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Je viens de pousser la lourde porte en bois massif style Empire et je débouche sur le cours Victor HUGO. C'est 19h et une légère brise s'insinue sous ma robe, rafraîchie mes jambes et fait frissonner mes bras nus en cette fin de printemps.

Je marche rapidement à l'ombre des platanes vers la station de bus, comme une bonne mère de famille qui après une journée de travail va rejoindre son mari et ses deux filles de 15 et 12 ans.

Je m'appelle Sophie, J'ai 35 ans je suis belle, de longs cheveux noirs, un teint halé naturellement, de beaux seins bien fermes malgré mes deux grossesses et l'allaitement de mes enfants. J'ai fait de la course de demi-fond et mes fesses sont musclées sans une once de cellulite ni de graisse, d'ailleurs je continue à m'entraîner un peu de temps en temps. Je marche et dans ce quartier cosmopolite de Bordeaux, les hommes me regardent passer, avec mon air sage et pressé, ma tenue stricte, mon grand sac Vuiton en bandoulière et personne n'ose m'aborder franchement même si quelque fois certains osent des réflexions..

Voilà bientôt un an que j'emprunte cet itinéraire et je dois alimenter leurs rêves les soirs où ils veulent s'évader de leur quotidien difficile, et de la monotonie des jours qui passent.

Ce qu'ils ne savent pas, c'est que 10 minutes plus tôt j'étais en train de me faire enculer par Mr A...... directeur de la société A ......& K....... import/export, société dans laquelle je travaille comme secrétaire de direction, ayant compétence dans tous les domaines et en particulier dans celui du cul.

Quand ce n'est pas Mr A…... qui m'encule , c'est Mr K…....... qui me baise ou les deux à la fois, ou je leur taille des pipes.

Pourquoi moi, bourgeoise des quartiers sud, femme aimante et aimée d'un cadre dans l'informatique de pointe à Luminy, habitant un grand appartement confortable Bd Michelet, ayant reçu une éducation des plus stricte, je me débauche ainsi en secret et en cachette de tous ceux que j'aime ?

Je dois faire un retour en arrière pour me rappeler comment cela a commencé, je me revois dans ce train, quittant la gare de Florence assise face à mon mari, nos deux enfants près de la fenêtre, en train de regarder le paysage de la campagne Toscane.

Le compartiment était presque vide, Philippe mon mari, regardait par la vitre avec les filles et répondait à la quantité de questions que posaient les enfants sur tout ce qu'elles voyaient. J'ai tourné la tête et j'ai vu le regard de cet homme, assis deux rangées plus loin face à moi, je ne me souviens que de ce regard expressif, pénétrant, posé sur mes cuisses légèrement écartées. Je portais une simple robe blanche assez courte, et quand je ne faisais pas attention, elle remontait jusqu'à mi-cuisses, pouvant même comme c'était le cas, si je ne serrais pas les jambes dévoiler la tache blanche de ma culotte, entre mes jambes bronzées. J'ai aussitôt resserré mes jambes et rabattu ma robe le plus possible en me tournant vers la fenêtre.

Quelques instants plus tard je tournais à nouveau le regard vers cet homme, il a pris un air désolé me montrant mes jambes et me faisant comprendre ses regrets de ne plus pouvoir admirer mes dessous. C'était tellement imprévu, tellement incongru, que j'ai failli sourire avant de me retourner à nouveau vers la fenêtre.

Pas longtemps, je l'ai à nouveau regardé et il m'a fait les même gestes, prenant un air encore plus désolé, alors dans une pulsion incontrôlée, j'ai pivoté légèrement sur mon siège pour être face à lui et j'ai écarté légèrement mes jambes. Il m'a adressé un grand sourire, portant ses doigts à sa bouche comme le font les méditerranéens pour montrer leur enthousiasme, et nous avons commencé un jeu de plus en plus érotique, de plus en plus pervers en ce qui me concernaient car je jouais en cachette de mon mari assis en face de moi et qui ne se doutait de rien.

Je serrais mes cuisses ou les écartais en grand, allant même jusqu'à soulever ma robe pour me ventiler et dévoilant ainsi la totalité de ma petite culotte. L'homme ne perdait rien du spectacle, se penchant par moment pour avoir une meilleure vue de mes dessous, me faisant comprendre, en posant la main sur sa braguette que je le faisais bander. Je me prenais de plus en plus au jeu, j'ai essayé sans succès de faire glisser ma culotte sur le côté pour lui montrer mon sillon, qui se mouillait de plus en plus car j'étais gagnée par une excitation de plus en plus forte.

