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Travaux dans notre pavillon

 

Nous venons de faire aménager les combles de notre pavillon et, en inspectant le travail du maçon, j'ai découvert dans la laine de verre des capsules de préservatifs!  Le choc passé, j'ai décidé de ne pas faire de scène de ménage, mais de surveiller ma femme, et de choisir un plâtrier qui ne soit pas un Apollon comme le maçon !  J'ai donc choisi un ancien employé communal, vivant de petits boulots. De tête, il ressemble à Guy Marchand, avec son peu de cheveux tirés vers l'arrière et brillants (certainement de gras plus que de gomina !), un mégot toujours au coin de la bouche (ma femme déteste l'odeur de tabac), maigre (à le croire tuberculeux !), Bref presque clochard !  Seule ombre dans son CV, néanmoins assez viril puisqu'il a fait six enfants à sa femme. Il est très porté sur les femmes (sans grand succès à cause de son aspect). Il lorgnait sur la mienne, Sophie, jolie brunette plantureuse. Il la déshabillait du regard chaque fois que nous le croisions. Mais Sophie a du caractère, et j'étais tranquille sur le fait qu'elle ne se laisserait pas séduire par un homme qui ne lui ferait pas envie !  J'ai donc engagé ce monsieur (appelons-le Robert) pour faire les plâtres.

Je suis passé à l'improviste chez moi le quatrième jour où Robert était là. Ma femme était dans les combles et discutait avec lui. Intrigué, je suis monté à l'échelle et j'ai passé la tête dans la trappe. En écartant le rouleau de laine de verre qui me cachait, je me suis fait un observatoire. Ma femme avait mis une robe en jersey. Elle était adossée au mur. Ils étaient maintenant face à face, presque l'un contre l'autre. Les yeux du plâtrier brillaient de désir. Ma femme semblait très excitée. Je voyais sa poitrine gonflée et durcie par la volupté. Le dessus de ses seins comprimés débordaient du décolleté, comme une brioche qui lève en débordant du moule. Elle était dans tous ses états, bien que le mâle ressemblât plus à un baudet qu'à un pur-sang ! D'ailleurs il était monté comme un âne, à voir la bosse qui tendait son pantalon, et dont la vue devait être pour beaucoup dans l'émoi physique de ma femme. Ils ont balbutié quelques mots (il devait lui faire des compliments sur ses seins !). Elle a ri, il l'a attirée vers lui et a plongé goulûment son visage sur les deux globes gonflés. Ma femme a essayé de le repousser, mais c'est elle qui s'est trouvée repoussée contre le mur, tandis que Robert lui dévorait le dessus des seins. Elle protestait:

- Non, non ! Soyez raisonnable ! La bouche de Robert suçotait avidement la chair offerte par les balconnets du soutien-gorge.  Ma femme protestait plus, mais avait posé sa main sur la tête de l'homme, lui massait les cheveux, la pressait sur ses seins.  Elle renversait la tête, bouche bée de plaisir.  Pendant ce temps, les mains de Robert caressaient les hanches, la croupe, le ventre de ma femme, bien moulés dans sa robe.  Je voyais Sophie fermer les yeux de plaisir. Quand mon plâtrier a relevé la tête, j'ai vu qu'il avait dépoitraillé ma femme. Le haut de sa robe dégrafée laissait voir presque tout le soutien-gorge en dentelle blanche ; les deux oiseaux étaient encore dans leur cage de dentelle, leur dessus rougi de suçons presque jusqu'aux aréoles.

Robert commençait à les peloter à pleines mains quand ma femme s'est dégagée de son étreinte, et est allée derrière le linge étendu où j'ai vu qu'elle rajustait sa tenue. En effet, elle est ressortie de derrière ce paravent avec sa robe rouge bien reboutonnée, en disant : - Avec vous, une femme doit s'habiller blindée !

Elle s'avançait vers Robert en arborant deux coquilles blanches qui enfermaient complètement ses seins ! Elle avait retourné son soutien-gorge, balconnets vers le bas !

