Adultère
L'histoire que je vais vous raconter, m'est vraiment arrivée, ce fût pour moi une expérience assez spéciale, que je veux partager avec vous aujourd'hui. Ma vie semblait bien vide malgré 12 ans de mariage et de mes deux enfants que j'adorais. Alors une amie me proposa d'avoir un ordinateur et de faire un peu de chat. Elle me disait que cela la divertissait beaucoup sauf qu'en quelque part elle était beaucoup plus sage que moi. Alors après quelques temps, je pris goût au Chat et tous les soirs je venais faire un tour jusqu'aux petites heures du matin. Mon mari allait rejoindre Morphée très tôt tous les soirs et cela depuis plusieurs années d'ailleurs. Ce qui résumait nos relations sexuelles à de petites rencontres hygiéniques comme on dit si bien chez nous. Un soir que je chatais avec des amis d'à peu près partout au travers le monde, je reçois un appel de quelqu'un de ma région. Tout de suite il se présente et me dit ce qu'il attend de moi. Il me demande si j'ai envie de baiser avec lui! Mais il insiste pour me dire qu'il ne veut pas de virtuel mais de la vraie chair. Je ne sais pas trop quoi lui répondre, étant mariée j'avais des valeurs assez bien ancrées. Il me dit que lui aussi était marié et qu'il désirait que baiser, qu'il ne voulait aucunes promesses, ni attaches. Je lui réponds par la négative que je ne pourrais pas faire cela à mon mari malgré la solitude que je ressentais depuis bien longtemps. Après quelques soirs il revient à la charge et toujours je refusais mais il était insistant. Alors pour le dissuader je lui dis que j'étais loin d'avoir un corps de déesse, que j'avais des rondeurs là où il ne fallait pas. Il me répondit qu'il s'en foutait et de lui envoyer une photo de moi et qu'il constaterait lui-même de cela. Ce que je fis en étant sûre qu'il n'essaierait même plus d'entrer en contact avec moi. Mais le lendemain je trouvai dans mon courrier son numéro de téléphone au bureau me demandant de l'appeler. Ce matin là je me rendis à mon travail comme à l'habitude mais j'étais très intriguée, je sortis la main de ma poche et regardai le billet avec son numéro. N'y pouvant plus, la curiosité l'avait emportée, je l'appelai. Nous avons parlés de nos conjoints, nos enfants et de nos travails respectifs, une conversation amicale quoi ? Le soir arrivant je pris place devant mon ordinateur et il était là en ligne. C'est moi qui communiquai avec lui la première. Il me demanda si j'avais changé d'idée. Je lui répondis que je ne savais pas vraiment quoi faire, il me donna alors rendez-vous dans un petit resto près de chez moi pour le lendemain soir et que si j'acceptais il exigerait qu'une chose de moi, c'était d'avoir la chatte bien rasée. La journée m'a parue très longue, même si dans ma tête il n'était pas question que je rencontre un étranger seulement pour faire l'amour avec lui. Mais je pris un grand bain et rasai ma chatte comme il me l'avait demandé. L'heure du rendez-vous était proche, mon mari était rentré du travail et était comme à son habitude de mauvais poil, alors se fût le coup d'envoi pour moi, j'inventai une sortie avec une amie et partis. À mon arrivée au resto il n'était toujours pas là, je pensai qu'il s'était raisonné et ne viendrait pas mais après quelques minutes je vis cet homme grand aux épaules assez larges, cheveux noirs entrer. Il n'avait rien d'un apollon mais il me plaisait malgré tout. Il avait cet avantage sur moi, il avait déjà vu ma photo, alors il se dirigea vers moi en souriant et me tendant la main comme on fait dans un rendez-vous d'affaire. Nous avons pris un café et discuté quelques temps. Et d'un ton assez sec il me dit, "alors je te plais, tu as envie de baiser avec moi ? Si oui on part immédiatement". J'étais comme hypnotisée, j'acquiesçai de la tête et me levai pour le suivre. Nous nous sommes dirigés vers un Hôtel non loin de là. Un peu minable mais pour ce que nous voulions en faire très convenable. Il referma la porte de la chambre derrière lui et se dirigea vers moi m'enleva mon manteau et entreprit de