L'homme s'est levé, m'a fait signe de le suivre, et est sorti du compartiment. Je suis restée figée sur mon siège, ne comprenant pas, ce qu'il voulait. Voyant que je ne l'avais pas suivi, il est revenu à nouveau et m'a fait un signe impératif de le suivre. Je me suis levée et je l'ai rejoint, il m'attendait sur la plate-forme et quand je suis arrivée près de lui, il m'a entraînée dans les wc et a refermé la porte sur nous.

Il m'a plaquée contre la paroi et immédiatement, il a soulevé ma robe, écarté ma culotte et planté sa bite dans la chatte que notre petit jeu précédent avait bien lubrifiée. Il a commencé à me limer violemment tandis que ses mains pétrissaient mes seins et qu'il me murmurait à l'oreille :

Que tu es belle ma salope, belle comme l'amour......!!!! "

Notre étreinte a duré deux trois minutes, Il a joui en moi, longuement, il n'en finissait plus de remplir mon sexe, tandis que des spasmes de jouissances faisaient trembler mon corps et m'obligeaient à me mordre les lèvres pour ne pas hurler mon plaisir. Jamais je n'avais éprouvé un tel plaisir sauvage, un orgasme si profond, je découvrais le monde du plaisir trouble et de l'interdit, le hasard m'avait entraînée sur une pente qui allait m'entraîner de plus en plus loin et qui allait dévoiler ma vrai nature que les règles sociales et mon éducation avaient jusqu'à maintenant bridée.

J'ai éprouvé un déchirement quand sa queue a glissé hors de ma fente, il a ouvert la porte et nous nous sommes séparés. J'ai rejoint aussitôt ma place, Philippe n'a pas eu l'air étonné par ma courte absence.

Petit à petit, les parois de mon vagin se resserraient et je sentais le sperme couler hors de ma chatte sur mes cuisses et dans ma culotte.

Le train est entré en gare de Pise notre destination, je me suis levée pour descendre, quand Philippe m'a dit :

" Tu as vu ta robe derrière elle est toute mouillée "

Heureusement que je lui tournais le dos et qu'il n'a pas vu mon visage rougir :

"C'est tout à l'heure au wc, j'ai perdu l'équilibre et j'ai appuyé mes fesses sur le lavabo, mouillé, avec la chaleur ça va sécher de suite. "

Nous avons récupéré notre voiture sur le parking de la gare et avons rejoint notre hôtel à dix minutes dans la campagne Pisane, pas très loin de l'Arno.

Nous avons pris un bain dans la piscine puis après nous être changés, nous sommes allés dîner.

J'ai commencé à regarder les hommes autour de moi, les regards furtifs de ceux qui étaient accompagnés ceux plus insistant des hommes sans femmes, et surtout le zèle empressé du sous directeur toujours près à me rendre service. Jusqu'à ce jour je n'avais pas prêté attention à cela mais je venais de m'apercevoir que j'étais la plus belle femme dans la salle, que ces hommes me désiraient. Je sentais des picotements dans mon bas ventre tandis que des bouffées de chaleur envahissaient mon visage.

Nous sommes allés nous coucher, Philippe m'a fait l'amour, tendrement, avec délicatesse, attentif à mes réactions, il m'a fait éprouver du plaisir, mais rien de comparable à mon orgasme de l'après midi, et tandis qu'il s'endormait, je me suis mis à envisager de peut-être essayer à nouveau de me faire prendre par un autre homme.

Le lendemain la chaleur avait augmenté encore de quelques degrés, et nous avons jugé plus agréable de rester à l'hôtel. Philippe a amené les enfants se baigner dans la piscine, tandis que pour éviter le soleil je restais dans l'ombre fraîche des arcades ceinturant la façade principale de l'hôtel.

Je n'y étais que depuis quelques instants que le sous directeur m'aborda et commença à me débiter des banalités genre :

" Il fait chaud, l'hôtel vous convient ? N'hésitez pas à me demander si vous avez un problème ..... "

Ce n'était pas la première fois que cet homme m'abordait et j'avais jusqu'à maintenant coupé court à la conversation, mais maintenant je regardais cet homme, d'un autre œil, je savais qu'il me désirait, je me demandais s'il pourrait me faire jouir, comme la veille. Il devait avoir dans les quarante ans et était assez bel homme, j'appréciais sa gentillesse même si je savais qu'elle était intéressée.

