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Anecdote

 

Nous en rions maintenant avec mon mari et c'est lui qui m'a conseillée de vous raconter cette petite anecdote qui, à l'époque m'a perturbée, mais aussi procurée beaucoup de plaisir. Même encore aujourd'hui, je ne peux l'évoquer sans ressentir un certain trouble. Trouble qui peut aller jusqu'à l'excitation violente qui m'oblige à me masturber ou à faire l'amour avec Alain.

Voilà comment les choses se sont passées. J'étais jeune mariée et je n'avais pas encore terminé mes études de médecine. J'avais rencontré Alain moins de deux ans auparavant, et nous étions tombés follement amoureux l'un de l'autre. Avec une douzaine de copains et de copines, nous avions loué un chalet à Morzine. La veille de notre départ, nous avions décidé de faire une grande fête. L'alcool coulait en abondance et l'ambiance était chaude. Les lumières de la grande pièce à vivre étaient tamisées. Mais ce n'était ni une partouze, ni une soirée d'échangisme. Seuls les couples déjà formés flirtaient en dansant ou se permettaient des privautés dans les coins sombres.

Alain et moi étions très excités à force de nous frotter l'un contre l'autre au cours d'interminables slows. Bien sûr, nous changions aussi de partenaires et je dois avouer que, l'excitation générale aidant, à certains moments s'était, comme on dit, limite. Il y avait chez moi un réel abandon voluptueux et chez mes cavaliers, de solides érections qu'il m'était impossible de ne pas ressentir avec émoi.

La soirée avait démarré assez tôt, et comme cela se passe souvent aux sports d'hiver, nous étions restés en tenues de ski. Après avoir dansé un rock endiablé avec Christian, j'étais tellement en nage que j'ai décidé d'aller me changer. Ce n'était pas sans arrière-pensée non plus. Car je pensais aussi qu'une jupe légère et un tee-shirt permettraient à Alain de me caresser plus intimement. Je suis donc montée dans la petite pièce qui nous servait de dressing-room et où dormait Élodie, la petite fille de Loren et Arthur. Pour ne pas la réveiller, mais pour y voir assez clair, je n’ai pas allumé la lumière mais j'ai laissé entre ouverte la porte donnant sur le couloir éclairé. J'étais en slip quand la porte s'est refermée, me plongeant dans une obscurité totale. J'allais me retourner quand de solides bras ont entouré mon buste.

Sur le coup, je ne me suis pas posé de question. Ce ne pouvait être qu'Alain qui me prenait dans ses bras. Je me suis donc laissée aller d'autant plus librement et facilement que ses grandes mains s'étaient emparées de mes seins déjà alourdis par le désir. J'étais dans un tel état d'excitation qu'il ne m'en fallait pas plus pour que je perde la tête. Sa bite bien dure s'était nichée dans la raie de mes fesses et je me suis mise à me trémousser, gagnée par un intense plaisir. Ses lèvres dans mon cou déclenchaient des vagues de frissons qui couraient sur ma peau. Ses mains allaient de mes seins, qui étaient devenus durs comme de la pierre, à mes fesses et mon pubis. Quand l'une d'elles a pénétré dans ma culotte, j'ai écarté les cuisses.

J'ai encore présent en mémoire le souvenir de cette main brûlante se posant sur ma fente et de ces doigts pressant mes chairs comme pour en libérer le jus qui les baignait. Pour être tout à fait franche, c'est à ce moment précis que j'ai su, de manière quasi certaine, que cette main n'appartenait pas à Alain. Et c'est précisément ce qui m'a propulsée dans un état d'excitation tout à fait exceptionnel. Je me suis mise à gémir ce qui, chez moi, est assez rare. J'ai cambré les reins pour offrir ma motte à cette caresse anonyme. Les doigts ont fendu ma fente et se sont emparés de mon petit bouton. J'ai bien cru qu'il explosait !

Habitée par un plaisir immense, je me suis trémoussée afin d'activer la montée de mon orgasme. Et moi qui étais habituellement lente à atteindre les sommets de l'extase, je me suis mise à jouir avec une intensité qui m'a obligée à me mordre la lèvre pour ne pas hurler. Puis, je me suis déchaînée. Le souffle encore court, je me suis agenouillée et j'ai libéré cette bite qui me fouillait, depuis le début, la raie du cul. Si j'avais eu encore le moindre doute, sa forme, ses dimensions et son odeur, m'auraient assuré qu'il ne s'agissait pas d'Alain. Car il s'agissait d'une queue aux proportions plutôt réduites, que j'ai pu prendre entièrement dans ma bouche.

Je l'ai sucée et, surtout, couverte de salive. Puis, je me suis retournée, j'ai baissé mon slip et j'ai tendu mon croupion. Mon partenaire inconnu et sans visage a aussitôt compris ce que je désirais. Il m'a léché l'anus et après l'avoir défroissé de sa langue, il y a enfoncé sa bite avec douceur et ménagement. Grâce à ses proportions réduites, je n'ai ressenti qu'une infime douleur.

Il m'a sodomisée lentement et longuement tout en me branlant de deux doigts profondément enfoncés dans ma chatte. Faut-il dire que c'était la première fois que je me faisais enculer ? Probablement que je devais traîner une vieille envie enfouie et que je tenais là une queue dont les dimensions me permettaient de sauter le pas ! Depuis, bien sûr, j'ai maintes et maintes fois englouti, par ce trou-là, la bite bien plus longue et bien plus grosse de Alain. Mais c'est une autre histoire...

Pour revenir à ce dépucelage anal, le plaisir que j'en ai ressenti a fait de moi une autre femme. C'était si merveilleux, si grandiose, que je me suis complètement libérée. Tandis que ses doigts me branlaient avec dextérité et que sa queue allait et venait dans mon canal étroit, je me caressais le clitoris comme au bon vieux temps de mon adolescence. Ainsi, les orgasmes se succédaient et je n'avais qu'une envie, que ce partenaire sans nom et sans visage, et qui pourtant ne m'était pas inconnu, garde encore longtemps sa semence afin que jamais ce plaisir démentiel ne me quitte. Je ne sais combien de temps a duré mon voyage au pays des orgasmes continus, mais lorsqu'il a craché son sperme, déclenchant en moi un ultime raz de marée, j'ai tellement perdu le contrôle de moi-même que, s'il ne m'avait retenue, je me serais écroulée, ivre de plaisir et de fatigue.

Il a quitté la pièce tout aussi discrètement et anonymement qu'il y était entré. Je n'ai pas cherché à découvrir son visage et sur les six mâles avec lesquels Alain et moi partagions ce chalet, je vous jure bien que je suis incapable de savoir lequel m'a si merveilleusement possédée

 

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