A 30
ans
et
divorcée
depuis
2 ans
j’ai
rencontré
Bernard
il y
a 1
an
environ,
un
homme
d’une
quarantaine
d’année.
Nous
vivons
chacun
de
notre
côté,
ce
qui
me
change
de
mes
années
de
mariage
et de
conflits
perpétuels.
Ce
n’est
sans
doute
pas
le
grand
amour
mais
nous
nous
entendons
bien.
Avec
lui
pas
de
problème
je
vais
le
voir
lorsque
j’en
ai
envie.
Un
petit
coup
de
téléphone
ou
une
petite
visite
surprise,
il
m’accueille
toujours
avec
douceur
et
gentillesse.
Depuis
quelques
jours
j’ai
une
envie
irraisonnée
de
sexe.
J’ai
l’impression
qu’il
n’y a
que
ça .
Lorsque
j’ouvre
la
télé
je
tombe
sur
des
scènes
d’amour.
Au
bureau
nous
ne
parlons
que
de
cul
et je
ne
suis
pas
la
dernière.
Même
mes
caresses
nocturnes
successives
n’arrivent
plus
à me
satisfaire
pleinement.
J’ai
besoin
de
ces
moments
merveilleux
d’étreinte,
de
caresser
la
virilité
d’un
homme,
de
sentir
un
sexe
qui
s’enfonce
en
moi
et
qui
peu à
peu
m’entraîne
jusqu’à
la
jouissance.
3
MAI
Cet
après
midi
j’ai
déposé
ma
fille
chez
ma
mère
où
elle
restera
jusqu’à
la
fin
du
week-end.
Je
suis
donc
libre
pour
assouvir
mes
envies.
J’ai
le
sentiment
qu’il
faudrait
10
Bernard
dans
mon
lit
pour
me
satisfaire
ce
soir,
mais
je
n’ai
pas
trop
le
choix,
alors
c’est
décidé
je
vais
le
retrouver.
Sans
le
prévenir,
ce
sera
une
surprise.
Connaissant
maintenant
ses
préférences
pour
les
dessous
sexy
de
couleur
noire
je
choisis
de
mettre
un
porte-jarretelles
et
des
bas
de
soie.
Un
string
de la
même
couleur
vient
ensuite
cacher
les
quelques
poils
bruns
de ma
toison.
Je
contemple
dans
la
glace
les
95B
de ma
poitrine
et
décide
de
jouer
le
jeu à
fond,
pas
de
soutien
gorge,
je
pense
qu’ainsi
il
comprendra
vite
la
situation.
J’ôte
le
chouchou
de
mes
cheveux
blonds
qui
retombent
sur
mes
épaules.
Pour
la
robe
mon
choix
se
porte
rapidement
sur
celle
que
ma
sœur
m’a
apportée
ce
matin.
Isabelle
de 10
ans
ma
cadette,
travaille
dans
une
boutique
de
prêt
à
porter
et me
fait
profiter
de
ses
bonnes
affaires.
Elle
se
trompe
rarement
et
cette
robe
correspond
exactement
à ce
que
je
lui
avais
demandé.
J’avais
envie
d’une
robe
noire
assez
courte
et
décolletée
et
celle
ci
est
parfaite.
Le
téléphone
sonne.
C’est
Isabelle
qui a
oublié
son
sac
dans
l’entrée.
Elle
me
fait
promettre
de le
déposer
chez
son
petit
copain
qui
n’habite
pas
très
loin
d’ici.
Il
est
prévenu
et
ils
se
voient
tous
les
deux
demain
soir.
Pour
moi
c’est
pas
trop
grave
juste
un
petit
crochet
de 5
mn et
puis
ensuite
direction
l’appartement
de
Bernard.
Je
termine
d’ajuster
ma
robe
puis
monte
sur
mes
talons
aiguilles.
Un
petit
coup
d’œil
dans
la
glace
et je
souris
en
pensant
à la
surprise
que
je
vais
faire
à
Bernard.
