C'est allé trop loin - serie 1
Mais comment avais-je pu me retrouver là dans cette chambre d'hôtel de luxe à attendre caché dans cette penderie que ma femme rentre avec un autre homme ... comment ?...
Je savais au fond de moi que Sophie, ma femme, n'aurais jamais dû rester dans ce travail de secrétaire à la manque ; la seule fois que j'ai vu son patron : je l'ai détesté : il avait tout l'air du mec qui se faisait sa secrétaire , un rustre sur de lui et de sa quarantaine et surtout hautain. Il ne cessait, et je le pré-sentais, de mater ma femme qui le soir m'en parlait dans une confusion étrange ne sachant plus si elle devait rester à ce poste qui payait si bien. C'est pour ces raisons que lorsque sa femme convaincue de ses multiples aventures nous proposa de le coincer nous ne fûmes pas surpris ma femme et moi : elle voulait lui faire payer son humiliation de femme bafouée et ainsi lui ôter tout l'argent dont il bénéficiait depuis son mariage. Devant cette demande plus qu'incongrue et plus qu'inhabituelle nous refusâmes vivement de lui tendre ce piège où ma femme serait l'appât. Elle fut désolée mais pour nous c'était trop vicieux de mettre en scène ce pseudo adultère.
Deux semaines passèrent et ma femme me faisait toujours état des regards de son boss de ses allusions et de ses mains baladeuses sur les jupes droites (ma foi assez moulantes mais bcbg), selon elle il semblait apprécier au plus haut point ses fesses moulées par ses jupes ou ses robes et c'est vrai qu'elle aimait en porter le plus souvent bien moulantes et droites pour mon plaisir mais aussi pour mon tourment car jaloux je ne supportais pas le regard des autres sur elle, et c'est sans doute ce sentiment qui me poussa à finalement accepter de tendre un piège à ce porc qui continuait maintenant avec plus encore d'insistance à courtiser ma femme la sachant mariée.
C'est ainsi que je me retrouvais dans cette penderie avec la femme du patron de ma femme et ce par la complicité du groom, dans la chambre que réservait habituellement Darmon (le nom de ce fumier) pour concrétiser ses aventures. En effet après avoir contacté sa femme nous avions convenu du plan suivant : Sophie devait simplement accepter ses avances et se laisser emmener sur le lieu de l'adultère et là sa femme le surprendrait ... rien de plus simple. La première phase se passa sans d'accro : du moins je crois : ma femme avait un soir, en restant plus tard, fait le nécessaire et obtenu ce rendez-vous à l'hôtel pour le lendemain soir. En arrivant à la maison elle était nerveuse sans doute à la pensée du lendemain. En tout cas elle avait les larmes aux yeux et sans doute avait-elle pleuré un peu sur sa robe noire qui semblait sale sur sa poitrine... enfin elle ne dit rien et partit se laver. La nuit passa.
Et me voici la dans cette penderie au coté de cette bourgeoise de quarante ans environ un peu coincée dans son style bcbg tailleur à l'affût des infidélités de son mari.
18h00 la porte de la chambre s'ouvre et c'est ma femme qui entre la première elle est en mini robe noire mi-cuisses assez moulante la même qu'hier, elle a des talons ! alors qu'elle n'en porte jamais... Elle pose son sac sur le lit et reste debout face à la fenêtre sans un mot -elle sait que je suis là quelque part caché- - Je suis très content que tu sois ici, petite salope je savais que tu en voudrais toi aussi, vous aimez toute ça : une bonne grosse bite ! Il souriait de cette vérité toute personnelle. J'enrageais dans mon coin fulminant des propos qu'il osait tenir à ma femme, qui quasi-stoïque se retourna le regardant : - Tu vas en avoir plus qu'hier ma jolie, cette fois tu vas pouvoir crier ! hé ! hé ! Que voulait il dire par : hier !.. Peu importe, je connais Sophie, l'attitude de ce macho ridicule devait la dégoûter ou au pire la faire rire. Elle regardait le sol en ajustant sa robe noire décidément trop moulante qui sculptait et soulignait gracieusement sa cambrure et ses fesses si bien faîtes. Darmon continuait à parler en marchant, se plaçant derrière elle... SOUDAIN il l'a poussa violemment dans le dos sur le lit la colla ventre contre les draps et à genoux au-dessus de son dos ses genoux coinçant ses bras il se mit à défaire prestement sa ceinture tandis que ma femme criait de surprise et d'effroi : il disait alors à haute voix : - Fini de rigoler salope ...je vais te donner ce que tu es venue chercher... je vais te DEFONCER ton joli cul de pute...AAAAHHH ! AH ! AH ! Chacune de ses phrases entrecoupées par son souffle rauque presque craché. - Dans la bouche hier, salope, et dans le cul ce soir, Oh putain tu vas me sentir passer toi ! Depuis le temps que j'ai envie de me faire tes jolies fesses ! Je vais pas te rater...
