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L’amie de ma femme

 

     l'histoire que je vous livre est totalement vraie et m'est arrivée il y a 5 mois de cela.
     Ma femme a fait venir chez nous une de ses meilleures amies pour un week-end. Elle arrive chez nous le vendredi soir. Nous nous couchons tard après de longues discussions. Celle que nous appellerons Karine dormait dans le canapé transformé pour l'occasion en lit.
     Durant la nuit je dois me lever et traverser la pièce où était le canapé. Je dors nu et je n'avais pas pris la peine de me vêtir. A l'idée de la savoir près de moi presque nue mon sexe a commencé à se dresser, jusqu'à atteindre une érection complète. Je pensais que Karine dormait mais j'ai vu ses yeux se fixer sur mon sexe.
     Je suis remonter me coucher l'esprit un peu gêné.
     Le lendemain matin au petit déjeuner, nous étions tous les trois autour de la table lorsque ma cuillère m'échappe, je me baisse pour la ramasser. Et la vision qui s'est offerte à moi m'a troublé. En effet Karine avait ses cuisses largement ouvertes qui ne cachait rien de sa chatte.
     Une chatte qui me semblait bien jolie, recouverte d'une toison brune épaisse qui cachait son sillon et son clitoris, une chatte dans laquelle on ne résisterait pas à y glisser une langue et que j'imaginai toute humide suite à notre épisode furtif de la nuit.
     A la suite de ce petit déjeuner fort troublant, ma femme était partie prendre une douche, je restai donc seul avec Karine.. Elle s'assit sur la canapé tout en me laissant apercevoir une fois de plus son intimité. Notre discussion s'est très vite orientée sur des sujets chauds.
     Ainsi j'apprenais qu'elle avait trouvé ma queue impressionnante et qu'elle désirait la toucher, la sentir sous ses doigts.
     Aussitôt je lui présentais mon membre et voyais qu'elle n'osait pas la toucher et elle me demandait de la guider, de lui expliquer comment la caresser (elle était vierge et mis à part la masturbation, elle n'avait jamais fait l'amour avec quelqu'un). Je lui expliquai donc comment me caresser et je dois dire qu'elle a vite appris.
     Je ma rappelle sa surprise lorsque qu'elle m'a décalotté et a vu jaillir ce gland rouge foncé et qui sous l'excitation devenait violet. Elle m'a massé pendant 10 minutes et j'ai bien cru que j'allais lui éjaculer sur les mains. Je ne résistai pas au plaisir de lui caresser les seins. Elle avait des seins impressionnant au moins du 100 C qui se terminaient par une aréole fort large et un téton qui ne demandait qu'a se durcir sous mes doigts.
     Je sentais le parfum de son intimité monter jusqu'a moi, je risquai un doigt jusqu'a sa chatte, elle eut un petit sursaut, mais je dois dire qu'elle était fort humide et son clitoris dépassait de sa luxuriante toison. Je rêvai de la faire jouir avec ma langue. Pendant ce temps elle continuait ses caresses sur mon sexe qui ma faisait de plus en plus mal, je me forçai à ne pas éjaculer.
     Malheureusement ma femme sorti de la douche et nous avons du interrompre nos attouchements qui connurent une suite le lendemain....

     Voici la suite de mon histoire avec cette fameuse Karine.
     Le lendemain matin après nos attouchements de la veille, nos regards n'étaient plus les mêmes.
     Chaque geste de sa part était prétexte à me dévoiler une partie de son corps.
     Elle était vêtue d'un peignoir court en satin, sous le tissu j'imaginai sans peine ses tétons qui tendaient le tissu. Je dois dire que sa toison était tellement sombre et touffue, par moment et par transparence je la devinais, elle aussi.
     Mon sexe me faisait mal sous l'effet de l'excitation. Et je n'avais qu'une envie, c'est qu’elle s'en saisisse et qu'elle le masturbe frénétiquement, jusqu'a ce que je lui éjacule sur son corps.

