait à devenir humide de nouveau. Toujours debout, je m'adossai contre le mur de carrelage de la douche. Je n'osais plus les regarder, d'autant que ceux-ci ne commentaient plus mes faits et gestes, et au contraire était complètement silencieux. Le menton baissé, honteuse mais tellement excitée que je perdais tout contrôle de moi-même, mes cheveux recouvrant mon visage, j'ouvrais les cuisses pour leur montrer mon intimité, et des deux mains j'écartais mes lèvres. Rapidement, un mélange de savon et de mouille coula le long de mes cuisses. Toujours tête baissée, j'enfonça mon index entre mes lèvres. C'est à ce moment là que je sentis que j'irai jusqu'au bout : malgré la honte et la peur de ces types que je ne connaissais pas, je voulais me donner en spectacle, et surtout atteindre l'orgasme. Tandis que ma main gauche écartait mes lèvres, ma main droite massait les pourtours de mon clitoris, et stimulait déjà mon vagin. Mon cœur se mit à battre plus fort et ma respiration se fit entendre.

Malgré la honte qui me submergeait, je relevais la tête pour voir les 3 voyeurs. Je fus stupéfaite de voir que Luc filmait la scène, tandis que les deux autres se masturbaient eux aussi, le blond avait même sorti son sexe de son pantalon et l'agitait frénétiquement. Pour le film, c'était trop tard, et puis de toute façon ils ne connaissaient pas mon identité, et j'avais en outre donné un faux prénom.

La vue des 3 garçons excités, puisque maintenant Luc avait lui aussi sorti son membre de son fourreau, ne fit que décupler mon excitation. Je commençais à gémir, et mon doigt se faisait de plus en plus actif, mes cuisses de plus en plus écartées. Ma mouille débordait de mon sexe, mon doigt titillait maintenant mon clito. J'avais à présent du mal à tenir sur mes jambes et je jouissais maintenant la bouche ouverte, poussant des petits cris de plaisir. Tout à coup, je me donnai l'estocade en appuyant frénétiquement sur mon bouton, érigé comme un minuscule sexe. L'orgasme me submergea totalement, j'en perdis la force de me tenir sur les jambes, et je finis à genou, regardant mes bourreaux, le visage comme endolori par un orgasme si puissant. Je les vis tout à tour décharger leurs semences sur leurs pantalons, geignant comme des adolescents dont s'était presque la première fois. C'en était presque attendrissant. Luc avait lâché sa caméra et fut le dernier à venir, râlant de plaisir.

Je me levai, épuisée, rouge du plaisir pris mais surtout de honte. Ils me regardèrent éberlués, leurs sexes qui ramollissaient déjà en main, comme paralysés. Je m'avançai vers mes affaires qui étaient situées près de David, le plus grand des trois. Je le pris tout en regardant les sexes de ces messieurs, et les jeans arrosés de leurs précieuses semences, d'un air dédaigneux comme pour me venger de pareil supplice :

- Il y n'a plus de PQ dans les WC, fis-je, d'un ton détaché.

Je m'habillais rapidement tandis qu'ils s'essuyaient comme ils pouvaient avec des mouchoirs sales. Ils semblaient ahuris, comme éteints après pareil orgasme.

Habillée, je courai vers la porte pour fuir ces types. Je les entendis m'appeler mais je pris mes jambes à mon cou. Un peu plus tard, en reprenant les esprits en rentrant chez moi, je me passais le film de cette soirée folle dans ma tête. A y réfléchir, j'avais été vite consentante, et je m'en sentais coupable. Mais en même temps, cela avez été une expérience si excitante ! Peut-être avais-je un penchant pour la soumission et l'humiliation que je ne soupçonnais pas. J'avais bien vu qu'ils étaient inoffensifs : après tout, ils auraient pu profiter de la situation pour aller encore plus loin, jusqu'à me violer ! Mais, ce n'étaient pas des malades, ils savaient jusqu'où ils pouvaient aller, quelle limite ils ne devaient pas dépasser.

J'étais surtout inquiète pour la cassette vidéo, mais je me rassurai en me disant que mes cheveux avaient recouvert mon visage pendant toute la séance. Et puis ils n'étaient pas du coin. Je ne pensais plus jamais les revoir. Je me trompais.

A bientôt pour la suite

 

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