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Bonjour, je m'appelle Muriel, j'ai 32 ans et cette histoire a commencé il y a deux ans, à l'époque ou j'étais allée faire une formation de puéricultrice complémentaire à ma profession d'infirmière à Marseille à 200 Km de chez moi.

Je suis brune, les cheveux long, je mesure 1,70m pour 50 kg, avec des seins assez volumineux mais encore ferme et j'attise encore beaucoup le désir des hommes. La formation dure un an, on en était environ à la moitié et j'étais rentré chez moi le week-end.

On s'était disputé avec mon mari, et c'est contrariée et frustrée que j'ai repris le train ce soir là.

Je suis rentrée me changer dans le studio que je louais puis j'ai rejoint la maternité ou je débutais un stage de nuit de 15 jours. J'étais déjà allée me présenter ce qui fait que je me suis rendue directement au vestiaire, j'ai enfilé ma blouse blanche en ne gardant dessous que ma culotte et mon soutient gorge, et j'ai rejoint le service.

On a effectué le travail de routine avec la puéricultrice titulaire, et vers 1h du matin le service étant calme je suis allée à l'office me faire un café.

J'étais en train de me servir, quand l'interne de service et un brancardier sont entrés dans la salle. Je leur ai servi une tasse, ils ont plaisanté avec moi, assez crûment d'ailleurs me disant que j'avais un beau cul, et autres plaisanteries de carabins. J'ai débarrassé et j'allais sortir pour rejoindre le service, quand l'interne, m'a barré le passage, m'a plaqué contre la table et s'est collé contre moi. Il m'a embrassé dans le cou tandis que sa main s'insinuait entre mes cuisses qu'il maintenait écartées avec son genou. Je ne pouvais pas me dégager et il n'était pas question de crier en pleine nuit dans le service des bébés. Sa main a écarté ma culotte et ses doigts ont atteint ma chatte. Son autre main s'est posé sur mes seins tandis qu'il me murmurait

" Laisses-toi faire chéri, allez tu es toute chaude, tu sens ma grosse bite contre toi, quand on est belle comme toi on se laisse caresser, tu mouilles tu en as envie"

Quand ses doigts ont forcé ma fente, je n'ai pas pu retenir un gémissement, j'avais envie de cet homme de 25 ans qui me désirait, et je n'avais pas joui depuis plus de trois mois, lors de mes week-end à la maison mes rapports avec mon mari avaient tourné au fiasco.

Je me suis abandonnée ma chatte s'est ouverte d'un coup, l'homme a compris que ma résistance était vaincue. Il a retiré sa main et m'a dit :

" Viens ne restons pas là "

Il m'a prise par la main et m'a entraînée dans la salle de repos de l'autre côté du couloir. La salle était sombre éclairée juste par les blocs de sécurité, il ma poussé à l'intérieur et je me suis retrouvé à quatre pattes sur le lit de camp. Il a soulevé ma blouse sur mes reins, a abaissé ma culotte. Ses mains ont touché ma chatte, écarté mes cuisses, il a placé sa bitte à l'entrée de ma moule et il a poussé. Quand il s'est enfoncé d'un coup, j'ai poussé un gémissement, c'était trop bon, il a commencé à me limer avec force, j'allais au devant de ses coups de boutoirs je me mordais les lèvres j'avais peur de hurler mon plaisir dans le silence de l'étage. Cette première étreinte fut courte, j'ai joui quand il a craché son sperme au fond de ma minette, plusieurs jets puissants qui ont décuplé ma jouissance.

Il s'est retiré, me laissant ouverte et béante, pleine de foutre, je lui ai dit :

" Prends-moi encore."

À  nouveau une bite dure s'est enfoncée dans moi. C'était le brancardier qui avait suivi et dont je ne m'étais pas encore aperçu de la présence. L'interne, lui était passé devant moi, il a déboutonné ma blouse, dégrafé mon soutien gorge, et pris mes seins à pleines mains., sa queue était au niveau de ma bouche, il m'a dit :

" Suces moi, ouvres la bouche, ouiiiii , sert toi de ta langue, refait moi bien durcir , oh! tu sais y faire "

J'aime sucer, c'est pas mon mari qui me contredira et en 10 ans de mariage j'ai acquis un certain savoir-faire

Je n'avais jamais sucé que lui et j'avais envie de satisfaire cette bite inconnue dans ma bouche. Je l'avalais, je lui caressais les couilles avec ma main, et en même temps je cambrais ma croupe pour sentir le vit du brancardier s'enfoncer jusqu'à l'entrée de mon utérus.