Robert lui a caressé les épaules et le cou, lui a pressé les seins au travers de la dentelle, mais la baleine faisait barrière rigide et étanche à l'entrée des mains dans les cages !  Robert était fou de ne pas pouvoir faire jaillir les deux globes hors de cette cage, d'autant qu'on voyait à travers la dentelle la tâche brune des aréoles et les deux pointes érigées de désir. Lui bandait comme un âne dans son pantalon. Il a alors assis ma femme sur des sacs de plâtre, a déchiré la robe en dessous des boutons, du creux du sternum presque jusqu'au nombril, s'est débraguetté. Sa verge impressionnante a jailli. Il l'a introduite dans la déchirure de la robe et dans une des deux cages en écartant le balconnet, et a commencé à pousser son gland enserré entre la dentelle et la pointe du sein. A chaque coup de reins, le gland se frottait contre l'aréole et la pointe érigée qu'il écrasait, et butait contre le toit de la cage qu'il soulevait. Ma femme a tout de suite joui dans cette branlette espagnole, et Robert peu après. La dentelle est soudain devenue transparente, dégorgeant de foutre, laissant voir le gros gland et la pointe du sein pressés l'un contre l'autre.

Robert était surexcité. Il a retroussé la robe de ma femme en lui caressant avec rudesse les jambes, les cuisses et l'entrecuisse, puis il a plongé la tête sous ce qui restait. J'ai vu les mains de Robert retirer la petite culotte jusqu'aux genoux, puis caresser les jambes des chevilles aux jarretelles, la tête toujours enfouie sous le haut de la robe.  Ma femme renversait la tête en arrière en fermant les yeux de plaisir. La bouche et la langue de Robert devaient s'activer sur sa chatte et sur son clitoris. Elle écartait les jambes, caressait la grosse bosse que faisait sa robe sur son ventre en la pressant pour qu'il dévore encore plus sa chatte. Comme elle poussait des cris de plaisir, on aurait dit une femme en train d'accoucher.

Robert s'est redressé, les babines pleines de mouille, le dard raide et dur, dressé. Il a allongé ma femme sur le côté, après lui avoir fait tomber le haut de la robe dépoitraillée sur la taille, sur laquelle des taches blanches visqueuses coulaient du soutien-gorge poisseux.  La position de ma femme, bien qu'inconfortable sur les sacs de plâtre, mettait en valeur le galbe de sa hanche. La robe remontée jusqu'aux jarretelles, qui laissait voir la limite entre la chair grise (sous le bas) et la chair blanche. Pendant qu'il quittait son tee-shirt, ma femme a empoigné la grosse verge braquée sur elle et a commencé à la masturber, à la caresser, avant de l'engloutir goulûment dans sa bouche. Elle s'est mise à sucer et pomper avidement le membre, beaucoup plus gros que le mien, d'un geste ample et lent. Elle empalait sa bouche sur le pieu jusqu'à ce que le gland turgescent lui écrase les amygdales, ce qui lui provoquait comme une nausée.  Elle retirait alors lentement sa tête en aspirant si fort que je voyais ses joues se creuser, ses lèvres serrées très fort autour de la hampe, se tendre en avant. La langue de ma femme devait activement laper le gland et s'enrouler autour du membre, car la hampe ressortait luisante de mouille.  A mesure que le membre de Robert émergeait de la bouche de ma femme, il était caressé et enserré par les doigts fins aux longs ongles rouges. Ses mains qui pelotaient, et griffaient même sous l'excitation, les deux grosses bourses velues.

Je bandais moi aussi sur mon échelle, et j'étais encore plus excité que lorsque je baisais moi-même ma femme, qui ne montrait pas tant d'ardeur et de savoir-faire avec moi ! Elle ne m'avait jamais fait pareille fellation ! J'étais paralysé d'excitation et du plaisir du voyeur. Je me suis débraguetté et j'ai commencé à me masturber.