Alors que je pensais à tout cela il commença à me parler du confort des chambres des modifications à apporter et me proposa d'aller voir une des chambres qui venait d'être rénovée. Je jetais un œil sur Philippe et les enfants très occupés dans la piscine, et j'emboîtais le pas de mon guide. Il m'a fait entrer dans la chambre, m'a montré les changements, importants certes mais qui ne demandaient pas des heures de visite. Comme nous allions sortir, il m'a dit:

 " Essayez la literie, vous allez voir, ces nouveaux matelas sont exceptionnels. "

Je me suis allongée sur le dos, il s'est assis à côté de moi et sans préambule, il a mis sa main dans le bas de mon maillot. Je ne portais qu'un maillot deux pièces et un tee-shirt. Bien sûr je l'ai laissé faire, c'est pour ça que je l'avais suivi et il le savait. Il n'a eu aucun mal à enfoncer ses doigts dans ma pêche juteuse tellement l'idée de cet homme me baisant m'avait excitée. Il m'a retiré le bas du maillot remonté le tee-shirt, et dégrafé le haut. Il a pris mes seins à pleines mains, et s'est penché pour en sucer les pointes, j'ai mis ma main à sa braguette pour sentir son sexe en érection dans son pantalon, geste que je n'aurais jamais osé tenter 24h plus tôt. J'ai baissé sa fermeture éclair mis la main dans son slip et pris le membre dans ma main. Il a basculé sur moi, je n'avais pas lâché sa queue et je l'ai présentée contre mes grandes lèvres gonflées de désir et il n'a eu qu'à pousser pour les écarter et s'enfoncer dans ma minette. Comme la veille j'ai éprouvé un orgasme complet au bout de deux minutes Il n'avait pas joui, il continuait à me pilonner, alors des mots sont sortis de ma bouche, mots que je n'avais jamais dits à personne et qui me sont venus naturellement :

" Plus vite, plus fort, fais-moi jouir encore, enfonce bien ta pine dans mon trou, gicle sur moi, c'est trop bon, défonce-moi comme une bête, je suis une belle salope que tu te régales à fourrer avec ton gros sexe, je te plais, je t'excite .....Vas y vas y.... ! ! ! "

Tandis qu'il me murmurait à l'oreille des obscénités en Italien que je ne comprenais pas, il a éjaculé dans mon minou, provoquant un nouvel orgasme, le deuxième en cinq minutes.

J'aurais bien continué à me faire prendre par cet homme, mais il m'a fait comprendre, qu'il devait reprendre son service. Je suis allée me rincer dans la salle de bain et j'ai rejoint ma famille au bord de la piscine.

Ils n'avaient pas remarqué mon absence et la journée s'est terminée par des jeux et beaucoup de bonne humeur.

Le soir dans la salle de restaurant, il était là toujours empressé mais rien dans son comportement, n'aurait pu faire deviner ce qui s'était passé l'après midi. Plus tard dans la chambre, j'étais allongée sur le ventre et Philippe sur moi, sa bite dans ma minette, les mains sur mes seins m'embrassait la nuque. Je ne pouvais m'empêcher de penser à ma partie de jambes en l'air de l'après midi et pris d'une subite impulsion je lui demandais :

" Chéri et si je te trompais, que dirais tu ? "

Mon mari rit :

" Mais Sophie j'ai entièrement confiance en toi, je te connais s'est impossible "

" Et si cela arrivait quand même ? "

" ........je ne peux l'envisager, tu es très belle et les hommes te regardent, mais tu es fidèle, et tu ne te laisseras pas tenter "

Je ne dis plus rien et les yeux fermés je revivais mes deux aventures précédentes ce qui eu pour effet d'accroître mon plaisir et de me faire jouir presque aussitôt, complètement, délicieusement, charnellement, avec un long feulement à la grande surprise et à au grand plaisir de mon mari qui ne m'avait encore jamais fait jouir de cette façon.

Le lendemain et le surlendemain, nous avons visité Sienne, j'avais remis ma robe blanche avec un string, et j'essayais de saisir le regard des hommes, posé sur mes fesses moulées dans le fin tissu.

A l'hôtel le sous-directeur avait tenté des rapprochements mais nous n'avions jamais pu nous retrouver seuls. Le dernier soir après le repas, nous avions lié conversation avec un autre couple. Les filles étaient fatiguées et voulaient aller se coucher, Philippe les accompagna dans leur chambre tandis que je restais dans la salle dix minutes de plus pour indiquer à nos nouvelles connaissances les visites intéressantes à faire. Dans le couloir menant à la chambre, le sous-directeur m'attendait. Quand je suis arrivée près de lui, il a ouvert une porte, m'a pris par la main et m'a entraînée dans une petite pièce qui devait être la lingerie. Il a refermé la porte, s'est pressé contre moi, ses mains se sont posées sur mon corps, je le sentais trembler d'excitation, il me parlait en Italien et je ne comprenais rien. Il m'a fait tourner, et pencher en avant appuyée sur une pile de draps, il a remonté lentement la longue robe noire que je portais, il a baissé ma culotte de la même couleur, et s'est penché pour embrasser mes fesses, il s'est redressé, a fait glisser les bretelles de ma robe, et dégager mes seins de leur soutien-gorge. Il les à pris à pleines mains, les serrant entre ses doigts et la paume de la main, puis a délicatement pincé les tétons jusqu'à ce qu'ils atteignent une érection maximum.