Pour une première aventure extra conjugale, c'était réussi. Les deux hommes commentaient mutuellement ma prestation :

" Elle est chaude la stagiaire, et pas effarouchée comme les jeunes qu'on nous envoie d'habitude "

" Elle sait y faire, j'ai jamais été pompé comme ça "

" En plus elle est bien foutue regardes ce cul et ces nichons "

" Suces chérie suces, elle a une bouche ....... elle m'avale en entier "

" Elle en veut, elle remue le cul quand je la baise, la salope, elle va me faire jouir "

J'étais en train de jouir moi-même pour la deuxième fois, l'homme l'avait senti et s'était vidé dans ma moule m'inondant à son tour.

Il n'est pas sorti tout de suite, il me regardait sucer son ami, la bite s'est tendue brutalement, et le jet de sperme a jailli sur ma langue, sur mon palais, au fond de ma gorge. Je ne pouvais rien faire d'autre qu'avaler jusqu'à la dernière giclée la semence de l'interne qui maintenait ma tête avec ses mains.

On s'est relevé, j'ai rajusté tant bien que mal mes vêtements, heureusement que les tâches de sperme ne se voyaient pas trop sur ma blouse blanche.

Ils m'ont dit :

" Il faut qu'on y aille, c'était le super pied pour toi aussi hein?!"

J'ai dit la vérité " oui "

 " Demain tu es de service on viendra à la même heure, soit prête "

Nous nous sommes séparés, et j'ai rejoint le bureau, où la puéricultrice titulaire m'a regardé d'un air qui voulait dire, tu as pris ton pied à moi on ne me la fait pas.

J'ai dormi toute la journée et je suis retournée prendre mon service vers 20H. La première partie de la soirée s'est passée à effectuer les tâches habituelles, j'ai croisé plusieurs fois l'interne sans que rien ne laisse soupçonner nos rapports de la nuit précédente. Vers 0h30 le service s'était endormi et j'ai rejoint le bureau.

Nous discutions avec ma collègue, quand vers 1h, l'interne est passé, il s'est arrêté et m'a interpellé :

" Madame pourriez vous venir avec moi, un petit problème à vous soumettre "

Je me suis levée et je l'ai suivi tandis que la puéricultrice, me disais :

" Prends ton temps mais pas trop quand même, en cas de problème je sais où tu es "

Je n'ai rien dit mais j'ai compris qu'elle savait.

Il m'a entraîné dans la même salle de repos, le brancardier était déjà là, l'interne à refermé la porte, allumé une petite lumière et m'a dit :

" Déshabilles toi "

 Ils s'étaient assis tous les deux sur le lit et me regardaient. J'ai dégrafé ma blouse, écarté les pans dévoilant mon soutien-gorge et ma culotte.

" Le soutien gorge maintenant, montres-nous tes nichons, allez, te fais pas prier "

J'ai fait tomber mon soutien-gorge, mes seins étaient tendus d'excitation, j'avais envie qu'ils me touchent

" La culotte maintenant, c'est ça ! Montres-nous ta chatte, écartes les cuisses, caresses toi, prépares bien ta chatte pour nos bites, tu as envie de nos bites hein salope, tu vas te faire baiser pendant que ton mari garde les gosses, tu vas nous sucer, dit le que tu es une salope mariée en chaleur "

" Oui je sais, je suis une salope et je veux que vous me baisiez comme hier soir "

" allez vient, vient sur ma bite "

Le brancardier s'était allongé sur le lit, je l'ai enjambé, je me suis mise sur sa bite dressée, j'étais trempée, ouverte, je l'ai prise dans ma main et positionné entre mes lèvres. Quand je me suis laissée tombée, elle est entrée toute seule, le brancardier m'a attiré vers lui, mes seins pressés contre sa poitrine, il a pris ma bouche, léché mes lèvres, sucé ma langue. Derrière, l'interne, me dilatait l'anus avec son doigt et sa langue, il voulait m'enculer et j'étais prête et quand sa queue s'est présentée à l'entrée de mon anus, je me suis distendue relâchant mes muscles pour lui laisser la place. Il s'est enfoncé sans problème, moi qui n'avait connu que deux hommes auparavant, je doublais mon expérience d'un seul coup. Ils me baisaient tandis que l'interne murmurait à mon oreille :