J’aimerai
tant
que
la
soirée
soit
à la
hauteur
de
mes
désirs.
Je
viens
de
trouver
la
rue
et
cherche
maintenant
l’entrée
de
l’immeuble
où
habite
Serge
l’ami
d’Isabelle.
J’entre
dans
le
hall
où
une
dizaine
de
jeunes
sont
installés.
Certains
sont
assis
par
terre.
Je
marche
vers
l’ascenseur.
Pendant
quelques
secondes
seul
le
bruit
de
mes
talons
sur
le
sol
se
fait
entendre.
Tous
les
regards
sont
tournés
vers
moi
et
j’ai
peur.
Je
prends
conscience
de ma
tenue
vestimentaire.
J’essaie
de me
raisonner,
de
garder
mon
calme
pendant
que
les
premiers
sifflets
se
font
entendre.
Il y
en a
un
qui
me
propose
un
petit
tour
à la
cave,
les
autres
reprennent
de
plus
belle
en
disant
qu’ils
sont
montés
comme
des
taureaux,
que
jamais
une
bourge
comme
moi
n’aurait
une
telle
occasion
… et
j’en
oublie.
Je
n’ose
même
pas
me
retourner.
L’ascenseur
arrive
enfin,
je
monte,
m’aperçois
que
tout
le
monde
me
regarde
toujours
et
leur
fait
un
petit
sourire
en me
disant
qu’il
va
falloir
repasser
par
là
dans
5
minutes.
Au
deuxième
étage
je
sonne
chez
Serge.
La
porte
s’ouvre
sur
deux
hommes
d’une
vingtaine
d’années.
« Je
suis
Serge
et je
vous
présente
Marc
un
ami
». Je
lui
raconte
rapidement
mon
passage
dans
le
hall.
Il
m’invite
à
entrer
et à
partager
avec
eux
le
whisky
qu’ils
étaient
en
train
de
boire.
« Je
suis
désolée
mais
j’ai
un
rendez-vous,
voilà
le
sac
d’Isabelle
je
dois
partir
».
Marc
: «
Après
toutes
ces
émotions
venez
retrouver
vos
esprits,
vous
repartirez
plus
calmement
après
»
Serge
«
Marc
a
raison
et
puis
je ne
peux
pas
laisser
partir
comme
ça la
sœur
d’Isabelle
»
J’étais
en
train
de me
dire
qu’Isabelle
avait
bon
goût,
que
Serge
est
vraiment
adorable.
«
Bon
après
tout
vous
avez
sans
doute
raison,
mais
5
minutes
pas
plus
»
L’appartement
n’est
qu’un
studio
dans
lequel
un
lit
de
grande
dimension
prend
la
majorité
de la
place.
Il y
a un
bordel
indescriptible.
Des
journaux
et
des
revues
traînent
par
terre
ainsi
que
des
bouteilles
de
bière
vide.
Il y
a
même
dans
un
coin
une
petite
culotte
rouge,
est-elle
à ma
sœur
?.
Sur
la
gauche
une
table
sur
laquelle
est
posée
une
télé,
un
magnétoscope
et
une
boite
ouverte
de
cassette
vidéo.
Je
jette
un
œil
discret
en
passant.
Les
photos
de la
boite
ne
laisse
aucun
doute
c’est
un
film
de
cul.
Peut-être
étaient-ils
en
train
de le
regarder.
Sur
la
droite
une
demi
table
avec
la
bouteille
de
whisky
et
deux
verres.
Marc
m’invite
à
m’asseoir
sur
la
seule
chaise
pendant
que
Serge
va
chercher
un
autre
verre.
Serge
: «
Excusez-moi
pour
le
désordre
» et
verse
le
whisky
dans
mon
verre.
Moi
: «
C’est
pas
grave,
plus
jeune
j’étais
comme
ça et
je
suis
vraiment
contente
de
faire
la
connaissance
de
l’ami
d’Isabelle
».