Pendant ce temps je sentais sa pine se presser contre mes fesses à travers le tissu du pantalon, ma chatte se mouillait et s'ouvrait, attendant le moment où accueillante elle recevrait le membre de l'homme en rut. Cela ne tarda pas relâchant mon sein droit, l'homme abaissa son pantalon et son slip, mis son sexe entre mes cuisses et l'enfonça sans difficultés. Sa bite entrait et sortait par à coups de ma chatte, tandis qu'il me maintenait fermement par les hanches. Mes seins libres se balançaient au rythme du manche qui me tringlait en cadence.

J'avais été fidèle pendant 8 ans et je trompais mon mari pour la troisième fois en moins d'une semaine avec un plaisir et une jouissance que je n'avais jamais atteint jusque là. Pendant que cet inconnu me baisait et que l'orgasme montait dans le creux de mes reins je prenais lentement conscience que ma vie changeait et que le sexe allait en devenir le centre d'intérêt principal. J'ai joui et cet homme, a envoyé sa semence en moi, au fond du jardin le plus secret de mon être, et j'ai aimé, j'ai gémit quand le liquide s'est répandu en moi, en une douce caresse humide et chaude, j'étais comblée. Nous nous sommes désaccouplés en douceur, je me suis redressée, j'ai remonté ma culotte, réajusté, mon soutien-gorge et ma robe. L'homme m'a pris dans ses bras, sa bouche s'est posée sur la mienne, mais je me suis dégagée en lui faisant comprendre que mon mari m'attendait. Je suis sortie du local et j'ai rejoint notre chambre. Philippe était déjà au lit, il m'attendait nu sur les draps :

" Tu as été bien longue, "

" Oui, ils m'ont demandé tout un tas de renseignements, j'ai cru que je ne pourrai pas m'en débarrasser "

" Viens vite J'ai envie de te faire l'amour "

" J'arrive "

Je suis rentrée dans la salle de bain, j'ai enlevé ma robe et ma culotte collante de foutre, j'ai passé mes doigts sur ma chatte pour récupérer le jus de mon amant occasionnel, mon petit trou en était plein. J'ai léché mes doigts pour goûter la saveur de cette liqueur puis je suis entrée dans la douche et j'ai lavé mon minou, dirigeant le jet à l'intérieur pour éliminer toute trace de sperme. J'ai ensuite rejoint Philippe, il était allongé sur le dos nu, sa queue dressée verticalement comme un pieu entre ses jambes. Je l'ai enjambé et me suis empalée sur ce piquet, ma chatte avait été bien préparée et a englouti la bite sans difficultés. Nous avons fait l'amour, Philippe me prodiguant caresses et baisers sans se douter un seul instant qu'un autre homme l'avait précédé quelques instants auparavant.

Le lendemain, nous avons fait les bagages, Philippe m'a demandé d'aller payer et accomplir les formalités de départ, pendant qu'il préparait la voiture. Je suis allée à la réception j'ai réglé, en parcourant la note distraitement, quand le sous-directeur s'est approché, m'a pris la note des mains, la regardant en fronçant les sourcils.

" Je crois qu'il y a un problème venez dans mon bureau. "

Je l'ai suivi, à peine dans la pièce il m'a appuyée contre le bureau, et a tenté de m'enlever le short que je portais ce jour là. Je l'en ai empêché lui disant :

" Non ce n'est pas possible, mon mari m'attend, je suis pressée, et mes vêtements vont être froissés et salis, il va s'en apercevoir "

Alors l'homme, a pris ma tête entre ses mains, m'a embrassée sur la bouche, et m'a fait baisser, je suis tombée à genoux devant lui, il a ouvert sa braguette, sortit sa queue. Le gros membre était à la hauteur de mon visage, le gland décalotté a effleuré mes cheveux, ma joue, mes lèvres. J'ai donné de petits coups de langue sur le méat, l'homme a poussé sa queue entre mes lèvres et j'ai ouvert la bouche. Mes lèvres ont entouré le cylindre, ma langue s'est glissée contre la peau du sexe, à l'endroit le plus sensible, là où elle est attachée à la fève par une mince bande de chair, et je me suis mis à sucer. Je m'appliquais et me dépêchais, je pensais à mon mari qui m'attendait, j'aurais pu me lever et partir, mais j'avais envie, je voulais satisfaire les désirs de cet homme qui m'avait procuré tant de plaisir. De petites gouttes de sperme commençaient à se déposer sur ma langue, prémices du jaillissement imminent qui allait m'emplir la bouche. C'était la première fois, j'avais sucé mon mari, mais il n'éjaculait pas dans ma bouche, préférant se répandre dans sa main. Là je n'avais pas le choix, je ne pouvais pas laisser une giclée de sperme tâcher mon tee-shirt. Il a joui, j'ai gardé le sexe dans ma bouche, avalant au fur et à mesure le foutre qui se s'écoulait. Ca ne m'a pas déplu, j'ai même pris du plaisir à avaler les fruits de l'orgasme que j'avais provoqué. Après avoir léché les dernières gouttes, je me suis relevée, j'ai passé ma langue sur mes lèvres pour faire disparaître les traces de ma fellation, j'ai dit au revoir à mon bel Italien et j'ai rejoint mon mari dans la voiture.