" Tu aimes à deux, vicieuse, ton mari il dort tranquille, il ne se doute pas de ce que tu es en train de faire, il sait pas que sa petite femme chérie se fait baiser et sodomiser en gémissant de plaisir, que son petit cul serre la bite d'un autre homme tandis que sa chatte va se faire remplir du foutre d'un autre, allez jouit, éclates toi, crie! "

Il savait ce qu'il disait, il savait que ces paroles accroissaient mon excitation, je gémissais, je tenais des propos décousus

" a fond, ....ahhhh, oui votre chose, ...vos bites,.... c'est trop bon ..... presse mes seins, .... "

J'ai éprouvé un des premiers orgasmes les plus violents de ma vie, et il y en aura d'autre, quand ils ont giclé dans ma chatte et dans mon cul. Mon corps s'est détendu, tandis que je ronronnais de plaisir, l'interne s'est retiré, le brancardier m'a fait relever, je sentais le sperme chaud sortir de mon anus qui se refermait tandis que ma chatte gardait la semence du brancardier.

C'est à ce moment là que je me suis rendu compte, en sentant ma chatte pleine de foutre que je venais de me faire prendre pour la troisième fois sans protection, j'avais fait retirer mon stérilet au début de la formation ne pensant pas en avoir besoin. Je n'ai pas eu le temps d'y penser longtemps car ils m'ont fait mettre à genoux devant le lit sur lequel ils étaient assis pour que je les suce.

Je les ai pris à tour de rôle dans ma bouche, branlant l'un pendant que j'engloutissais l'autre, et j'adorais cette sensation que me procurait leur queue durcissant sur ma langue. J'étais plongé dans cet exercice avec délectation quand la porte s'est ouverte.

La puéricultrice m'a regardée nullement choquée en me disant :

" Madame........ il faudrait que vous veniez "

Et elle a refermé la porte.

Je me suis relevée et habillée, tandis que les deux hommes ne tarissaient pas de propos acerbes à l'encontre de la puéricultrice.

Je me suis rendu au bureau, remplacer la puéricultrice, et la routine jusqu'au matin.

J'ai dormi jusqu'à 17h, à mon réveil les images des jours précédents sont revenues, d'abord l'inquiétude, de mettre fait prendre sans protection, inquiétude dissipée aussitôt par le souvenir de ma jouissance, et les messages que m'envoyaient ma chatte et mon cul, pas encore remis de ces pénétrations sauvages.

Je me suis dit qu'en cas de problème, je me ferais donner une pilule abortive et me suis préparé pour aller au travail. J'ai choisi avec soin des dessous qui mettaient en valeur mon corps, en particulier mes seins qui pointaient devant moi, puis après un dîner léger j'ai rejoint la clinique.

Après avoir enfilé ma blouse je me suis regardée dans la glace et me suis trouvée particulièrement sexy et désirable. La première partie de la nuit s'est déroulée de façon habituelle, sans que je croise l'interne, et nos tâches accomplies, nous nous sommes rendues dans le bureau.

Vers 1h30, je commençais penser qu'il ne se passerait rien, ayant appris que l'interne était de repos quand le téléphone a sonné. J'ai décroché, c'était le brancardier qui me demandait de le rejoindre dans leur local un étage plus bas.

Après une courte hésitation, j'informais la puéricultrice de ma destination et rejoignais le local. Ils étaient quatre, à boire le café et à manger des croissants, ils m'en ont offert puis une équipe a été appelée et je suis restée seule avec celui que je connaissais et son équipier.