Je
commence
à
boire
une
gorgée
pendant
que
Serge
et
Marc
s’assoient
sur
le
bord
du
lit
face
à moi
un
peu
en
contrebas.
Marc
: «
Je
peux
vous
poser
une
question
indiscrète
? »
Moi
: «
Oui
bien
sur »
Marc
: «
Vous
avez
un
soutien
gorge
? »
Cette
question
aussi
directe
me
déstabilise
un
peu.
Le
whisky
me
chauffe
les
tempes.
Si
tout
à
l’heure
dans
le
hall
je me
suis
demandée
si je
mouillais
ma
petite
culotte
maintenant
j’en
suis
sûre.
Moi
: «
Non »
Marc
: «
Vous
n’en
portez
jamais
? »
Moi
: «
Si
mais
ce
soir
exceptionnellement
j’ai
décidé
de ne
pas
en
mettre
»
Serge
: «
Isabelle
a des
seins
magnifiques
»
Serge
regarde
souvent
vers
mes
jambes.
Ma
robe
est
assez
courte.
Sans
doute
a
t’il
remarqué
que
je
portais
des
bas.
Ce
petit
jeu
commence
à
m’amuser.
Ils
ont
si
jeunes
d’esprit.
Serge
ressert
une
petite
dose
de
whisky
à
chacun.
Marc
: «
J’aimerai
voir
vos
seins
»
Serge
à
Marc
: «
Moi
j’aimerai
soulever
la
robe
j’ai
l’impression
qu’on
sera
pas
déçu
»
J’ai
les
joues
et le
reste
en
feu
par
la
situation
aussi
directe
qu’inattendue
et la
chaleur
de
l’alcool
qui
répand
sa
chaleur
dans
tout
mon
être.
J’ose
répondre
à
Marc
en
souriant
«
Peut
être
seras
tu
déçu
»
Serge
: «
C’est
ça on
se
dit
tu
maintenant
»
Marc
: «
Il
n’y a
qu’un
moyen
pour
le
savoir
»
Moi
en
m’adressant
à
Marc
: «
Veux
tu
descendre
la
fermeture
éclair
de ma
robe
? »
En
moins
de
temps
qu’il
ne
faut
pour
le
dire
il
était
debout
à
côté
de
moi.
Je me
lève
et
tourne
mon
dos
vers
lui.
Il a
un
peu
de
mal
mais
la
fermeture
finie
par
descendre.
Je me
retourne
en
maintenant
ma
robe.
Moi
: «
tu
t’assoies
»
Je
m’assoie
également
et là
juste
devant
leurs
yeux
je
baisse
ma
robe
pour
libérer
ma
poitrine.
Moi
posant
la
question
qui
me
brûlait
les
lèvres
depuis
un
moment
: «
vous
étiez
en
train
de
regarder
un
film
X ? »
Pour
toute
réponse
Serge
appuie
sur
le
bouton
du
magnétoscope
qui
fait
redémarrer
le
film.
C’est
une
scène
d’orgie
où
plusieurs
corps
s’entrelaçaient
avec
de
temps
en
temps
des
gros
plans
sur
des
bites
énormes.
Marc
: «
Je
peux
caresser
tes
seins
? »
J’acquiesce
de la
tête
en
souriant.
Serge
s’allonge
sur
le
lit.
Pendant
que
Marc
me
caresse
je
regarde
Serge
qui
se
déshabille
sans
le
quitter
des
yeux.
Il ne
lui
reste
plus
qu’un
seul
vêtement
et me
fait
signe
de
venir
pour
lui
retirer.
Je me
lève
et
laisse
tomber
ma
robe
à mes
pieds.
A
genoux
je
marche
sur
le
lit
jusqu’au
slip
de
Serge.
Je le
prends
à
deux
mains
et le
fais
glisser
faisant
apparaître
un
membre
d’une
bonne
taille
dans
un
garde
à
vous
impeccable.
