Un autre fantasme de bureau que je veux vous conter. Moi honnête femme mariée, coupe au carré, jupe comme il faut, sage et respectée. Du jour au lendemain on me colle ce chef acariâtre aux tempes grisonnantes. Le précédent est parti, suite à une promotion et son successeur arrive en terrain conquis. Il se colle à moi dès les premiers jours, me frôle de ses mains baladeuses. Il me prend pour une pomme incompétente comme si j’étais incapable de deviner son manège ! C’est gros comme une maison, il arrive avec ses gros souliers, se croit sans doute irrésistible et pense que je vais finir par succomber à son charme. Il se voit sans doute en train de me coincer dans la réserve ou imagine que je vais passer sous le bureau pour satisfaire à tous ses caprices. Non, je ne mange pas de ce pain là moi Monsieur et ce n’est certes pas un vieux grigou vicieux qui peut m’attirer dans son escarcelle. Les jours passent et il continue son petit manège. Tous les prétextes sont bons pour s’approcher de moi, pour frôler une épaule, poser sa main sur la mienne ou se coller à moi dans mon dos. Au bout d’une semaine, révoltée, ulcérée, hors de moi, je le prends entre quatre yeux et lui fais remarquer que s’il continue ce petit jeu là j’irai me plaindre à la direction, que je n’ai rien à perdre et que suis même capable de porter l’affaire en justice. Que dirait donc sa femme s’il me prenait l’idée d’aller tout lui raconter ? Du coup le voici qui se calme, mon intervention a dû porter ses fruits. Il fait profil bas et stoppe net son harcèlement. Depuis presque un mois, il a totalement mis de côté ses ardeurs et reste distant et loin de moi. Sans commentaire, je suis soulagée ! Qu’il reste donc dans son coin à maugréer ! Mais voici qu’un beau matin il revient à la charge, et cette fois sans aucune équivoque. A peine arrivée qu’il s’approche derrière moi et m’attrape un sein par-dessus mon épaule et se met à le pétrir violemment. Je me retourne pour le gifler de toutes mes forces mais il esquive et m’agrippe par les poignets. Je fulmine, sur le point de me lever et prête à foncer dans le bureau du grand patron. - "Je serais à votre place, j’y réfléchirais à deux fois avant de faire n’importe quoi, me dit-il sûr de lui. J’ai mené mon enquête et je ne sais vraiment pas quelle serait la réaction de votre époux si je lui communiquais la liste de vos aventures extraconjugales. Et le voici qui me sort dans la foulée les noms et adresses de mes amants des deux dernières années. (Mais où donc a t’il été chercher tout cela ? Je suis totalement décontenancée). Depuis vos menaces de l’autre jour, vous pensez bien que je me suis renseigné à votre sujet. Cela a été facile pour moi, j’ai un ami qui travaille dans une agence de détective et il a fait une petite enquête sur vous. Par exemple en allant flâner du côté des boîtes de nuit de la ville, lieux que vous fréquentez semble t’il assidûment lorsque votre mari est en voyage…" Comme j’essayai à mon tour de le menacer à nouveau pour le contrecarrer, le voici qui ajoute : "Oh, pour votre part, vous êtes bien mal renseignée, je suis divorcé depuis presque dix ans, le PDG est mon cousin et il m’arrive de jouer au golf avec le président du tribunal. Vos menaces de l’autre jour m’ont doucement fait rigoler. Vous voyez que nous ne sommes pas sur un même pied d’égalité". Mais je m’en fiche, qu’il aille donc voir mon mari et qu’il lui raconte tout, peu m’importe après tout, il est en tout cas hors de question que je me laisse tripoter par un vieux. Sans se démonter, il décroche le téléphone et compose le numéro de mon époux. Il demande à lui parler, c’est privé, c’est au sujet de sa femme, j’entends au téléphone la secrétaire qui consent à se lever et à aller chercher mon mari. Prise d’une peur panique, je lui fait raccrocher le combiné. J’ai bluffé, tant pis pour moi. Déjà que ce soir mon mari va me demander des explications au sujet de ce coup de fil impromptu… Le reste je n’aurais pas pu le supporter. Du coup le voici fort et sûr de lui, qui se colle à moi de plus belle. Convaincu de sa supériorité, il me tripote de plus belle avec ses mains vicieuses. Je ne sais quoi faire pour lui échapper, je suis pétrifiée, je suis sous son emprise. De plus près son odeur m’insupporte, je suis horrifiée, obligée de me laisser faire par cet homme qui m’exaspère, quelle horreur ! Contrairement à son bureau qui est juste face à la porte vitrée, le mien est dans un petit renfoncement et nulle ne peut nous voir de l’extérieur. Du coup il y va franchement, glisse ses gros doigts rugueux dans mon soutien gorge, arrache à moitié mon chemisier et pétrit mes deux globes avec brutalité. Je dois supporter ses attouchements grossiers et son haleine fétide. Bientôt, le voici qui sort sa queue noueuse et la présente devant ma bouche. Je suis écœurée tellement son odeur est forte et malodorante, une bitte de vieux mâle négligé. Quelle horreur, j’ai presque envie de vomir lorsqu’il m’oblige à l’engloutir et à la lui sucer. "Sale catin tu aimes ça la bitte ! Tu es si vicieuse que tu as envie de toutes les queues qui passent près de toi". Il est d’une vulgarité insensée et sans aucun respect. Tandis que je le suce, le voici qui me touche la chatte, qui arrache à moitié ma petite culotte et glisse ses gros doigts en moi et me pénètre bestialement. Bientôt il me fait me relever, pencher contre le bureau et arrache ma culotte en m’insultant de plus belle. Aucune insulte n’est assez puissant pour exprimer à quel point je suis perverse, catin vicieuse ou truie en chaleur. Puis s’enfonce brutalement en moi et me pilonne avec une violence inouïe en m’abreuvant de propos malsains. Sans aucune protection, il doit ignorer les méfaits du sida ce vieux con, il me tringle par derrière avec force. Il se sert de moi comme d’une poupée gonflable, simplement pour se soulager dans mon trou. D’ailleurs il le dit lui-même, je ne suis qu’un trou à bittes. Je l’implore par pitié de ne pas jouir en moi, je ne prends pas la pilule et suis en période féconde. Mais c’est peine perdue, j’aurais mieux fait de me taire. Il n’en a cure, ça l’excite au contraire de ne respecter aucun de mes désirs. Finalement il s’épanche grassement en moi en beuglant et m’arrose les entrailles de son vieux jus putride avant de s’essuyer le gland sur mes fesses nues. Je suis humiliée, je me sens sale, souillée. Il me regarde d’un air méchant et méprisant. Je me sens la dernière des dernières, pire qu’une catin. Il me promet que j’y aurai droit chaque fois que bon lui semblera, qu’il n’y a aucune raison que lui non plus n’en profite pas de mon trou de pute, vu que je suis une salope et que je ne pense qu’à ça. La prochaine fois mon cul y aura droit lui aussi. Je le sens, ma vie devenir un enfer, ainsi soumise aux bons vouloirs de ce vieux vicelard… Je rentre chez moi dépitée, déconfite, déterminée à tout raconter à mon mari. Peu importe les conséquences désormais, demain j’enverrai ma lettre de démission, mais il est hors de question que ce vieux porc grossier abuse à nouveau de moi E-mail: fantasmx@free.fr |