Il m'a pris par la main et m'a amené dans un petit local attenant servant de vestiaire avec juste des casiers et un banc. A peine rentrés, il s'est collé derrière moi, m'embrassant le cou et dégrafant ma blouse, tandis que son équipier regardait la scène. Il a libéré mes seins en disant :

" vises les nichons, tu peux y aller, elle adore la salope "

L'équipier a pris un de mes seins dans chaque main et a collé sa bouche sur mes tétons tandis que le brancardier faisait glisser ma blouse, et abaissait ma culotte. Puis il s'est adressé à moi :

" Écartes les fesses, c'est ça, je vais t'enculer tout de suite, détends-toi, ouvre bien ton anus, tu vois ça rentre, tu aime cochonne, penches toi et suces mon ami, montres lui comment tu es experte "

J'ai fait ce qu'il disait, je me suis penché et j'ai englouti la bite pendant que le brancardier me labourait le cul. J'ai mis ma main gauche sur mon clitoris et je me suis masturbée pendant que je satisfaisais les deux hommes. Celui que je suçais à pris ma tête entre ses mains, le chignon obligatoire s'est défait et mes cheveux ont croulé en cascade sur mes épaules. Le brancardier me tringlait violemment, je sentais mes seins ballotter, mon anus se dilater encore plus, dans un moment de lucidité, je me suis vue nue, pliée en deux, une bite dans le cul, l'autre dans la bouche, et cette vision au lieu de me faire honte m'a excité au point de provoquer un orgasme immédiat qui a fait tressaillir tout mon corps.

Tout de suite après j'ai sentit la pression du foutre qui jaillissait dans mon cul. Puis l'équipier m'a attrapé par les cheveux, et maintenait ma tête pendant que son sperme se projetait dans ma bouche et sur mon visage

Je me suis relevée, et leur ai dit : " il faut que je remonte "

J'étais en train de mettre ma culotte quand la deuxième équipe est revenue. La porte était entrouverte et ils m'ont vu nue en train de remettre ma culotte. Ils sont entrés dans la pièce, le brancardier m'a dit :

" Tu ne vas pas partir sans faire plaisir à mes copains, ta chatte a envie d'une bonne queue, allonge-toi sur le banc "

Ils m'ont fait allonger sur le banc et comme il était assez bas, ils ont mis deux coussins sur mes fesses. Cuisses repliées, jambes écartées ils avaient une vue parfaite de ma chatte et de mon cul. Un des arrivants n'a pas attendu, il a dégrafé son pantalon et est venu planter sa bite directement dans ma moule, le deuxième a enlevé son pantalon et son slip et s'est mis à califourchon au-dessus du banc. Son sexe était à la bonne hauteur et il le frottait sur mes seins, mon cou mes lèvres. Le brancardier s'est assis sur le banc à côté de ma tête et a commencé à se branler en se caressant avec mes cheveux défaits. Ils n'arrêtaient pas de faire des commentaires :

" C'est pas tous les jours qu'il y a des stagiaires comme elle! "

" on en a baisé des infirmières mais comme elle jamais "

" C'est une vrai salope, mariée en plus, "

" elle aime que je frotte ma bite contre ses seins, ils sont durs, sort ta langue lèche quand je passe "

" Caresses moi les couilles, branles moi avec tes cheveux, Que c'est bon "

" ma bite dans sa chatte, un délice, elle remue le cul, je la défonce je vais lui ouvrir l'utérus à coup de bite "

" oh et moi alors laissez-moi une petite place "

" patientes, je te laisserai sa moule toute chaude "

Je faisais tout ce qu'ils me demandaient, c'est vrai que je sentais la bite butter au fond de mon vagin, l'homme s'est arrêté de bouger, et son foutre a jailli, des jets puissants, c'est comme s'il pénétrait en force dans mon utérus et dans mes trompes, l'excès est ressorti et me coulait entre les fesses, j'ai joui en râlant, un orgasme profond vaginal, j'ai pas eu le temps de me remettre car la place était à nouveau prise d'assaut par le quatrième homme.

Celui qui se masturbait sur mes seins a jouit à son tour, les premiers jets sont venus s'écrasaient sur mon visage, puis dans mon cou, et enfin entre mes deux mamelons. Cela a excité le brancardier car il a pris sa bite dans sa main et a posé son gland contre ma bouche. À nouveau j'ai été arrosé, mes lèvres mes joues et surtout mes cheveux dans lesquels il a fini de vider sa semence. Celui qui me ramonait la chatte, est sortie, a passé ses bras sous mes jambes, m'a soulevé les fesses et m'a enculé. Pour la deuxième fois de la soirée, mon petit trou accueillait une belle bite. Cela n'a pas duré longtemps et l'homme, à son tour m'a remplit le cul. Nous nous sommes relevés, j'ai fait un brin de toilette à un lavabo dans un coin, j'ai recoiffé mes cheveux d'une façon plus réglementaire et en prenant soin de cacher dans la masse ceux mouillés de sperme. Ils m'ont embrassés tous les quatre et je suis retournée dans le bureau accueillie par :

" C'était bien long, heureusement que je n'ai pas eu besoin de toi, c'était bon au moins ? "

Je me suis bien gardée de répondre et le reste de la nuit s'est écoulé paisiblement.