J’ôte
complètement
le
slip
puis
vient
placer
ma
bouche
juste
au-dessus
de
cette
verge
qui
n’attend
plus
que
ça.
Je
prends
ma
respiration
et le
prends
entièrement.
Je
lui
caresse
les
couilles
et
imprime
un va
et
vient
régulier.
Pendant
ce
temps
je
sens
les
mains
de
Marc
qui
s’affairent
à
descendre
mon
string,
je
l’aide
en
soulevant
les
genoux
tout
en
continuant
à
sucer
Serge.
Sa
main
gauche
s’accroche
à ma
hanche.
Sa
bite
a
priori
d’une
bonne
taille
s’enfonce
en
moi
d’un
seul
coup
sans
aucune
difficulté.
Cette
pénétration
tant
attendue
génère
immédiatement
en
moi
une
succession
de
plaisir.
Je
lâche
la
bite
de
Serge
pour
gémir
fortement.
Marc
croyant
à un
cri
de
douleur
reste
là,
enfoncé
profondément
dans
mon
vagin,
les
deux
mains
sur
mes
hanches,
immobile.
Moi
suppliante
: «
continue
». Et
la
machine
se
met
en
marche.
Le
plaisir
est
déjà
au
maximum.
Deux
allers-retours
ont
suffit
à
m’arracher
un
véritable
cri
sous
cette
incontrôlable
montée
du
plaisir.
Je
reprends
en
bouche
la
bite
de
Serge
que
je
tenais
toujours
en
main.
Bien
décidé
à mon
tour
à lui
donner
du
plaisir,
je le
suce
avec
vigueur
comme
une
affamée
pendant
que
Marc
me
baise
avec
beaucoup
d’enthousiasme.
Le
résultat
ne se
fait
attendre
longtemps.
Une
série
de
râles
de
plus
en
plus
rapprochés
sort
de la
bouche
de
Serge.
Je
m’apprête
à le
lâcher
pour
le
finir
en le
branlant
lorsqu’il
prend
ma
tête
à
deux
mains
et la
maintient
solidement.
Dans
le
passé
je
n’ai
été
jusqu’au
bout
que
deux
fois
sous
la
demande
pressante
de
mon
mari
mais
ce
soir
je
n’ai
pas
trop
le
choix
et
finalement
j’accepte
la
situation.
Dans
un
cri
Serge
éjacule
à
flots
réguliers
dans
ma
bouche.
J’avale
au
fur
et à
mesure
pour
ne
pas
étouffer.
Du
sperme
coule
de ma
bouche
trop
remplie.
Serge
me
maintient
toujours
la
tête.
J’ai
l’impression
que
cela
dure
une
éternité.
Marc
excité
par
la
situation
accélère
lui
aussi
et
déverse
longuement
sa
semence
en
moi.
Nous
nous
retrouvons
maintenant
assis
sur
le
lit.
Mon
verre
de
whisky
est
le
bienvenu
pour
faire
partir
tout
ce
sperme
encore
dans
ma
bouche.
Voilà
c’est
déjà
terminé.
Je
sais
par
expérience
avec
mon
mari
ou
avec
Bernard
que
quand
les
mecs
ont
éjaculé
il y
a
rarement
une
deuxième
fois.
Le
plus
souvent
à ce
moment
là
ils
dorment.
Alors
j’essaie
de me
calmer
un
peu.
Serge
remet
une
cassette
dans
le
magnétoscope
qui
montre
à
nouveau
des
scènes
d’amour.
Avec
surprise
j’entends
Marc
dire
que
bien
que
ma
sœur
soit
une
bonne
baiseuse
je
suis
encore
plus
bandante
qu’elle
et
Serge
de
lui
répondre
que
c’est
sûr.
Ils
me
donnent
des
détails
sur
leurs
soirées
intimes
avec
Isabelle.