     Ma femme travaillait ce dimanche matin et était donc absente pour la matinée. J'allai me retrouver seul avec Karine.
     Karine était allée prendre une douche, je me glissais dans la salle de bains sans faire de bruit et entrouvrait le rideau de la douche. Elle était là les yeux fermés, l'eau ruisselant sur son corps, elle se savonnait en s'attardant sur la pointe de ses seins. Ses mamelons étaient si impressionnants, elle descendit sa main jusqu'a sa vulve, caressait son buisson, écartait ses lèvres pour mieux caresser son clitoris, elle s'enfonçait un ou deux doigts dans son vagin, tout en continuant à titiller ses tétons. Ça avait l'air fort agréable.
     Je ne pouvais rester de marbre face à une telle situation, j'avais déjà entrepris de me branler, mais tout doucement pour faire durer le plaisir. Ma queue n'avait jamais été aussi dure, et mon gland était devenu d'une couleur inédite pour moi.
     Elle ouvrit les yeux et ne fut pas surprise de me voir là, le sexe au garde à vous. Elle m'invita à la rejoindre. Elle coupa le jet de la douche. Elle me demanda de la lécher, et je ne me fis par prier. Quel bonheur de glisser mon visage dans son entrejambe, de mordiller ses lèvres, de faire tourner ma langue autour de son clitoris. Je la sentais s'abandonner à mes caresses buccales, je tentais de glisser un doigt dans son vagin, elle me le refusait, peut être de peur que je la déflore. Je continuai donc mon cunnilingus, elle était humide, je me délectai de son nectar. Lorsque je la sentais au bord de l'orgasme je cessai mes mouvements de langue pour mieux les reprendre par la suite. Ce petit jeu dura une demi-heure. Elle n'en pouvait plus, elle me suppliait de la faire jouir, je lui demandais de s'occuper d'abord de mon membre.
     Elle commença à me branler tout doucement, puis accéléra sa cadence, elle me décalotta énergiquement, puis frotta mon gland sur ses tétons proéminents, j'ai bien cru que j'allais jouir sur-le-champ, elle glissa ma queue entre ses seins, je dois dire que j'ai toujours aimé la vision de mon sexe émergeant d'une belle poitrine, pour le coup j'étais comblé. Je me servais de son nectar comme lubrifiant.
     Elle couvrit mon bas-ventre de baisers, arriva à ma queue, qu'elle se mit à sucer maladroitement, mais je dois dire qu'elle apprit vite, ses coups de langue se faisaient plus précis, elle a très vite compris quels étaient les points sensibles d'un sexe masculin. Plusieurs fois je dus me retirer pour ne pas lui éjaculer dans la bouche. Ces allers et retours entre ses seins et sa bouche m'excitaient au plus haut point.

     Nous décidâmes de sortir de la salle de bains pour nous installer plus confortablement dans le canapé sur lequel j'avais pris la précaution d'étendre un drap pour ne pas laisser de traces de nos ébats manuels et buccaux. Elle avait tenu à revêtir sa petite culotte, une culotte en coton rose et orange.
     Elle s'étendit les cuisses largement ouvertes, et se caressait, le tissu ne tarda pas s'assombrir à l'endroit de sa vulve, elle mouillait comme une folle, j'écartai l'élastique de son dessous, ses poils étaient humides de son nectar, ses lèvres luisaient du plaisir pris dans la salle de bains, son clitoris était gonflé de désir.
     Je pris soin de lui ôter sa culotte, elle me dit que c'était son cadeau, pour que je garde un souvenir d'elle et de son odeur lorsque je me branlerai en pensant à elle.
     Je repris encore plus ardemment mes caresses buccales, elle était tellement humide. Ma langue la fouillait, je la faisais aller et venir dans son vagin. Pendant que ma bouche s'affairait sur sa chatte poilue, mes doigts pinçaient ses mamelons ce qui décuplait son plaisir. Je la sentais vibrer sous mes caresses chacun de ses soubresauts étaient pour moi un appel pour que j'intensifie mes gestes. Elle se cambrait pour faire corps avec mes mains et ma bouche. Ma langue se faisait plus précise sur son clitoris. Soudain elle me cria :