Robert était au septième ciel. Il était maintenant nu avec le pantalon sur les pieds. Il avait fait tomber le haut de la robe jusqu'à la taille. A moitié paralysé par le plaisir de la fellation, il pelotait les bonnets du soutien gorge encore en place et en a fait jaillir les deux seins boudinés dans leurs cages. Il les a pétris et pressés de ses deux mains, en pinçant les pointes et en les faisant rouler entre ses doigts. Fières et gonflées, les pointes se redressaient après chaque caresse. Sous le plaisir mammaire, ma femme ralenti le rythme de sa fellation, de sorte que Robert a repris de l'initiative en lui caressant l'entrecuisse, les hanches, les fesses et la chatte. Pour cela il avait remonté complètement la robe. La chatoune noire, bien rasée en triangle, était malaxée par la main de l'homme, ce qui provoquait le raidissement des jambes de ma femme, sous le plaisir clitoridien et vulvaire. Elle soulevait son bassin, appuyée juste sur les talons.  Ils ont lâché un grand râle en orgasmant en même temps. Le sperme coulait au coin des lèvres de ma femme qui, la bouche remplie, l'avalait à petites gorgées pour mieux le savourer.  Puis elle a raclé de ses lèvres et léché le membre pour ne pas en laisser une goutte. Elle reprenait ses esprits. En même temps, elle a glissé une main dans la poche de sa robe et en a sorti un petit carré d'aluminium qu'elle a déchiré pour en extraire un préservatif. La salope !  Elle avait prévu cet adultère ! Elle a encapuchonné la verge encore raid, s'est levée pour se débarrasser de ce qui lui restait sur elle. Elle a étendu une bâche sur un matelas de laine de verre, et s'est allongée dessus, attendant de se faire prendre par son baudet.  Elle n'a pas eu à attendre longtemps. Celui-ci s'est rué et vautré sur elle, a pointé son mandrin à la main dans le sillon et l'a enfoncé sans ménagements en arrachant un petit cri (douleur ou plaisir ?) à ma femme.  Puis il l'a bourrée pendant de longues minutes, allongé sur elle, empoignant ses seins. Il arrachait des râles de plaisir à ma femme à chaque va-et-vient.

Puis Robert s'est retiré.  Il a soulevé ma femme et l'a posée sur sa plate-forme de travail (haute comme une table), les jambes pendantes.  Puis, debout, il la repénétrée et rebourrée. Son plaisir semblait venir. Il s'est retiré rapidement, a ôté le préservatif, a plié les jambes de ma femme et les a bloquées pliées en enserrant le haut d'une cuisse dans chaque bras.  Il s'est mis à l'empaler sur lui frénétiquement. Ma femme serrait les poings tant son plaisir était intense. Puis Robert a retourné ma femme sur le ventre, l'a fait s'accroupir, et l'a prise en levrette. Je voyais la belle croupe rebondie et les petites lèvres serrées sur le membre, pour le retenir lorsqu'il sortait. Les seins de ma femme se balançaient au rythme des coups de reins de son amant, en frottant les planches pleines de poudre de plâtre. D'un coup, Robert s'est enfoncé à fond, puis s'est immobilisé en râlant. Il déchargeait par bordées sa semence au fond de la matrice de ma femme en serrant les fesses rebondies à pleines mains. Elle hoquetait de plaisir

Il s'est retiré, a remis le préservatif, et a repris le coït un moment et s'est de nouveau retiré. C'était pour bien lubrifier le latex avec le sperme déchargé dans le sexe de mon épouse.  Robert a posé le capuchon sur l'œillet de ma femme et a pressé. Elle a paru surprise (elle était vierge de ce côté-là). L'entrée forcée, la bitte s'est englouti dans le fourreau anal qu'elle a entrepris de pistonner. Ma femme semblait apprécier vivement. "Ah, c'est bon ! ..."Robert était increvable dans ses œuvres viriles, depuis plus d'une heure il saillissait ma femme qui était dans un semi-coma de plaisir. Quel étalon ! Leurs deux corps étaient luisants de sueur.

Je me suis éclipsé.  Le lendemain, je suis repassé à la maison. Cette fois ils étaient au lit, j'entendais de grands soupirs de plaisir de ma femme, venant de la chambre. En entrouvrant la porte, j'ai vu qu'ils étaient allongés sur le côté, lui derrière elle; Il l'enserrait dans ses bras en lui pelotant et malaxant ses seins fermes et il la bourrait par-derrière. Ma femme avait la jambe passée au-dessus de celle de son amant.  Robert a posé une main sur le pubis de celle-ci en le pressant, pour mieux l'empaler et la pistonner comme un lapin avant qu'ils ne jouissent.

Je ne suis pas revenu voir les copulations de ma femme avec ce clodo les jours suivants. L'abattement avait pris le pas sur le plaisir du voyeurisme.

Le plâtrier est resté une semaine de plus que prévu.  Mon épouse a été saillie et baisée à outrance pendant quinze jours, mais pas rassasiée. J'ai eu la preuve qu'elle rencontre toujours son baudet et qu'elle l'a dans la peau.