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Je l'ai fait

 

J 'ai trente-quatre ans et je ne suis mariée que depuis trois ans seulement. J'aime mon mari, mais ce n'est que par hasard que j'ai appris qu'il aimait que je le trompe.

Dans la Compagnie d'assurances où je travaille, il y a un homme qui n'arrêtait pas de me faire la cour depuis mon arrivée. Comme il est mon supérieur et que je ne le trouve pas trop déplaisant, je le repoussais gentiment en lui disant que j‘étais mariée et fidèle.

Un soir, j'en ai parlé à Philippe, mon mari, en me moquant de la cour empressée que me faisait mon collègue de travail. A ma grande surprise, Philippe m'a répondu :

- Tu sais, nous avons beau être mariés, tu n'es pas ma propriété. Ton corps t'appartient, tu en fais ce que tu veux.

J'en suis restée comme deux ronds de flan puis, je lui ai demandé ce qu'il ferait si je le trompais.

- Rien, si tu me racontes tout. Mais si tu me caches quelque chose, je préfère le divorce.

- Je ne te mentirai jamais !

Un sentiment d'euphorie et de légèreté s'empara de moi, et dès le lendemain j'acceptais l'offre à dîner de mon chef de bureau pour le soir même. Je prévins mon mari au téléphone, et lorsqu'il me demanda si je comptais me donner à cet homme, je répondis "oui, je crois" d'une toute petite voix sans être vraiment sûre de moi.

Mon collègue étant lui-même marié, et moi ne voulant pas aller à l'hôtel, nous avons roulé dans la campagne jusqu'à ce qu'il emprunte un petit chemin dans l'épaisseur d'un bois. Nous avions dîné rapidement dans une petite auberge.

Lorsque nous avons été assez loin dans le chemin il a arrêté sa voiture. Il est passé derrière en me disant de le rejoindre. Nous nous sommes assis sur la banquette arrière et il m'a tout de suite prise dans ses bras en me disant qu'il attendait ce moment depuis des mois. Je n'ai rien répondu et je l'ai laissé glisser sa main sous mon pull, sous lequel j'avais pris soin d'enlever mon soutien-gorge. Comme j'ai le bout des seins très sensibles, ils se sont tout de suite dressés sous la caresse en relevant le bout fièrement. Il m'a embrassée, sa bouche et sa langue avaient le goût du vin et du tabac blond. Puis sa main s'est glissée lentement sous ma jupe et j'ai tortillé les fesses pour l'aider à se débarrasser de ma petite culotte. Je l'ai alors aidé à ôter son pantalon. Sa queue a jailli hors de son slip tellement il bandait. Elle m'a un peu impressionnée, elle était longue, épaisse avec de grosses veines saillantes. On est resté longtemps à se caresser mutuellement. Ma main lui palpait doucement les couilles et la verge tandis que ses doigts fouillaient mon sexe qui n'en finissait Pas de dégouliner à force d'excitation. Je n'en pouvais plus de désir et j'avais une envie folle de me faire pénétrer par ce sexe dur comme du silex que je tenais entre les doigts. Il m'a fait basculer de côté jusqu'à ce que je le chevauche, et j'ai écarté les jambes de chaque côté de ses hanches. Il a tâtonné du bout de son gland à l'entrée de ma vulve, puis il s'est enfoncé d'un seul coup. J'étais tellement humide qu'il a glissé au fond de moi comme dans une motte de beurre. Il me défonçait et moi je le serrais le plus possible contre moi pour l'avoir encore plus profond. La voiture se balançait et je fermais les yeux en cambrant mes seins. Je poussais de petits cris, de vrais feulements de bête sauvage. Il s'est déversé en moi et j'ai joui comme cela ne m'était pas arrivé depuis longtemps.

Lorsque je suis rentrée à la maison, Philippe m'attendait, un sourire aux lèvres et un verre à la main. Je lui ai tout raconté du début jusqu'à la fin. Je lui ai dit à quel point j'avais joui et il m'a écoutée en me demandant tous les détails. Quand j'ai eu fini mon récit la bitte de mon mari s'est dressée devant moi. Philippe me regardait avec un air d'excitation que je ne lui connaissais pas. Il m'a demandé d'aller vite me laver et de venir ensuite le rejoindre.

Philippe bandait plus dur que jamais et il m'a baisé avec une telle fougue que je me croyais aux premiers jours de notre rencontre.

En fait le résultat est si satisfaisant que je crois bien que mes tromperies vont devenir plus fréquentes.