Nous avons démarré, je ne disais rien, ma bouche était imprégnée du goût du foutre et mes narines de son odeur. Ces sensations m'ont poursuivie jusqu'à ce que l'on s'arrête prendre un café dans un relais autoroutier.

Nous sommes arrivés à Bordeaux tard dans la soirée, le surlendemain, Philippe a repris son travail, et la vie a repris un cours normal.

J'amenais un jour sur deux les enfants à la plage à Lacanau, nous avions obtenu une autorisation de passage avec la voiture, et nous allions dans une petite crique située sur la gauche de la calanque. En cette fin de mois d'août, la plage était fréquentée, et souvent je liais conversation avec les personnes présentes. Cette plage était fréquentée par un public familial et souvent je surprenais le regard furtif des hommes posés sur mes seins nus. Certains me draguaient ouvertement en cachette de leur épouse, mais rien ne se passait. Je rentrais le soir, excitée par le soleil, la mer et le désir des hommes, Philippe me faisait l'amour mais n'arrivait pas à satisfaire mes envies secrètes. Jusqu'au jour, où j'ai posé le pied sur un morceau de verre me faisant une légère entaille au talon. Un couple avec qui j'avais sympathisé voyant mon pied qui saignait affirma qu'il fallait impérativement me soigner. L'homme était infirmier, et proposa de me faire un pansement dans son cabanon, son épouse surveillant les enfants pendant mon absence. Je l'ai suivi, il m'a fait entrer dans la pièce principale. Et m'a fait poser le pied sur un banc. Pour ne pas perdre l'équilibre j'avais appuyé mes fesses sur le bord de la table.. La blessure était vraiment bénigne, mais l'homme prenait son temps, il en passait d'ailleurs plus à mater mon entrejambes qu'à s'occuper de ma plaie. Il faut dire que dans la position où j'étais, il avait une vue imprenable sur mon sillon, dont mon maillot mouillé et moulant en soulignait la ligne. Il a posé la main sur mon mollet en me demandant de me décontracter, je l'ai laissé faire, puis il a remonté sa main lentement jusqu'à mon genou, puis, sur ma cuisse. Il ne s'occupait plus du tout de mon pied. Sa main a continué sa lente progression, elle était tout prêt de ma chatte. Il a senti que j'étais consentante, alors il a posé son index sur mon sillon et a appuyé en suivant ma fente jusqu'au pubis, puis il a écarté mon maillot dévoilant ma minette. Son doigt a écarté les lèvres et s'est enfoncé dans ma grotte inondée, j'ai gémi. Il a commencé à me limer lentement, tandis que sa bouche, est venue se coller à ma chatte, lèvres contre lèvres. Sa langue titillait agréablement mon intimité, son doigt continuait à violer le fond de mon petit trou, j'adorais. Cet homme que je voyais depuis quelques jours sur la plage avec sa femme, qui me jetait des regards vicieux en coin, se révélait être un amant des plus acceptable. J'étais de plus en plus excitée, ma source coulait de plus en plus abondante, et l'homme aspirait le jus liquoreux qui sourdait en grandes quantités Ma moule avait atteint une ouverture impressionnante, l'homme n'arrivait plus à contrôler ses caresses, sa langue, son nez ses joues se frottaient à la margelle de mon puits. Et il m'a fait jouir, longuement quand il a emprisonné mon clitoris entre ses lèvres et l'a tété jusqu'à ce que je ne puisse plus supporter cette caresse et que je prenne la tête de l'homme à deux mains pour l'écarter. Alors il s'est relevé, il a abaissé son maillot et a planté sans difficulté sa pine dans mon con grand ouvert.  Tandis qu'il me baisait, je léchais son visage, nettoyant avec ma langue, les traces de mes sécrétions qui s'y étaient déposées, et caressant sa poitrine avec la pointe de mes seins. Il n'a pas eu le temps de me faire jouir une deuxième fois, dans un grognement, il a éjaculé, dans ma chatte et dans les poils de mon pubis et sur mon maillot.

