L'ami de mon mari
Mon mari a un collègue de travail avec qui il s'entends très bien, ils sont, au fil des années, devenus amis. Comme dit Philippe, leur travail ( sapeurs pompiers ) crée des liens très fort entre collègues il considère Pascal comme un "frère d'armes" selon ses termes. Ils font du squash ensemble et le week-end, ils partent faire du VTT ensemble près de chez nous. Pascal est devenu un intime de notre famille, les filles et moi même l'apprécions. Il est plus jeune que Philippe, il a mon âge. Ce matin de juin, Pascal est venu chercher Philippe de bonne heure pour une sortie en VTT . Trop fatiguée d'être rentrée tard d'une soirée au bureau la veille, je ne me lève même pas pour leur départ et je reste flemmarder au lit en oscillant d'un état de demi sommeil à un autre plus réveillée sans trouver l'envie de me lever. Sans que j'ai vu le temps passer, j'entends soudain les voix masculines des deux hommes. Je veux me lever pour les accueillir et préparer un café mais je les entends parler dans le couloir contigu à la chambre et comme je dors nue en ce moment à cause des températures élevées même la nuit, je me dis qu'il est trop tard et que je me lèverais lorsqu'ils se seront éloignés pour avoir le temps de mettre au moins un t-shirt. J'entends Philippe proposer à Pascal de prendre une douche dans la salle de bain familiale pendant que lui prendra la sienne dans la celle qui donne dans notre chambre. La porte s'ouvre soudain et je vois une ombre entrer. Je fais semblant de dormir et mon mari retire son cycliste et son t-shirt avant de rentrer dans la salle de bain. Il referme la porte pour ne pas faire de bruit. Je me dis que c'est le moment de me lever et d'aller à la cuisine. J'enfile mon t-shirt de nuit, c'est un vieux t-shirt à Philippe qui m'arrive en haut des cuisses et je sors dans le couloir en surveillant qu'il n'y ait personne. Je descends dans la cuisine et m'affaire à préparer le petit déjeuner. Soudain, je sens deux mains sur ma taille et sans me retourner, je demande à Philippe de m'aider en sortant les bols. Sans me répondre, les mains remontent sur ma taille jusqu'à englober le dessous de mes seins en les soupesant. Je me tortille pour échapper à ces caresses sans oser faire trop de bruit à cause des autres dans la maison. Je redemande à mon mari de m'aider au lieu de penser à ça mais rien n'y fait. Les mains redescendent et caresse mes cuisses avant de remonter cette fois ci sur la peau nue. J'essaye toujours de me débattre en lui disant qu'a tout moment on risque d'être surpris par les filles ou par son copain. Sans m'écouter, un main passe devant et caresse mon sexe épilé avec un murmure d'approbation. Je sens mes lèvres se décoller et malgré la gêne de la situation, mon sexe s'humidifie instantanément. J'écarte une peu mes pieds pour faciliter l'accès de ces doigts et je dépose ce que j'ai dans les mains pour m'appuyer au rebord de l'évier. La deuxième main vient englober un sein et le malaxe en en appréciant la fermeté et le poids. Je me sens bien et j'ai envie que cela dure mais c'est trop risqué alors je m'apprête à me retourner pour demander à mon mari qu'il arrête. Je tourne ma tête et … Je me retrouve face à Pascal. Je deviens d'un coup toute rouge, je sens mes jambes flageoler et j'ai l'impression que je vais m'écrouler. Aucun son ne sort de ma bouche et Pascal prenant certainement cela pour une approbation, me saisit par les épaules et me tourne vers lui. Avant que j'ai eu le temps de réagir, sa bouche s'est collé à la mienne et sa langue pénètre entre mes lèvres. Elle cherche la mienne, s'enroule autour et instinctivement, je réponds à son baiser, ma langue tourne aussi, nos salives se mélanges et mes bras s'accrochent à son cou. Un baiser fougueux augmente notre excitation. Il s'est collé à moi et je sens son sexe tendu contre mon ventre. Sa main repart sous mon t-shirt, entre mes cuisses et cela me fait reprendre conscience de ce que nous faisons. Je lui demande d'arrêter mais il ne le fait pas, il se contente de me caresser la joue en me rassurant. Sa voix suave pénètre mon esprit et mon cerveau lutte contre mon corps, l'un veut que cela s'arrête car nous faisons une bêtise et l'autre veut profiter du plaisir de la situation. J'arrive à repousser Pascal et en regardant vers la porte de la cuisine, je lui demande de cesser car nous risquons d'être surpris. Il me demande si c'est la seule raison et si il n'y avait pas ce risque, si j'accepterais. Je me sens piégée par mes propres paroles et je ne réponds pas de peur de m'enfoncer. Il se