me dévêtir, je ne pouvais pas bouger, j'étais de glace et pourtant tellement excitée par la situation. Il me murmura à l'oreille de me détendre que tout allait bien se passer, il m'embrassa dans le cou, sa langue glissa jusqu'à mes seins il les mordilla, je frissonnais sous ses caresses. Il me repoussa vers le lit me pencha vers l'avant lui offrant ainsi ma croupe, il s'agenouilla derrière moi et sa langue s'infiltrait dans mon sexe et revenait dans ma raie me procurant une douce chaleur, il me demanda de pas bouger, qu'il aimait me voir dans cette position, il prit place devant moi et me présenta son membre à mes lèvres. Je les ouvris et d'un balancement de hanches il enfourna son pieu. Je le sentais qui tressaillait sur ma langue et vite je devins très gourmande je le voulais maintenant. Je ne ressentais plus aucune peur, j'entrepris de lui faire une fellation comme je n'avais pas fait depuis si longtemps. Je l'entendais gémir de plus en plus rapidement, sa queue prenait de la place dans ma bouche il était près d'éjaculer. Il se retira et revient derrière moi. Il se remit à me lécher la chatte, je ressentais la jouissance qui montait à l'intérieur de mon ventre, c'était foudroyant, mes mains agrippant ses cheveux pour le retenir, j'eus un orgasme sensationnel. Il se positionna derrière moi en me disant que maintenant il me lâcherait pas tant que je ne lui demanderai pas grâce. Je sentis son gland qui essayait de se faire un chemin entre mes lèvres, j'ouvris les cuisses pour lui céder la place. Il y entra doucement, graduellement et plaça ses mains sur mes hanches et me pénétra. Tout en me prenant, il me parlait me disait que j'étais sa petite maîtresse, une bien belle salope qui tombait sous les charmes des hommes à cause d'un mari incompétent, qu'il ne savait pas combien j'étais un bon coup. Il se retira, sa verge était enduite de ma cyprine, il l'avait en main et de l'autre il vient caresser ma raie me disant que j'avais un beau petit cul et qu'il avait bien envie de se le faire. Je lui dis de ne pas faire ça, que j'en avais pas envie. IL ne m'écouta pas. Il reprit place dans ma chatte avec quelques va et vient, je mouillais pas possible, il ressortit et vient se positionner sur ma rosette, il me tenait par les hanches m'empêchant ainsi de bouger. "Allons me dit-il tu n'es pas venue ici que pour te faire prendre en levrette tant qu'à être ici déguste autre chose... Allez laisse-toi faire!" Il prit ma main et la posa sur mon clitoris. "Masturbe-toi et tu oublieras pour quelques instants ce que je suis sur le point de te faire ma belle!" J'obéis et commençai à me masturber, mon doigt roulait autour de mon bouton et le plaisir montait doucement c'est à ce moment qu'il profita pour forcer son gland. Une douleur intense électrifia mon corps. Laisse toi aller. Tu vas voir tu vas apprécier. La douleur était vive mais en même temps douce et en moins de le dire il y était jusqu'à la garde. Je n'avais jamais ressenti une telle sensation. Et tout en me culbutant il me disait que mon idiot de mari n'était qu'un perdant qu'il ne me ferait jamais cela car il était trop niais, qu'il ne connaissait que la position du missionnaire, et que lui me ferait tellement jouir que j'en redemanderais encore. Je sentais sa queue dans mes reins, j'arque boutai le dos et poussai un râle, j'en perdais complètement la notion du temps. Il me disait des mots qui ne m'avait jamais été dit auparavant. J'étais en extase devant toutes ses sensations. Mon corps valsait sous le sien. Il revient prendre ma chatte pour les derniers ébats, je sentis sa liqueur se vider en moi. Nous sommes restés couchés l'un près de l'autre sans dire un mot. Comme s'il n'avait rien à dire. Il me reconduit près de chez moi en me promettant de me rappeler ce qu'il fit d'ailleurs. Maintenant je ne vis plus dans cette ville mais quand je viens rendre visite à des amis, je lui en fait toujours part par courrier et quelques fois s'il a le temps on se rencontre ne serait-ce que pour un café....
E-mail: dominatrice@hotmail.com |