Nous avons subitement repris pied dans la réalité, nous étions là depuis plus de vingt minutes et sa femme jetait des regards de plus en plus nombreux vers le cabanon.

J'ai retiré mon maillot pour le rincer et nous sommes retournés sur la plage. Nous avons été accueillis froidement par un :

" Hé bien ça a été bien long "

tandis que les filles pour arranger les choses sont venues en courant en disant :

" Maman où étais-tu ? Nous t'avons cherchée partout "

Deux jours plus tard quand nous sommes revenues à la plage, mon amant d'un jour m'évitait, tandis que son épouse me jetait des regards noirs, il avait du avouer son infidélité, et pour éviter tout incident, nous avons changé de crique...

Peu de temps après Philippe a été invité à aller à la pêche un week-end, par des amis qu'il voyait de temps en temps et m'a proposée de me joindre à eux, les enfants étant gardés par mes beaux-parents. J'ai accepté volontiers et nous avons rejoint Gérard et Thierry à Biscarosse où ils avaient une barque. L'après midi les trois hommes sont allés pêcher pendant que je les attendais sur la plage. Puis le soir nous sommes allés dîner dans un restaurant au bord de mer. Au fur et à mesure que la soirée s'avançait Gérard et Thierry détaillaient de plus en plus longuement mon anatomie, et je repérais souvent leurs regards brillants sur mes seins ou mes cuisses à peine cachées par ma robe d'été. Philippe comme d'habitude ne s'apercevait de rien. A la fin du repas nous sommes allés au camping où la tente de Gérard était installée. Elle n'était pas très grande et nous nous sommes couchés en rang d'oignons, sur un matelas mousse recouvert d'un drap. Gérard s'est couché contre la paroi de la tente et de ce fait je me suis retrouvée entre lui et Philippe tandis que Thierry s'allongeait de l'autre côté. Nous nous sommes déshabillés et en enlevant ma robe j'ai dévoilé ostensiblement mes seins à la vue des trois hommes avant de me glisser sous le drap commun. Philippe s'est endormi, je suis légèrement assoupie. J'entends remuer à côté de moi et soudain, deux mains se posent sur mes hanches tandis qu'un sexe bandé essaye de se glisser entre mes cuisses. Après deux secondes d'hésitation, j'écarte les jambes et essaye de me cambrer, pour faciliter le passage de la bite. Gérard a compris il se recule et tire mes hanches vers lui, son sexe est maintenant contre ma vulve, mais ma culotte crée encore un barrage infranchissable. Je mets ma main entre mes cuisses, j'écarte la culotte et je positionne la queue de façon à ce qu'elle me pénètre à la première poussée, ce qui ne se fait pas attendre, et mon chaton englouti le gros bâton tendu le mouillant pour qu'il glisse bien. Il est entré en moi complètement, Gérard commence de lents va et vient, pour éviter de faire du bruit et réveiller Philippe et Thierry. Je me mords les lèvres pour ne pas gémir, j'ai la tête contre l'épaule de mon mari, qui dort sans se douter que sa femme couchée à côté de lui se fait enfiler par son copain, qu'elle est en train de prendre son pied et que d'une main elle se branle le clitoris tandis que de l'autre elle caresse les couilles de l'étalon. Je suis vraiment grand ouverte, j'enfonce deux doigts dans ma moule entre le manche qui me ramone et mon bouton de rose, mon autre main effleure à peine les testicules de Gérard qui a l'air d'avoir du mal à se contenir. J'entends son souffle rauque, ses mains se crispent sur mes hanches, et je sens son foutre jaillir, mes doigts sont enveloppés par le liquide tiède, et je prends mon plaisir à mon tour en essayant de ne pas le manifester pour ne pas réveiller Philippe.

Je suis bien cet orgasme m'a décontractée, je sens toujours dans mon vagin la queue du copain, qui n'a pas l'air de vouloir abandonner la place, à ma grande satisfaction. Je somnole un moment jusqu'à ce que le membre grossisse et durcisse à nouveau dans ma chatte et que Gérard recommence à me baiser. Je me laisse faire, je passe mon bras par-dessus l'épaule de mon mari qui dort toujours à poings fermés, la pointe de mes seins s'appuient sur son dos, mes lèvres sont posées à la naissance de son cou. Je ne comprends pas ce que je fais, je risque de le réveiller pendant qu'un gros sexe me fourrage la chatte. Ce risque pourtant accroît mon excitation, je suis vraiment vicieuse ou salope, je remue le bassin pour montrer à Gérard que j'apprécie ce qu'il me fait et pour l'encourager. Puis à nouveau j'éprouve un orgasme, moins intense que le précédent, mais plus long, Gérard continue à me baiser, je savoure chaque instant de cette intrusion, je joue avec le membre, j'écarte ou je resserre les parois de mon vagin autour de la pine qui se libère de cette pression en relâchant à nouveau un flot de sperme dans mon réceptacle féminin. Gérard débande son sexe perd de son érection, mais il reste dans ma moule, et lentement je m'endors, mes fesses collées contre les cuisses de l'homme, relié à lui par ce piston autour duquel mon vagin s'est resserré.