rapproche, prends ma main et la pose sur son sexe en me demandant de constater l'effet que je lui fais. Je suis comme électrisée par ce contact et je sens sous ma main palpiter sa bite. Elle a l'air épaisse, pas trop longue et très dure surtout. Je lui demande de se calmer et lui dis que si Philippe arrive maintenant, son état ne sera pas très présentable. Il me dit qu'il ne tient qu'a moi de changer cet état en le satisfaisant. Je refuse et il se met en appui contre la table. Son Jean's est tendu avec une grosse bosse à la hauteur de son sexe. Je lui répète de penser à autre chose et de se calmer. Lui, insiste en me disant que je suis la seule capable de faire quelque chose à la situation. Paniquée à l'idée que mon mari ou mes filles pourraient le découvrir dans cet état, je cède. J'accepte à condition qu'il n'en parle à personne et qu'il ne retente jamais de profiter de cette situation. Il hoche la tête et je m'approche donc de lui, défait la braguette de son pantalon et plonge ma main pour en extraire son sexe. Je suis obligée de forcer pour arriver à le passer par l'ouverture. Ma main se referme dessus et je constate que sa bite est plus grosse que celle de mon mari car mes doigts se rejoignent à peine en faisant le tour. Je commence mes mouvements de va et vient en lui demandant de faire vite car plus le temps passe et plus le risque de nous faire surprendre augmente. Il ferme les yeux en plongeant une de ses mains sous mon t-shirt pour caresser mes fesses et mon sexe. Je le laisse faire en espérant que cela accélérera la venue de son plaisir. Au bout d'un temps qui me paraît interminable, je lui demande de conclure mais il me dit qu'il n'y arrive pas et me demande de le sucer. Je refuse mais lorsque j'essaye de rentrer son sexe dans son pantalon, je n'arrive plus à le plier pour le faire pénétrer dans l'ouverture. Je commence à paniquer et Pascal me répète qu'il pourra jouir rapidement si je me sers de ma bouche. Sans réfléchir, je lui demande de surveiller la porte et je m'agenouille puis avale son sexe d'un mouvement entre mes lèvres serrées. Je serre la base dans un anneau de mes doigts qui suis les aller et retour de ma tête. Je m'applique pour accélérer sa jouissance en le regardant pour voir si il apprécie. Sa main posée sur ma nuque et les rictus de son visage me disent que j'ai trouvé la bonne technique, j'avale le plus loin possible sa tige puis j'aspire en la ressortant en tournant la tête. J'alterne ses mouvements rapides avec de plus lents et je garde parfois son sexe au fond de ma bouche en déglutissant pour le masser de ma gorge. Mes mains ne restent pas inactives, j'en est une sur mon bouton pour me caresser et l'autre pétrit ses bourses en s'insinuant de temps en temps entre ses cuisses pour agacer son anus. Je sens soudain sa tige palpiter sous ma langue et ses bourses se rétracter. Je me recule pour ne pas qu'il jouisse dans ma bouche car je n'ai jamais accepté cela de mon mari. La main de Pascal se crispe sur ma nuque pour me retenir et une marche de l'escalier craque. Je n'ai plus le temps et j'accélère mes mouvements en augmentant la pression de ma langue vers mon palais. Pascal grogne et un jet fuse directement dans ma gorge. Je tousse mais ne peux me dégager. Je m'applique à avaler le reste pour ne pas m'étouffer. J'arrive à diriger les autres vers mon palais pour ne pas m'étrangler et je déglutis au fur et à mesure pour tout avaler. Malgré mon application, la quantité est impressionnante, c'est au moins six ou sept jets que je reçois et je sens qu'il en coule à la commissure de mes lèvres. Pascal lâche ma tête et je me redresse en me tournant vers l'évier. Philippe entre quelques secondes plus tard alors que Pascal fini de se rajuster et il m'entoure les épaules de son bras en m'attirant le visage vers lui pour m'embrasser. J'essuie ma bouche d'un revers de poignet juste avant que mon mari pose sa bouche sur la mienne pour me dire bonjour. Je n'ai qu'une peur, c'est qu'il sente l'odeur du plaisir que j'ai sur les lèvres mais il ne dit rien. Il s'assied à table en face de Pascal et ils prennent leur petit déjeuner avant de partir travailler. Je reste tournée vers l'évier sans oser croiser le regard de mon mari ou de Pascal car je dois être aussi rouge qu'une collégienne tellement j'ai honte de ce que j'ai fait. Avant de partir, Philippe me tape sur les fesses et me demande de préparer de quoi faire un barbecue ce soir, qu'il invitera quelques amis à dîner en finissant sa garde. Je réponds par un hochement de tête, car j'ai peur qu'aucun son ne sorte de ma bouche… |