J’apprends
que
ma
sœur
ne se
contente
pas
de
ces
deux
là et
que
bien
d’autres
lui
passent
dessus.
Leurs
bites
sont
à
nouveau
toutes
droites.
La
bite
de
Marc
est
très
épaisse
je
comprends
la
sensation
de
tout
à
l’heure.
Ces
récits
les
ont à
nouveau
excités.
Moi
aussi.
Je
décide
de
profiter
de la
situation.
Je
m’allonge
au
milieu
du
lit.
Moi
d’habitude
si
timide
je
suis
là
les
jambes
écartées
toujours
en
porte
jarretelles,
bas
et
talons
en
train
de
leur
dire
: «
puisque
vous
êtes
satisfaits,
baisez-moi
longuement
chacun
votre
tour
j’en
ai
très
envie
».
Serge
pose
son
verre
en
disant
: «
puisque
tu en
veux
tu
vas
être
servi
». Il
me
pénètre
d’un
seul
coup
et
commence
un
long
va-et-vient,
il
laisse
sa
place
à
Marc
qui
me
pénètre
à son
tour.
De
nouvelles
vagues
de
plaisirs
commencent
à
venir,
de
plus
en
plus
fortes,
jusqu’à
la
dernière
qui
m’apporte
une
jouissance
très
forte.
Marc
continue
un
moment
avant
de
laisser
à
nouveau
sa
place
à
Serge.
Chaque
aller
retour
de
leurs
bites
me
laisse
dans
état
indescriptible.
Je ne
suis
plus
qu’un
sexe.
Serge
accélère
d’un
seul
avant
de
jouir
en
moi.
Marc
prend
à
nouveau
la
relève.
Au
bout
de
quelques
minutes
il se
retire
rapidement
de
moi
et
vient
éjaculer
sur
ma
poitrine
en se
masturbant.
Dur
de
reprendre
ses
esprits.
Mais
maintenant
je
pense
que
c’est
vraiment
fini.
Un
petit
coup
d’œil
sur
leurs
bites.
Effectivement
ils
en
ont
certainement
eus
pour
leurs
comptes
ce
soir.
La
télé
retransmet
toujours
un
film
de
cul,
on
n’entend
que
les
râles
des
acteurs.
Je
cherche
ma
robe
du
regard.
Je
crois
qu’il
est
temps
que
je
disparaisse
d’ici.
Serge
qui
me
regarde
comprend
et me
dit :
«
Attends,
tu ne
vas
pas
partir
tout
de
suite
»
Marc
: «
Tu
veux
partir
? »
Moi
après
avoir
regardé
sa
bite
molle
: «
je
pense
que
c’est
terminé
»
Marc
: «
Occupe-toi
un
peu
de
nous
et tu
vas
voir
si ça
va
pas
repartir
»
J’interroge
Serge
du
regard
Serge
: «
Bonne
idée
Marc
»
Ils
s’installent
côte
à
côte
au
bord
du
lit
devant
la
télé.
Je
m’agenouille,
prends
une
bite
dans
chaque
main
et
les
masturbe
doucement.
Celle
de
Marc
commence
à se
raidir.
Je la
prends
en
bouche
tout
en
continuant
de la
masturber.
Ma
main
gauche
s’occupe
également
de
Serge
qui
repart
aussi.
Ma
bouche
change
de
sexe.
J’ai
dans
la
main
droite
une
verge
bien
raide
et
dans
la
bouche
une
autre
qui
n’est
pas
loin
de
l’être
aussi.
Serge
à
Marc
: «
allonge-toi
sur
le
lit,
elle
va te
monter
dessus
».
Marc
s’allonge
au
milieu
du
lit
et je
m’empale
sur
son
sexe
bien
droit.
Je
commence
à
monter
et
descendre
le
long
de ce
membre
lorsque
je
sens
la
main
de
Serge
qui
me
pousse
dans
le
dos
m’obligeant
à
m’allonger
sur
Marc.