Je suis réveillée par des frissons, les premières lueurs de l'aube éclairent la tente, je reprends conscience, le drap a glissé me dénudant complètement, la pine de Gérard est toujours plantée dans ma chatte, et il bande en dormant. Je m'aperçois avec soulagement que Philippe dort toujours, mais un léger bruit attire mon attention. Thierry est réveillé et n'a certainement rien perdu du spectacle de mon corps nu, empalé sur la bite de son ami. Je tire le drap sur moi, et je m'éloigne de Gérard. Sa queue sort de mon sexe dans un bruit de succion, et j'ai juste le temps de saisir une serviette pour éviter que le sperme emprisonné dans ma chatte, s'en échappe et s'étale sur la literie. Thierry me regarde toujours, mes yeux croisent les siens, et je devine un violent désir dans ce regard, je l'ai vraiment excité. Une montre sonne six heures, l'heure du départ à la pêche, Philippe et Gérard se réveillent, s'étirent, j'enfile un short et un tee-shirt pour déjeuner avec eux. Philippe secoue Thierry, qui ne se lève pas prétextant un violent mal de tête dus aux débauches de la veille et peu propice à la pratique de la chasse sous-marine. Je lui prépare un cachet, Philippe plaisante :

" Thierry, je te laisse à la garde de cette charmante infirmière, mais surtout pas de familiarité, elle est très prude et se choque facilement "

Gérard me regarde en coin, Thierry ne dit rien.

Les deux hommes finissent de préparer le matériel et partent au bateau. Il fait frais je rentre dans la tente, enlève mon tee-shirt et mon short, avant de me glisser sous les draps. Thierry n'a rien perdu du spectacle. Ma culotte se colle aux poils de mon pubis et je l'enlève aussi. Je suis couchée, je tourne le dos à Thierry, il ne se passe rien pendant quelques minutes, je me rassure, quand soudain j'entends :

" Sophie, approche-toi, "

" Non Thierry je suis bien installée je m'endors"

" Oui c'est vrai tu n'as pas beaucoup dormi cette nuit, tu es à poil, si tu savais comme je bande, tu veux pas voir ma grosse bite, elle ne demande qu'à t'enfiler comme celle de Gérard, il t'a fait jouir au moins "

" Thierry il m'a violé ce salaud, je n'ai pu rien faire "

Thierry se mit à rire et s'approcha de moi, il se glissa sous mon drap et posa ses mains sur ma poitrine.

" Ah tes nichons depuis vendredi, ils me fascinent tu es super bien roulée on va bien s'amuser tous les deux "

" Thierry laisse-moi s'il te plaît "

Il ne m'a pas écoutée, il a posé sa bouche sur ma poitrine me léchant les seins tandis que sa main s'est insinuée entre mes cuisses, il a enfoncé sans rencontrer de résistance un deux puis trois doigts dans ma moule. Il était trop grand, trop lourd pour que je puisse me débattre, et je savais depuis qu'il m'avait vu nue avec une bite dans la chatte que j'allais y passer, que c'était le prix à payer, et qu'en plus j'y trouverais mon compte. Sa bouche, quitte mes seins remonte le long de mon cou, ses lèvres se collent aux miennes, ma langue joue avec la sienne. Ses doigts remuent dans ma chatte, ils m'ouvre, il enfonce un quatrième doigt puis le pouce en dernier, je me dilate, je trempe sa main, ses doigts remuent en un mouvement circulaire, je suis écartelée mais j'ai l'impression que je pourrais m'ouvrir davantage. Sa bouche retourne sur mes seins, je glisse la main sous son corps, je cherche, je tâtonne et enfin je trouve sa queue, c'est vrai qu'il est gros, je le serre, je le branle. Sa bouche va d'un sein à l'autre, il me dévore, il grogne de plaisir, sa salive mouille mes nichons. Le plaisir arrive :

" Chéri, chéri continue, encore, plus vite.... je jouis, ahhh ..... C'est trop bon "

Je suis agitée de spasmes, mon bassin est atteint de soubresauts qui s'espacent au fur et à mesure que mon orgasme décroît.