J'étais au bord de l'évanouissement, j'étais dans une rage sourde folle prêt à sortir de la penderie comme un diable de sa boîte quand la poigne ferme de la femme de Darmon me retint avec une force surprenante et me regardant avec un regard rempli de colère, elle mit son doigt sur sa bouche et me fit : - Shuttt !!! Sa deuxième main s'infiltrant avec prestance dans mon pantalon et se saisissant de mon sexe qui, j'en pris alors conscience, était dressé : elle me décalotta sans ménagement et me branla sans science aucune, mais lentement. J'étais décontenancé, je ne savais plus quoi faire ni quoi dire : que se passait il exactement ! Mais bon dieu qu'est ce qui se passait ! Etait-ce moi au cour de cette situation des plus perverses ! Pourquoi ne suis-je pas en train d'ôter la main inexperte de cette salope de mon slip et ne suis-je pas en train de courir enlever cet obsédé sur le dos de ma femme alors qu'il s'apprête à la violer. Je ne sais pas : toujours est il que je suis là tétanisé et voyeur...
Je jetai un regard dans la pièce par les persiennes de la penderie : ma femme sur le ventre lâchait des râles (que j'identifiais à de la douleur !) en cadence, les jambes écartées et la robe retroussée aux hanches, ce salop la défonçant à grands coups de reins, à moitié couché sur elle, ahanant comme un bouf à chacun des coups qui le faisait pénétrer avec force l'intimité de ma femme qui, s'étant dégagé un bras, s'accrochait à un barreau du lit pour mieux supporter les coups de butoirs que lui infligeait son patron triomphant, la traitant de pute ,de garce... Cependant ses coups de reins étaient fluides et il s'appliquait tenant les hanches de ma femme et giflant ses fesses par intermittence. - Al.. alors ..salope c'est mieux... qu'avec ton connard de mari... hein salope ... ? hein salope ... répond salope ! Le lit grinçait un peu sous les mouvements réguliers et puissants de Darmon qui se régalait dans un sourire malsain mais on put entendre dans un souffle Sophie dire : - Oui.. - .. Comment salope ! Tu préfères que je te défonce ! Oui ou merde ! Dit-il dans un souffle, la bave aux lèvres tel un démon toujours acharné à défoncer ma femme qui, à ma surprise, renouvela sa réponse mais cette fois ci plus audiblement : - Oui ... Oui ! La tête quasi enfouie dans les draps elle subissait les assauts de ce dément à l'endurance exemplaire, peut-être était-ce pour abréger ses souffrances qu'elle abdiquait ainsi ? - Oh putain tu vas t'en souvenir de ma bite toi !!.... T'es trop une salope, t'es le genre à aimer la bite toi ! j'te défoncerais ta chatte pendant des jours...et j'ai l'impression que tu adorerais ça !! hein ?! Dit il se redressant. Il lui défonçait donc la chatte et elle était dans un tel état !! - Tu vas te rappeler de moi salope ! - Prépare tes fesses salope je vais te visiter à fond... je vais te donner ce dont tu rêves et que ton petit mari n'ose pas te faire...
J'enrageais tandis que la main maladroite de ma voisine fut soudain remplacé par sa bouche : Elle venait de se mettre à genoux et baissant sans ménagement mon pantalon, sa bouche engloutit alors mon sexe tendu qui butta de suite au fond de sa bouche de bourgeoise maladroite, je compris alors que son mari cherche le plaisir ailleurs, mais sa maladresse et ses dents sur mon sexe me plurent, j'allais de surprise en surprise concernant mes propres goûts et mes perversions, de sa main elle tirait sur la peau de mon sexe de manière exagéré et cette douleur me plaisait et la brûlure procurée était atténuée par sa salive et ses succions maladroites : sa fellation était maladroite mais me plaisait. Je regardais malgré tout à travers les persiennes le sort de ma femme.