Je suis rentrée me coucher et je me suis réveillé vers 16h. J'avais droit à deux jours de repos et dans le train qui me ramenait chez moi, j'essayais de faire le point sur ce qui m'était arrivé ces trois nuits.

La mésentente avec mon mari, l'abstinence forcée m'avait poussée dans les bras de cet interne, qui avait mis à nu ma vraie nature, j'aimais le sexe, les hommes, la jouissance, et maintenant il me serait difficile de m'en passer. Je regrettais déjà de rentrer chez moi et de ne pas me rendre à la maternité ce soir.

Je suis arrivée chez moi, j'ai retrouvé ma famille, la routine habituelle, après le repas du soir, télé, puis couché. Mon mari m'a fait l'amour, il a joui tout de suite, me laissant encore une fois frustrée. Je n'arrivais pas à m'endormir, j'ai passé un tee-shirt long, et je suis descendue sur la terrasse du jardin.

La nuit était belle, il faisait chaud, mon attention a été attirée par un bruit sur la terrasse à côté, c'était le voisin qui comme moi prenait le frais. Je le connaissais un peu, on a commencé à discuter, il était seul sa femme étant partie une semaine en vacances. Il a commencé à plaisanter, je riais, on faisait du bruit, je lui ai dit :

" Approches toi on va réveiller tout le monde "

Il a enjambé la haie qui séparait les deux jardins, on a continué à rire, en secouant la tête, j'ai fait tomber la barrette qui retenait mes cheveux. Je me suis baissée et ai commencé à la chercher dans le noir. Je me suis soudainement rendu compte que dans cette position, mon tee-shirt ne cachait plus ma chatte et mes fesses et qu'il devait avoir une vue imprenable sur mon anatomie. J'ai continué à chercher en écartant légèrement les jambes, je sentais une douce chaleur au creux de mes reins et l'excitation me gagnait. Évidemment ses mains ont agrippé mes hanches, j'ai senti sa bite contre mes fesses, j'ai posé mes mains contre le mur, j'ai écarté les cuisses en grand, je me suis cambrée, il n 'a eu qu'à pousser pour s'enfoncer dans ma chatte. On a baisé en silence, il me labourait la moule en cadence, lentement mon plaisir est monté, et quand il a éjaculé dans ma chatte, j'ai faillit crier tellement mon orgasme était fort. Nous nous sommes relevés il voulait continuer à me caresser, mais je lui ai dit que je devais rentrer et nous avons pris rendez-vous le lendemain à la même heure.

La journée s'est passée normalement, le soir mon mari a voulu faire l'amour, il a été plus long que d'habitude, j'étais impatiente que cela finisse et quand il a joui, je suis allée me laver et je suis descendu dans le jardin sans attendre qu'il se soit endormi.

Le voisin m'attendait, dès qu'il m'a vue il a franchi la haie, on s'est mis dans l'ombre du pignon et j'avais envie de le sucer. J'ai dégrafé son pantalon, j'ai pris sa bite dans ma bouche. Ca m'excitais de sucer cet homme à quelques mères de mon mari qui se doutait de rien.

Au bout de quelques minutes, la fenêtre de la chambre s'est ouverte mon mari a appelé :

" Muriel qu'est ce que tu fais "

" Je fais l'amour avec le voisin bien sûr "

" Pffffffff " et il a refermé la fenêtre

Alors j'ai continué à sucer jusqu'à ce qu'il crache sont foutre dans ma bouche, j'ai avalé, j'ai continué à sucer jusqu'à ce qu'il redevienne dur. Puis je me suis mise à quatre pattes, je me suis faite baiser, enculer, dans mon propre jardin jusqu'à ce que l'homme éprouve un deuxième orgasme.

Nous nous sommes séparés en nous promettant de recommencer à mon prochain retour de Marseille.

Le lendemain je reprenais le train j'étais de service ce soir, que me réservait la nuit

À suivre

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