Serge
est
maintenant
derrière
moi.
Il
cherche
l’entrée.
Je
n’aime
pas
beaucoup
être
sodomisée
mais
ce
soir
j’accepte.
J’attrape
le
bout
de sa
bite
et la
présente
devant
mon
anus.
Il
entre
maintenant
en
moi
tout
doucement.
Avec
ma
main
droite
en
arrière
sur
son
thorax
je
l’empêche
d’aller
trop
vite.
La
douleur
est
vive
mais
sa
bite
progresse
doucement.
Il
est
maintenant
lui
aussi
entièrement
en
moi.
Je me
repositionne
les
bras
tendus
de
chaque
côté
de
Marc.
Je me
rends
compte
que
je ne
peux
pas
trop
bouger.
Marc
s’active
maintenant
dans
mon
vagin
à
grands
coups
de
reins
pendant
que
Serge
commence
lui
aussi
à
bouger
de
plus
en
plus
rapidement.
Les
yeux
fermés
je
suis
toute
à mon
plaisir
et
profite
pleinement
de
ces
deux
sexes
qui
s’entrechoque
dans
mon
ventre.
Ce
moment
dure
déjà
depuis
longtemps
lorsque
Serge
se
met à
jouir
en
moi
puis
se
retire.
Profitant
pleinement
de la
grosseur
du
sexe
de
Marc
je
peux
reprendre
alors
mes
montées
et
mes
descentes
tout
en
modulant
mon
plaisir
à ma
guise.
Je
m’active
ainsi
depuis
pas
mal
de
temps
lorsque
Marc
me
demande
de
jouir
dans
ma
bouche.
Je
retire
son
sexe
du
mien
et
l’attrape
rapidement
avec
la
bouche.
Cherchant
à
jouir,
il
m’assène
de
grands
coups
de
reins
de
plus
en
plus
forts
dans
la
bouche.
J’ai
du
mal à
le
maintenir.
Dans
des
spasmes
de
jouissance
il
finit
par
déverser
relativement
peu
de
sperme
dans
ma
bouche.
Nous
nous
reposons
quelques
minutes.
Ce
coup
ci
personne
ne me
retient
lorsque
je
commence
à me
rhabiller.
Après
les
avoir
embrassés
fougueusement
chacun
leur
tour
je
sors
de
l’appartement
et
reprend
l’ascenseur.
Il
est 2
heures
du
matin
et je
traverse
le
hall
de
l’immeuble
qui
est
maintenant
désert
puis
rentre
à la
maison.
5
MAI
Je
me
demande
si
c’était
un
coup
de
folie
de ma
part.
Jamais
dans
le
passé
je
n’aurais
agit
comme
ça.
Malgré
tout
je
n’arrive
à
regretter
aucun
de
mes
gestes.
Au
contraire
même,
la
pensée
de
chacune
des
minutes
de
cette
soirée
me
donne
l’envie
de me
caresser
à
nouveau.
Ai-je
besoin
de
m’assumer
sexuellement
aujourd’hui
avant
de me
chercher
un
nouveau
compagnon
?
(c’est
ce
que
pense
ma
sœur)
.
7
MAI
Serge
m’a
téléphoné
pour
me
demander
de
retourner
chez
lui,
qu’il
avait
lui
aussi
vécu
un
moment
inoubliable
et
qu’il
aimerait
bien
en
vivre
d’autres
avec
moi…
Je
lui
ai
dit
que
j’avais
besoin
d’un
peu
de
temps
pour
réfléchir.
8
MAI
Je
n’ai
toujours
pas
osé
retourner
voir
ni
téléphoner
à
Bernard.
Mais
en
ai-je
vraiment
envie
? Ce
soir
j’ai
décidé
d’aller
lire
quelques
récits
érotiques
sur
le
web
puis
de
publier
une
partie
de
mon
journal
intime.
E-mail:
sophie.gom30@caramail.com
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