     "Je viens"

     Alors j'accélérais ma langue sur sa chatte et mes doigts sur ses tétons. Elle jouit dans un cri de plaisir, elle s'abandonna totalement à sa jouissance. Elle mit quelques minutes avant de me dire que c'était la première fois qu'un homme la faisait jouir, que ce genre de jeux l'attirait mais quelle ne voulait pas de pénétration pour l'instant, elle réservait sa virginité pour l'homme de sa vie. Tout en continuant à l'effleurer, elle me dit

     "A ton tour".

     Pour être franc je n'avais pas débandé depuis la salle de bains, elle me fit asseoir et elle se saisit de ma verge et tira sur sa peau le plus possible; à chaque mouvement vers le bas mon gland était tiré vers l'avant et le frein était étiré au maximum, c'était à la limite de la douleur mais je dois dire que le plaisir l'emportait. Mon gland était devenu violet et à son sommet perlaient ces gouttes de lubrifiant naturel que sécrètent les hommes en cas de grande excitation.
     Je dois dire que de mon pénis ce qui a eu pour effet de le faire grossir instantanément ceci additionné à ce mouvement régulier donnait à mon sexe une dimension particulière, toutes ses veines en ressortaient et mon gland était devenu énorme et d'un violet brillant. De temps à autre elle effleurait le bout de mon chibre avec son téton, (messieurs cette caresse est tout simplement irrésistible).

     Tout à coup elle se relève, me dit quelle revient, elle s'approche de son sac, saisit un bas ou un collant, elle me dit "Tu vas adorer". Elle revient vers moi, se saisit de mon sexe, et tout en tirant sur son bas elle le place à la base de mon membre et le positionne comme si elle faisait un garrot, puis elle fait un nœud. L'effet est immédiat mon gland devient énorme et mon sexe n'avait jamais été si gros je voyais chacune de ses veines. Elle frottait mon frein avec son jus d'amour. Avec la vision de mon sexe si énorme, de mon gland luisant. Je sentais que je n'allais pas tarder à jouir.
     A chaque fois qu'elle sentait arriver l'éjaculation, Karine ralentissait ou stoppai tout simplement sa caresse. Inutile de dire qu'après nos caresses de la veille et les deus heures que nous venons de passer à nous exciter, je m’attendais à une éjaculation assez violente et à une belle quantité de sperme évacuée. Je lui demandais si cela ne lui faisait pas peur, elle me répondit que non mais elle n'en voulait pas dans sa bouche.

     Elle se mit devant moi les cuisses bien écartées et repris sa caresse, mon sexe était si dur, elle reprit ce mouvement lancinant en tirant au maximum sur la peau de mon pénis je ne pus tenir que dix minutes à ce rythme, soudain je sentis la jouissance monter en moi, la sève parcourir toute la longueur de mon membre, elle arrêta sa caresse en tirant sur mon gland le plus possible, j'éjaculai alors de longs jets de sperme qui retombaient en paquets sur ses seins, ses cheveux, mais aussi sa chatte où ces filets de sperme blanchâtre sur sa toison brune étaient du plus bel effet. Je ne me souviens pas avoir ressenti une éjaculation d'une telle puissance, pour vous dire l'état d'excitation dans lequel elle m'avait mis, il m'a fallu vingt minutes avant que ma verge retrouve une taille normale. Karine se frottait les seins avec ma semence, quant à moi je frottai mon sexe sur son petit minou en étalant le sperme qui était tombé là.

     Nous avons repris une douche ensemble pour nous remettre de nos émotions et elle me fit quelques confidences, et me livrait ses impressions sur ce qui venait de nous arriver.
     le week-end prochain c'est à nous de nous rendre chez elle, j'ai hâte de savoir comment elle va nous accueillir...
     

E-mail: fravenge@yahoo.fr