A genoux au-dessus de ma femme couché sur le ventre et plus particulièrement au-dessus de ses fesses il pérorait sa bite à la main, une bite ma foi bien grosse et longue, en tout cas plus grosse que la mienne. - Allez salope redresse ton joli cul que je te le défonce... Et à ma grande surprise je vis ma femme se cambrer ! Lentement elle releva son cul en direction des hanches de Darmon qui lui ne semblait pas surpris et gifla ces fesses qui se tendaient vers lui : offertes !. J'étais estomaqué !que lui arrivait-elle ! Ma femme en demandait encore ! Et dans le cul qui plus est ! La rage me faisait sans m'en rendre compte donner des coups de reins dans la bouche de la femme de Darmon qui s'appliquait derechef. - ... Prends-moi ... C'était la voix presque inaudible de ma femme qui suppliait que cet étalon la prenne par le cul. - Oui je vais te prendre salope , je vais te prendre dans l'anus, ton petit trou qui palpite... Et doucement il se pencha et conduisit son sexe dans le petit orifice anal de ma femme qui se tordit de douleur, pliant une jambe qui vint toucher les fesses de Darmon ; elle faisait une grimace de plaisir en écartant elle-même ses fesses pour faciliter l'intromission de la grosse verge de Darmon qui en tirait un grand plaisir sadique. - Voilà.. voilà : on y est je suis presque tout entier dans tes fesses petite pute, tu es vachement étroite... j'adore. Il se couchait lentement sur elle durant l'intromission, tandis que ma femme grimaçante tentait vainement de redresser son buste s'aidant de ses deux bras, elle redressa alors la tête les yeux fermés la bouche ouverte, il venait de rentrer totalement et commençait lentement son va et vient qu'elle semblait apprécier... Il plaça sa main sur le visage de Sophie et introduisit son index assez gros dans sa bouche encore ouverte : elle le suça de suite en se mettant à râler subissant maintenant les coups de reins de Darmon qui s'appliquait à la tache : il tentait à chaque coup de rein d'aller le plus loin possible...son sexe devait sans doute déformer le sphincter de ma femme qui gémissait sans discontinuer tirant les draps lentement mais avec force, quand je remarquais qu'elle allait avec ses reins au devant des coups de reins de Darmon, faisant elle-même taper ses fesses aux couilles de cet homme qui visiblement n'attendait que ça de ma femme maintenant totalement offerte : - Je le savais : tu adores ça salope... - Oui ; répondit-elle dans un souffle sans aucune hésitation. - Tu aimes quoi salope ? - Ta bite... ta grosse bite qui me fouraille
Ils parlaient tout en baisant devant mes yeux écarquillés de surprise et de découverte concernant ma gentille femme qui se révélait être une véritable salope comme ne cessait de le dire Darmon son boss. " Votre femme fait très bien sa part de travail monsieur D... , je crois qu'elle apprécie les atours de mon mari. " me susurra la vieille carne. - Tu la voulais depuis le premier jour... hein ? ; dit il en lui léchant l'épaule tout en lui assénant un coup de rein brutal - Oui... le tout premier jour... - Salope je sens que je vais me vider dans ton cul... Se saisissant alors de chacune de ses fesses avec ses mains (déformant ainsi ses fesses qui s'adaptèrent à ses mains puissantes ) il se mit à la pistonner sans vergogne dans un souffle rauque, il lui défonçait littéralement l'anus, ce qui semblait satisfaire ma femme qui il me semble minaudait des " plus fort...plus fort.. " .Encore deux coups de queue et il se redressa et dans un bruit de succion assez surprenant il sortit son sexe de l'anus de ma femme, sexe qui giclait de sperme en de longs jets par intermittentes souillant les fesses de Sophie et sa robe noire maculée maintenant de sperme blanc laiteux. - T'es vraiment une belle salope, je le savais rien qu'en te regardant remuer du croupion dans tes jupettes moulantes et tes robes près du corps, je savais que tu aimais la bite et que tu voulais goûter à la mienne pas vrai ? - Oui...c'est vrai...(sa voix était presque éteinte) - Allez, retourne-toi et suce-moi bien comme au bureau hier... Il plaça au-dessus de ses seins et Sophie de façon très experte prit les bourses et la bite dans chacune de ses deux mains et redressant sa tête elle fit une franche et magnifique fellation à son patron alternant la vitesse à l'application et le regardant pendant qu'elle le masturbait aussi d'une de ses mains, je voyais le sexe énorme de son patron déformer ses joues que je croyais si chastes et vertueuses, je la voyais donner volontairement des coups de langue et de cou pour activer cette fellation et le plaisir de son baiseur qui la regardant caressa ses cheveux la forçant tantôt à plus encore enfoncer son pieu de chair au fond de sa gorge : Il ne tarda pas à éjaculer de nouveau mais cette fois ci dans la bouche de ma femme qui tint absolument à garder son sexe dans la bouche pour sentir les décharges sur son palais, très peu de sperme coula des commissures de ses lèvres tandis que des larmes perlaient sur ses joues : elle dut avaler le reste : la salope.
Il sortit de sur elle et se rhabillant il la regardait alanguie sur le lit maculé de foutre et lui dit : - Je te casserais le cul au bureau dorénavant, je suis sûr que tu aimes les petits coins de mur et te faire prendre debout comme une pute ... ta jupe droite à peine retroussée... hein ?! bon j'y vais sinon je vais t'en mettre encore un coup... Ma femme sourit sans rien dire. J'en étais sur le cul : ma femme : une véritable salope ! Et moi alors, mon sexe ne bandait déjà plus et cette femme à genoux l'avait délaissé pour voir la fin des ébats de son mari avec ma femme, elle se leva et, quand son mari fut parti, elle sortit de la buanderie et sortit de la chambre, laissant la porte de la buanderie ouverte me dévoilant pantalon baissé à ma femme encore couchée sur le lit, elle qui me regardait la tête baissée avec ce regard que je ne connaissais pas ou plus... Au bout d'un silence qui sembla une éternité elle me dit doucement tout en baissant sa robe toujours moulante mais maculée de sperme de Darmon : - ... Sortons d'ici ... |