" Tu as pris ton pied salope, tu vas me faire jouir avec tes miches "

Il a sorti sa main de ma chatte, il m'enjambe, son sexe repose entre mes seins, il est vraiment plus gros que tout ce que j'ai vu jusqu'à présent. Il se frotte à ma peau, il attrape mes cheveux et s'en sert pour se caresser, il bouge de plus en plus vite, sa queue glisse entre les mamelons vient heurter mon nez, je sors ma langue pour le lécher quand il passe sur ma bouche. Il gicle, le sperme se répand d'abord dans mes cheveux et au fur et à mesure que la pression diminue au coin de mon nez, sur ma bouche et mes joues, mon menton, et à la fin les dernières gouttes forment une flaque entre mes seins. Il se penche en avant, le voilà à quatre pattes, sa queue pend au dessus de ma bouche, j'ai compris, je glisse un coussin sous ma tête et j'embouche l'appendice viril. Je n'ai pas eu à le sucer longtemps pour qu'il se raidisse à nouveau, j'attrape le sexe à la base d'une main, je lui flatte les couilles de l'autre, ma bouche est pleine de son gland, des mèches de cheveux sont collées à mes joues il me parle il m'encourage :

" Suce, suce bien, je t'ai entendue cette nuit remuer je croyais que c'était ton mari qui te baisait, j'aurai jamais imaginé que tu te fasses niquer par d'autres hommes, avec tes airs de ne pas y toucher , je n'y aurais même pas pensé. En tout cas tu sais y faire, et tu aimes ça, Ohhhh!!! Salope ta bouche, tu fais pas semblant, attends je vais te le mettre. "

Il sort son sexe de ma bouche et se couche sur moi, il me pénètre , je suis tellement ouverte que je le sens à peine malgré sa taille, sa poitrine s'écrase contre la mienne, le sperme qui s'y était déposé s'étale entre nos deux corps en une caresse humide. Il ressort, il me retourne, il se met sur les genoux il écarte mes fesses, il, pose sa bouche entre les deux promontoires, je sens sa salive à l'entrée de mon anus. Il enfonce un doigt puis deux dans ma rondelle, je comprends il veux m'enculer, je suis vierge, mon mari n'a jamais essayé de défoncer mon cul. Ses doigts jouent dans mon derrière, j'ai peur mais en même temps je suis curieuse d'éprouver de nouvelles sensations dont j'ai entendu parler. Il continue à lubrifier mon anus avec sa salive tandis que ses doigts assouplissent ma pastille, je me détend, mes sphincters se relâchent, il doit me sentir prête car, il ressort ses doigts et présente son piolet à l'entrée de mon anus. Il s'allonge, il est lourd, sous le poids de son corps la bite pénètre dans mes entrailles, et mon cul n'a pas opposé trop de résistance, je viens de me faire enculer pour la première fois. Il remue dans mon cul, j'éprouve une sensation bizarre, ce n'est pas encore du plaisir. Il est très excité, il me lèche et me mordille le cou, de temps en temps je tourne le tête pour que nos langues se caressent. Il a senti que je n'éprouvait pas vraiment du plaisir, alors il se retourne en me serre dans ses bras, je me retrouve couchée sur lui, sa bite toujours enfoncée dans le cul. Il m'écarte les jambes et me branle la chatte à deux mains, là c'est vraiment bon, je soulève légèrement mes fesses pour permettre à sa bite de me pistonner mon orifice anal. Notre plaisir arrive on s'encourage par onomatopées, je sens son foutre me remplir le trou du cul tandis que je jouis à perdre haleine. Ca y est il débande, je me soulève, son sexe sort de mon cul qui se resserre expulsant de l'air et du sperme. Je pose ma tête sur sa poitrine, je l'embrasse, il m'a comblée, il sent le sperme et la chatte, et je dois avoir la même odeur.

J'ai envie de rester, couchée contre lui, en attendant que notre désir revienne, et que l'on fasse encore l'amour. Ce n'est pas possible Philippe et Gérard vont rentrer de la pêche et on a juste le temps d'aller prendre une douche, et remettre de l'ordre. Il était temps, les pêcheurs sont revenus et nous avons décidé pour éviter les embouteillages de la soirée de rentrer immédiatement sur Bordeaux. J'étais à peine installée dans la voiture que je me suis endormie, ne me réveillant qu'à l'arrivée devant notre domicile, j'avais vraiment besoin de récupérer. La vie a repris son cours, Gérard et Thierry ont bien essayé de me revoir, mais je ne voulais pas entamer une relation adultère avec des copains de Philippe.

Les filles ont repris l'école début septembre, j'étais seule toute la journée, je m'ennuyais et c'est alors que j'ai décidé de mettre à profit mes connaissances en comptabilité et gestion pour trouver du travail.

 

 

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